John D, un septuagénaire vivant dans un hôtel de luxe sur la Côte d’Azur, est intrigué par sa voisine de chambre qui lui rappelle les heures les plus folles de la Riviera durant les années 60. À cette époque, il était espion dans un monde en pleine expansion et plein de promesses.
Un jour, cette voisine disparaît mystérieusement… et replonge John face à ses démons: ses adversaires d’antan sont-ils de retour pour semer le chaos dans son monde idyllique?

En compétition à Berlin, le nouveau film des réalisateurs de « Laissez bronzer les cadavres » (2017) est un pur joyau esthétique qui déconstruit les codes des polars et films d’espionnage pour nous emmener ailleurs. Une expérience de cinéma sensorielle et absolue.

We’re in “pure cinema” territory here – Variety

Crazy and intense – Cineuropa

An exquisite and flashy cinematic jewel box – The Hollywood Reporter

Un labyrinthe mémoriel à l’écrin visuel impressionnant – Abus de ciné

Les cinéastes

Hélène Cattet, née en 1976 à Paris, et Bruno Forzani, né la même année à Menton, se sont rencontrés à Bruxelles en 1997. Après plusieurs courts métrages, ils réalisent en 2009 Amer, hommage postmoderne au giallo qui s’est distingué au niveau international. Quentin Tarantino cite le film comme l’un de ses préférés de l’année 2010.

Bruno Forzani est aussi, depuis 2004, programmateur et présentateur francophone des séances de cinéma Bis au Musée du cinéma de Bruxelles.

Bruno Forzani et Hélène Cattet reçoivent  l’aide à la production de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour le projet Laissez bronzer les cadavres, un film noir adapté d’un roman de Jean-Patrick Manchette (programmé et présenté par l’asbl Cinémarche lors de sa sortie en 2017).