

100 millions !

L’infirmière de l’école diagnostique chez Ben, 12 ans, un problème de surpoids. Le jeune garçon va commencer un régime car c’est important pour sa santé. Autour de lui, une amoureuse, des copains, des profs, de la famille, qui le soutiennent… plus ou moins. Mais Ben ne se laisse pas démonter et continue à s’épanouir à travers ses deux passions : le rock et la cuisine.
Kristina Dufková adapte à merveille le roman semi-biographique du romancier Mikaël Ollivier dans un film d’animation touchant, qui aborde avec une grande sensibilité la vie intérieure d’un jeune adolescent fâché avec son corps.
Ben a de l’humour, de la répartie et un grand cœur. Il a des amis, des projets et plein de talents. Ben est gros, aussi. Il se fait chambrer à l’école par ses camarades et se demande s’il parviendra à plaire à l’élue de son cœur avec tous ces kilos en trop. Alors, fini le gras et le sucre, Ben passe aux légumes et au sport ! Mais est-ce bien la solution pour trouver le chemin intérieur qui mène à l’acceptation de soi et des autres ?
Les procédés artistiques d’une mise en scène poétique, tantôt portée par des marionnettes très expressives, tantôt par des dessins animés colorés, nous emportent dans l’imaginaire du personnage principal, ses joies et ses doutes. Les thèmes abordés avec intelligence et sensibilité parlent à tout le monde : s’accepter comme on est, accepter la différence, contrer la bêtise et la peur par l’amitié et l’amour. Un film pour grandir, à regarder puis à discuter entre générations (et pourquoi pas autour d’un bon repas !).
GUILLAUME KERCKHOFS, les Grignoux
Séance ludique et participative avec présentation du film, animation et activité pratique en salle après la projection
Xavier Seron (“Je me tue à le dire”, 2016) trace un sillon qu’il est le seul à emprunter aujourd’hui dans notre cinéma belge, celui de la comédie noire et grinçante. Dans Chiennes de vies, trois destins se croisent, trois histoires d’humains et… de chiens. Le mélange est explosif !
Dans le premier segment du film, Tom consent à recueillir le chihuahua de son défunt voisin pour plaire à Cécile. Seul problème, cette bestiole, en apparence inoffensive, semble avoir poussé son maître au suicide et vouloir lui faire la peau à lui aussi… Dans le second, on fait la connaissance de Greta, une comédienne et égérie d’une célèbre marque de parfum, alors qu’elle est complètement anéantie : son chien et son assistante sont morts écrasés par un camion. Dans une blanchisserie, Greta rencontre Charlotte et lui propose de remplacer son assistante… à moins qu’il ne s’agisse de se substituer à son chien. Dans le troisième et dernier segment, on rencontre Franck et Lola, qui ont le coup de foudre l’un pour l’autre. Ils partagent énormément de points communs, sauf un : Lola n’aime pas les chiens. Franck doit choisir entre son nouvel amour et Perdita, sa meilleure amie et le meilleur des chiens…
Le style visuel du film se démarque du tout-venant avec ce noir et blanc granuleux et contrasté qui nous fait tout de suite comprendre que l’on ne se trouve pas face à une gentillette comédie du samedi soir. Dans un même mouvement maîtrisé, Xavier Seron convoque le burlesque, la causticité, l’irrévérence et la tendresse pour raconter des scènes de la vie quotidienne à dormir debout, dans lesquelles on s’aperçoit très vite que les relations humaines se compliquent pour un rien… qui devient tout. Comme dans toute bonne comédie, la malchance accable des personnages pris dans un engrenage dont ils ont toutes les peines du monde à s’extraire. Ici, pour ne rien arranger, les rapports ambigus qu’ils entretiennent avec les chiens font tout exploser.
Xavier Seron s’entoure d’excellents comédiens et comédiennes belges (Jean-Jacques Rausin, Mara Taquin, Arieh Worthalter) et confirme sa capacité à créer des personnages souvent paumés mais jamais risibles. Il a l’art de créer des situations pleines de tendresse là où on ne s’y attend pas.
Il réhabilite le film à sketches (genre très courant à une époque dans la comédie) et assemble trois récits qui s’entrecroiseront légèrement, sans perdre en cohérence. Les deux premières histoires sont les plus ouvertement absurdes et trash, poussant le réalisme dans ses derniers retranchements, comme dans un dessin animé. Le dernier, clairement le plus sensible et le plus fort, met en lumière la détresse d’un homme face à la mort annoncée de son chien et son incapacité à préserver sa vie de couple. Tout en assumant une forme de poésie du ridicule, dans la tradition d’un surréalisme désenchanté à la belge, Xavier Seron a toujours le réflexe de rattraper et d’enlacer ses personnages avant qu’ils ne tombent définitivement dans le pathétique.
Tous sont le reflet d’une époque angoissante qui a définitivement besoin de tendresse.
NICOLAS BRUYELLE, in les Grignoux
En Collaboration avec La Quadrature du Cercle dans le cadre de la Tournée des Magritte
Découvrir la Tournée des Magritte au complet : https://www.latourneedesmagritteducinema.be/
Projections de films primés dans les centres culturels et les cinémas de proximité à Bruxelles et en Wallonie
Angelo, 10 ans, se rêve aventurier et explorateur. Jusqu’au jour où, partant en voiture avec sa famille pour se rendre au chevet de sa Mémé adorée bien malade, il est brusquement mis au défi de prouver son courage : oublié par erreur sur une aire d’autoroute, Angelo décide de couper à travers la forêt pour rejoindre la maison de Mémé. Il s’enfonce alors dans un territoire mystérieux peuplé d’êtres étranges que menace un ennemi pire encore que l’ogre de la région…
D’après la bande dessinée “Dans la forêt sombre et mystérieuse” de Winshluss.
Au cœur de l’hiver 1944. Dans un petit village de montagne du Trentin, au nord de l’Italie, la guerre est à la fois lointaine et omniprésente. Lorsqu’un jeune soldat arrive, cherchant refuge, la dynamique de la famille de l’instituteur local est changée à jamais. Le jeune homme et la fille aînée tombent amoureux, ce qui mène au mariage et à un destin inattendu…
Parthenope, née dans la mer de Naples en 1950, cherche le bonheur au cours des longs étés de sa jeunesse, tombant amoureuse de sa ville natale et de ses nombreux personnages mémorables. Mais plus que tout, Parthenope est éprise de liberté…
Après Rome dans “La Grande Bellezza”, Paolo Sorrentino signe une œuvre envoûtante qui mêle réalité et imaginaire dans une Naples à la fois magique et moderne, vibrante de passions et de mystères, où passé et présent se rencontrent à chaque coin de rue. Embarquez pour un voyage visuel et émotionnel, porté par des personnages aussi fascinants qu’intrigants, dans un film à la beauté hypnotique.
Marie, 80 ans, en a ras le bol de sa maladie. Elle a un plan : partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Mais au moment de l’annoncer à Bruno, son fils irresponsable, et Anna sa petite-fille en crise d’ado, elle panique et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque suisse, elle leur propose de faire un voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un aide-soignant tout juste rencontré la veille, va prendre le volant du vieux camping car familial, et conduire cette famille dans un voyage inattendu.
Programme de la semaine du 5/03 au 11/03 inclus, à télécharger en pdf: par ici
Tous les films programmés par l’asbl Cinémarche au CineXtra Marche.
De 1967 à 1975, Eddy Merckx a tout gagné, tout dévoré sans rien laisser à ses concurrents. En moins d’une décennie, il s’est imposé comme l’icône absolue du cyclisme mondial. Mais à force de triompher, le “Cannibale” finit par diviser. Comment continuer à pédaler quand l’admiration laisse place à la haine ? Ce documentaire retrace le parcours extraordinaire du plus grand champion de tous les temps.
Rejoignez-nous pour une expérience des plus insolites dans le cadre des séances “Ciné-Cabaret” avec Les Ateliers Gerny, vendredi 28/03 à 18h30, une découverte de courts métrages en chaleur… Pour fêter ensemble l’arrivée du printemps.
Téléchargez les documents infos en pdf: par ici
Ambiance et films hors du commun
En partenariat avec Les Ateliers Gerny
Les films:
“Plan-Plan Cul-Cul” de Alexandre Vignaud – 18 minutes
La rencontre improbable entre Daniel, le Chien-qui-aime-passer-l’aspirateur, Tétrapourtre, l’extraterrestre-au-visage-en-forme-de-vagin, Gérard le-ver-de-terre-qui-ne-capte-rien, Cynthia, la voisine-chatte-en-nuisette-érotomane, Jennifer, la grenouille-infirmière et deux flics chiens qui-aiment-les-fouilles-corporelles.
“Partouze” de Matthieu Donck – 21 minutes
Céline et Brigitte en ont marre d’organiser des soirées tupperware…
“Symbiosis carnal” de Rocio Alvarez – 10 minutes
Un voyage poétique à travers l’histoire du désir et de la sexualité qui fait la part belle au plaisir féminin, longtemps ignoré et réprimé.
“Lucha Libre” de Ann Sirot et Raphaël Balboni – 13 minutes
Jean et Aurélie sont en couple et fréquentent régulièrement les marasmes du conflit amoureux avec toute la panoplie de mauvaise foi, de mutisme, d’enlisement, d’argumentation fleuve, de bonds et de rebonds. Ils sont aussi laborantins et archivistes de leurs propres disputes qu’ils classent, analysent, décortiquent, rangent dans des boîtes, étudient soigneusement, graphique à l’appui.
“Pornography” de Eric Ledune – 24 minutes
Sous couvert d’un micro-trottoir délirant, mené par un graphisme foisonnant et aux multiples influences, un échantillon de personnages, parfois décalés, parfois sérieux, certains extrêmes et provocateurs, d’autres conventionnels, livrent leurs opinions sur la pornographie et l’obscénité.
A partir de 16 ans
Durée : 86 minutes – entracte prévue
Tarif films: 7 euros
Lieu : Les Ateliers Gerny
Adresse : rue du Gerny, 26 à 6900 Humain (Marche-en-Famenne)
Accès au bar et souplette dès 17h30
Infos et réservation: 0497/15.66.54 – info@cinemarche.be
Vagues de chaleur, sécheresses, gels tardifs ou ravageurs, le climat se dérègle et notre agriculture doit bifurquer… Oui, mais vers où ? Nathanaël Coste enquête dans la vallée de la Drôme pour comprendre comment les agriculteur.rice.s s’adaptent, tout en questionnant la résilience alimentaire de nos territoires.
Après « En Quête de Sens », un nouveau film produit et distribué par l’association Kamea Meah.
Les excès du climat frappent de plus en plus durement le monde agricole. En 2022, la sécheresse crée un véritable électrochoc dans la vallée de la Drôme. Nathanaël Coste, géographe de formation, enquête chez des agriculteurs bio et conventionnels pour qui le temps de l’adaptation a déjà commencé. Sur le terrain, les approches diffèrent, qu’elles reposent sur les technologies, les stockages d’eau, la gestion des sols ou l’agroécologie.
Alors que la moitié des fermes va changer de main d’ici dix ans, le film questionne agriculteurs et chercheurs sans à priori pour repenser notre façon de produire et construire la résilience alimentaire d’un territoire.
Plus d’infos sur le site du film :
Séance rencontre avec débat post-projection
Tarif habituel du cinéma
Pas de réservation mais achat de billet possible avant la séance à partir du lundi 3/03/25 à 14h
En présence de jeunes agriculteurs (notamment, Simon Leriche, conseiller agricole de Champlon et Valère De Smedt, éleveur laitier à Gedinne)
En partenariat avec la Fugea et Kameah Meah
Kamea Meah réalise des films documentaires qui racontent les différentes « quêtes de sens » de notre époque et accompagne aussi les réalisateurs de ces nouveaux récits filmés à montrer leur travail au plus grand nombre. Depuis 12 ans, l’association Kamea Meah réalise des vidéos au service de projets porteurs de sens : économie sociale et solidaire, aménagement du territoire, culture et transmission des savoirs.
Site internet: https://kameameahfilms.org/
La Fédération Unie de Groupements d’Eleveurs et d’Agriculteurs (FUGEA) est un mouvement paysan qui développe et soutient des politiques agricoles défendant l’autonomie paysanne et une agriculture durable multifonctionnelle. Ainsi, la FUGEA promeut une agriculture nourricière tout en revendiquant l’emploi en milieu rural, le respect de l’environnement, la qualité des produits et la satisfaction des consommateurs.
Site internet : https://www.fugea.be/
Le cinéaste Vincent Paronnaud (Persepolis-avec Marjane Satrapi-, Poulet aux Prunes,…) adapte la bande dessinée DANS LA FORÊT SOMBRE ET MYSTÉRIEUSE de Winshluss : un style unique en son genre.
À 91 ans, le réalisateur de “Z” et “Amen” porte à l’écran le livre du philosophe Régis De Bray et du Docteur Claude Grange, et aborde la fin de vie dans un film touchant porté par les excellents Denis Podalydès et Kad Merad.
Pierre élève seul ses deux fils. Louis, le cadet, réussit ses études et avance facilement dans la vie. Fus, l’aîné, part à la dérive. Fasciné par la violence et les rapports de force, il se rapproche de groupes d’extrême-droite, à l’opposé des valeurs de son père. Pierre assiste impuissant à l’emprise de ces fréquentations sur son fils. Peu à peu, l’amour cède la place à l’incompréhension.
Un drame sans compromis et intense, où la tendresse côtoie la cruauté, et qui offre une partition inoubliable à Vincent Lindon, au firmament de son art.
in Le Journal du DimancheEn posant leur double regard féminin sur un monde d’hommes, les deux réalisatrices réussissent un film à la fois intimiste et politique qui touche aux grandes questions du monde contemporain.
Franceinfo CultureUn Programme de quatre courts métrages pour les plus petits, mettant en scène des chats dont le fameux MacPat et son ami musicien Fred, qui forment un duo harmonieux pour le plus grand plaisir des passants jusqu’au jour où ils sont séparés.
Une belle histoire d’amitié, de chansons et de chatons, par les créateurs du Gruffalo.
Le Chat dans le sac de Nils Skapāns (Lettonie, 2013, 7′) : Abandonné par ses maîtres dans un sac au milieu de la rue, le chat se retrouve bien seul et affamé jusqu’au jour où la chance va de nouveau lui sourire.
Le Chat de Julia Ocker (Allemagne, 2022, 3′) : Notre chat cuisinier se réjouit d’une nouvelle recette de soupe délicieuse ! Mais soudain, la liste des ingrédients lui paraît absurde.
Erwin de Petr Jindra (République tchèque, 2015, 4′) : Dans une petite maison vit une dame avec son chat Erwin qui adore les boîtes et, plus encore, le nouveau micro-ondes…
MacPat le chat chanteur de Jac Hamman et Sarah Scrimgeour (Grande-Bretagne, 2023, 26′) : En plein cœur de Londres, MacPat et Fred, son ami musicien forment un duo harmonieux pour le plus grand plaisir des passants jusqu’au jour où ils sont séparés. Une belle histoire d’amitié, de chansons et de chatons, par les créateurs de Gruffalo.
Le 19/03 dans le cadre du ciné-club des enfants, séance avec présentation et activité post-projection
Pour cette 4 ème édition du Ciné-cabaret, les courts métrages sont à la fête de famille avec ou sans cotillons, ils sont parfois un peu aigres-doux, rarement amers, drôles à souhait, certains légèrement ou très piquants, mais toujours inventifs et originaux.
Rendez-vous pour une soirée digestive et bien trempée, comme on les aime avec Les Ateliers Gerny !
Au programme :
“Tous à table” de Ursula Meier
Des amis se retrouvent à un dîner d’anniversaire. C’est la fin du repas. L’ambiance est très animée : on chante, on boit, on s’étreint, on se raconte des blagues,… C’est alors qu’une devinette est posée. Il devient hors de question de quitter la table sans avoir élucidé la devinette. La soirée change de ton.
“L’indigestion” de Mathilde Remy
Un dîner familial est organisé pour l’anniversaire de la grand-mère. Le repas est l’occasion de voir l’angoisse, les peurs et la méchanceté de cette famille…
“Dans le cochon tout est bon” de Iris Alexandre
Du cochon vivant au banquet de cochonnailles, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
Petite entracte
“Vivre ensemble” en harmonie de Lucie Thocaven
Un interlude éducatif où vous apprendrez que faire état de sa colère devant son prochain est nocif et que pour respecter les règles de la bienséance vous vous devrez de faire taire ce sentiment en suivant les divers conseils dispensés. Ou peut-être que vous apprendrez que toutes les leçons ne sont pas bonnes à retenir.
“Poulet poulet” de Damien Chemin
Sylvie et Antoine sortent au restaurant chinois. Un plat de curry leur cause de graves ennuis. Choisir un plat est en effet parfois plus compliqué qu’on ne le croit.
“Alice et moi” de Micha Wald
Simon doit conduire sa vieille tante Mala à la mer, en compagnie de Lydia et Colette, deux amies de Mala. Pendant le trajet, Alice, sa petite amie, lui téléphone et ils se disputent. En bonnes grand-mères juives, les trois femmes s’immiscent petit à petit dans l’histoire de Simon, ce qui, bien-sûr, n’arrange rien à la situation…
“Avec Thelma” de Ann Sirot et Raphaël Balboni
Un volcan islandais a bloqué l’espace aérien, les parents de Thelma sont coincés à l’étranger. En attendant que les avions traversent le ciel à nouveau, Jean, Vincent et Thelma vivent sous le même toit.
En présence du réalisateur Xavier Diskeuve, co-producteur de “Poulet poulet” – rencontre post-projection
Belgique, 1995. La disparition inquiétante de deux jeunes filles bouleverse la population et déclenche une frénésie médiatique sans précédent. Paul Chartier, jeune gendarme idéaliste, rejoint l’opération secrète « Maldoror » dédiée à la surveillance d’un suspect récidiviste. Confronté aux dysfonctionnements du système policier, il se lance seul dans une chasse à l’homme qui le fera sombrer dans l’obsession.
Après nous avoir habitué à un formalisme toujours visible, Fabrice Du Welz arrive un peu là où on ne l’attend pas avec ce “Dossier Maldoror” au classicisme exemplaire qui hisse au sommet son dernier long-métrage. La démonstration esthétique s’efface derrière le sujet, la concision et la clarté de la narration, dans ce remarquable film enquête qui, sans se hisser tout à fait au niveau de ses modèles (Pakula, Fincher) n’en reste pas moins l’un de ses meilleurs.
Culturopoing.com
Romy (Nicole Kidman) est une brillante femme d’affaires, a un mari aimant (Antonio Banderas) et deux filles qu’elle adore. Mais cette existence bien ordonnée vole en éclats avec l’arrivée de Samuel (Harris Dickinson), un stagiaire aussi séduisant qu’insolent. Alors qu’elle cède peu à peu à son charme, Romy en découvre de plus en plus sur elle-même et sur ses désirs intimes. Mais jusqu’où est-elle prête à perdre le contrôle ?
Plus qu’un thriller érotique, BABYGIRL est un film sur l’estime de soi et le fait de pouvoir aimer toutes les facettes de sa personnalité, y compris les plus sombres. Nicole Kidman trouve là un rôle à la mesure de son talent et a reçu le Prix de la Meilleure Actrice au Festival de Venise.
Nord de la France, 2005. Malik, inspecteur de police, assiste impuissant à la mort d’une enfant suite à un kidnapping. En charge de l’enquête, il échoue à retrouver le meurtrier. Dix ans plus tard, sans élément nouveau, sans trace d’un dangereux criminel qui court toujours, l’affaire s’apprête à être classée définitivement. Mais quand de nouveaux faits en lien avec l’affaire se révèlent, Malik entame une course contre la montre dans l’espoir de résoudre l’enquête avant l’expiration du délai de prescription. Dans Six Jours. C’est le temps qui lui reste pour retrouver le coupable.
C’est l’histoire d’une rencontre, d’une histoire d’amour entre une cheffe cuisinière ambitieuse et un jeune cadre tendrement maladroit. Une histoire saupoudrée d’instants de bonheur et de drames intenses, ordinaires autant que dévastateurs, comme peuvent l’être dans une vie l’annonce d’une maladie grave ou le choix de faire un enfant.
Rares sont les films d’amour qui vous renversent d’émotions sans se répandre dans les ficelles des mélos tire-larmes. Grâce à sa narration subtilement fragmentée et l’interprétation de ses deux acteurs principaux, Florence Pugh et Andrew Garfield, L’Amour au présent s’inscrit précisément dans cette catégorie !
L’originalité du film — produit par les studios A24, grand gage de qualité ! — est de conter ce récit de manière fragmentée, mixant les temporalités et laissant le spectateur se perdre dans la narration, pour finalement reconstituer le puzzle de ces destinées forcément tragiques, mais férocement romantiques.
in, LESGRIGNOUX.be
Un chat se réveille dans un univers envahi par l’eau où toute vie humaine semble avoir disparu. Il trouve refuge sur un bateau avec un groupe d’autres animaux. Mais s’entendre avec eux s’avère un défi encore plus grand que de surmonter sa peur de l’eau ! Tous devront désormais apprendre à surmonter leurs différences et à s’adapter au nouveau monde qui s’impose à eux.
Une odyssée hypnotique et envoûtante, enchanteresse et mystérieuse, une animation virtuose, avec des paysages d’une beauté et un onirisme qui rappellent Miyazaki. Ce road trip à la lisière du fantastique a une direction artistique inspirée, qui fait penser à l’univers de Fumito Ueda, concepteur des jeux vidéo. Avec les mouvements de caméra minutieux, les contrastes de lumière finement sculptés composent des tableaux vivants. L’animation en 3D est stupéfiante de réalisme en ce qui concerne les animaux et nous plonge dans un univers visuel fabuleux (des ruines émergeant des eaux, des colonnes de pierres vertigineuses, une forêt qui revit), l’ambiance planante évoque un autre rythme et une logique de vie nouvelle. Une fable, une grande, émouvante et sincère, sur le pouvoir du collectif. Un film qui vaut tous les grands discours, tant il a l’intelligence du cœur.
Le mercredi 19/02-14h, séance spéciale avec présentation, animation et activité en salle
En partenariat avec la BILOM
Dans le cadre du Festival Du Roman à l’Ecran
Documentaire / Visite d’expo / Rencontre
LE GRAND ATELIER
Un film d’Yves Robic
En lien avec l’exposition en cours !
Jeudi 23 janvier 2025 │ 18h au Tiroir des Saveurs │ Gratuit !
Avant-première inédite en présence des principaux protagonistes
Derniers jours pour (re)découvrir l’expo « VERTIGES POP » en compagnie des artistes et d’Anne-Françoise Rouche, directrice du CEC La S GRAND ATELIER
BIENVENUE À LA S GRAND ATELIER, Centre d’Art brut et Contemporain unique en Europe et si proche de chez nous !
Qu’est-ce que créer ? Qu’est-ce qu’une œuvre ? Un travail de création de qualité nécessite-t-il que l’artiste qui l’a conçu puisse tenir un discours à son sujet ? La création peut-elle échapper à toute pensée, conceptualisation préalable et être uniquement un flux, une énergie, vitale, dans l’instant, en totale liberté ?
En nous ouvrant à ces réflexions, nous découvrons l’univers unique d’un centre d’art exceptionnel, situé dans le village de Vielsalm. Discrètement installé depuis 30 ans dans une ancienne caserne en lisière de forêt, ce laboratoire artistique accompagne le travail et la carrière d’artistes bruts. Des artistes y accompagnent et collaborent avec d’autres artistes porteurs de handicaps mentaux, les aidant à tracer leur propre voie. Ici, la différence règne sans compromis, et chaque jour est animé par le désir profond de rencontre et de liberté créatrice.
« Ce que j’ai trouvé frappant dans le film, outre le langage et les témoignages, et qui m’a paru le plus important, c’est le processus graphique à l’oeuvre. Il y a le bruit du feutre sur le papier, on sent presque l’odeur d’imprimerie, on perçoit la tactilité, on saisit le geste… Il y a toute une sensibilité qu’on ne voit pas généralement et qui, là, nous est restituée. » Michel Thévoz, historien de l’art et écrivain suisse, fondateur de la Collection de l’Art Brut à Lausanne.
Une production TRIANGLE7│55 minutes │ 2025
Arrière-salle de la brasserie culturelle de la MCFA: “Le Tiroir des Saveurs” │Chaussée de l’Ourthe 74 – 6900 Marche│ mcfa.be – cinemarche.be
C’est l’heure de l’apéro ! Notre brasserie est aménagée confortablement et spécialement pour l’occasion. Il est possible et vivement conseillé d’y prendre l’apéro pendant la séance.
Organisé à l’initiative et en partenariat avec la MCFA et avec La S Grand Atelier
Août 92. Une vallée perdue dans l’Est, des hauts fourneaux qui ne brûlent plus. Anthony, quatorze ans, s’ennuie ferme. Un après-midi de canicule au bord du lac, il rencontre Stéphanie. Le coup de foudre est tel que le soir même, il emprunte secrètement la moto de son père pour se rendre à une soirée où il espère la retrouver. Lorsque le lendemain matin, il s’aperçoit que la moto a disparu, sa vie bascule.
D’après le roman éponyme de Nicolas Mathieu, Prix Goncourt 2018.
Les cinéastes finlandais se sont surpassés pour ce 3ème opus avec Niko, sur le plan de la direction artistique et de l’intrigue. Niko se retrouve à l’intérieur d’un iceberg, il se dirige vers les aurores boréales, il flotte à travers l’espace. Les images sont magnifiques.
Toutes les dates : 11/12, 14/12, 15/12, 21/12, 22/12, 23/12, 24/12, 26/12, 27/12, 28/12, 29/12, 30/12, 31/12-14h, 3/01, 4/01-14h
Tous les jours, Jay parcourt Tokyo au volant de son taxi à la recherche de sa fille, Lily. Séparé depuis 9 ans, il n’a jamais pu obtenir sa garde. Alors qu’il a cessé d’espérer la revoir et qu’il s’apprête à rentrer en France, Lily entre dans son taxi…
Après les magnifiques “Keeper” et “Nos Batailles”, le cinéaste belge Guillaume Senez revient avec une nouvelle œuvre poignante de simplicité et de justesse.
Pablo Agüero est né au pied de l’Aconcagua, en Argentine, à l’endroit même que Saint-Exupéry survolait tous les jours à la recherche inlassable de son ami perdu. Le réalisateur confie : “Chez moi, il n’y avait qu’un livre : Le petit Prince. Ce conte philosophique m’a aidé à surmonter l’extrême précarité de mes conditions de vie, me poussant à bâtir mon propre univers imaginaire”, confie le réalisateur.
Le cinéaste a cherché à donner au film une apparence très simple, presque rustique. Mais cette recherche de simplicité et d’épure a été très complexe : “On a passé deux ans à tourner par intermittences sur la cordillère des Andes et en Patagonie, en hiver, par -20°, en été seulement au crépuscule et au lever du jour, pour obtenir des images à la fois organiques et irréelles.” explique t-il également.
Toutes les dates : 11/12-20h, 14/12-15h30, 15/12-20h15, 18/12-18h, 20/12-20h, 21/12-20h15,
22/12-15h45, 23/12-17h45, 26/12-20h, 27/12-15h45, 28/12-15h45, 30/12-18h
L’épopée folle et testamentaire d’un réalisateur hors normes, Francis Ford Coppola, qui y a mis toutes ses économies, sa folie et sa grandeur… Rien que de très banal, donc, pour le dernier des romantiques signant une fable sur la chute de la république romaine transposée dans un New York futuriste.
Megalopolis met en scène l’opposition entre le maire de cette New Rome, Francis Cicero (Giancarlo Esposito), et un urbaniste utopiste style Le Corbusier, nommé César Catilina (Adam Driver). Le premier gère quand le second rêve, et à travers ces deux personnages, citant à tout bout de champ Marc Aurèle ou Ralph Waldo Emerson, le film bat le record, probablement établi par Godard, de citations littéraires dans un long métrage. Quand ils ne complotent pas pour le contrôle de la fragile respublica, c’est bien entendu sa propre âme schizophrène que Coppola nous donne à voir. Lui, le paterfamilias et homme d’affaires avisé, versus l’artiste visionnaire et intransigeant ; le type assez brillant pour monter un studio révolutionnaire en 1980 (Zoetrope) et assez perché pour le couler deux ans plus tard.
C’est au fond cette histoire d’une vie, d’une famille, d’un art, que raconte Megalopolis, avec une sincérité voire une naïveté désarmante, que seul un vieil homme (sans âge), n’ayant plus rien à prouver, est capable de mettre sur la table.
in, LesGrignoux.be
Ils demandent l’asile et la protection. Des centres sont prévus pour les héberger le temps de traiter leur dossier, mais la Belgique est en crise. Crise de l’accueil. On abandonne les hommes seuls dans les rues de Bruxelles en attendant que des places se libèrent. Raziq, un jeune afghan, se retrouve dans un squat…
Nous retrouvons le réalisateur très engagé Yves Dorme pour la 3ème fois avec son nouveau film, après les programmation des films “Le Prix du pain” (2012) et Volontaire! (2017).
“Plongée au cœur d’une situation schizophrénique où l’état belge accueille et abandonne dans le même temps les hommes seuls dans la rue
En plein centre de la capitale, Raziq, un jeune Afghan, et ses amis survivent dans des conditions indignes. Face à la situation qui se dégrade, les autorités leur promettent une place dans un centre, mais c’est la confusion ; de squats en campement de tentes, les demandeurs d’asile sont chassés. La société civile pare au plus pressé : logement, nourriture, vêtements…
Si un accueil digne est inscrit dans la loi, rien n’y fait, l’état belge est condamné par la justice et la Cour européenne des Droits de l’Homme. Quel en est le sens ?” in, Les Grignoux.be
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
En présence du CINL – Centre des Immigrés Namur-Luxembourg
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin) – accès avec tickets Article 27
En Collaboration avec Action Vivre Ensemble et Entraide et Fraternité
PRIX :
Meilleure photographie au BRIFF 2024
Biographie :
Cinéaste belge, née en 1981, Michèle est diplômée en réalisation de l’IAD. Elle passe dix années à écrire et à réaliser des clips vidéo, des publicités, du contenu Web et des dessins animés.
Ayant acquis une expérience globale dans la réalisation de films, elle se concentre sur ses propres projets. Après son court métrage “Juillet 96” qui a parcouru le monde des festivals tels que le Palm Spring Festival, le Cinema Jove, le Festival du film de Lublin, le Festival du film de Moscou,.. Elle réalise “Les Enfants Perdus” son premier long métrage.
Elle est également showrunner d’une série dramatique de 8×52′ (ARCANES) pour la chaîne belge RTBF, qu’elle réalisera à partir d’août 2023.
Le film déploie une liberté et une énergie vivifiantes, n’hésitant pas à oser les anachronismes musicaux, et nous entraîne dans une sarabande joyeuse et débridée, ne négligeant ni l’humour, ni le soin apporté aux images.
La CroixLe premier long-métrage de la compositrice italienne Margherita Vicario joue une mélodie engageante sur deux notes essentielles : la sororité et la liberté de la voix féminine.
Le Dauphiné LibéréMenée par l’émouvante et douce Galatéa Bellugi (repérée dans Chien de la casse), cette curiosité dispense une énergie contagieuse, secoue le genre du film à costumes, multiplie les anachronismes avec une joie non dissimulée.
Le FigaroProposant un sensoriel voyage dans le temps, ce récit en costumes surprend par sa bande originale détonante et son montage vivifiant. Et bénéficie d’une superbe performance de Galatéa Bellugi (Chien de la casse) qui joue ici en italien et touche au cœur.
PremièreSéance événement
Présentation du film et drink post-projection
En partenariat avec le cours d’italien de l’EAFC de Marche – ETABLISSEMENT D’ENSEIGNEMENT POUR ADULTES ET DE FORMATION CONTINUE • FAMENNE-ARDENNE
Professeure de danse, chinchinera (musicienne de rue) et militante écologiste, Camila s’interroge sur l’avenir qu’elle souhaite donner à la planète et sur l’avenir qu’elle décidera de (se) donner. À travers ses questions et ses doutes, nous découvrons l’urgence de la révolte écoféministe chilienne.
Au cœur de Volcan, le nouveau documentaire de Stéfanne Prijot (La Vie d’une petite culotte et de celles qui la fabriquent), une question fondamentale : quelle Terre laissons-nous à celles et ceux qui nous suivront ? Et les personnages d’ajouter aussitôt : et à qui ?
Pour y répondre, le film suit Camila, jeune trentenaire qui milite en dansant et qui danse en militant. De repas entre amies à des rencontres au bout du monde avec une famille Mapuche, en passant par des moments de manifestations parfois réprimées par la police, nous découvrons une multitude de voix et de corps, de questions et de doutes quant à ce que signifie encore être et mettre au monde aujourd’hui.
Grâce au temps long que le film donne aux voix qui le composent, mais aussi à la faveur de séquences plus sensorielles qui s’attachent à des corps dansants, manifestants ou soignants, Volcan embarque ses spectateur·rices dans un cheminement fait d’hésitations que Stéfanne Prijot a la grande finesse de ne jamais trancher ou ponctuer définitivement. Les voix et les corps qui s’expriment sont parfois dissonants : ne pas avoir d’enfants parce que la survie du monde que nous leur laissons dépend de notre disparition ou, au contraire, avoir envie de partager encore la beauté du monde avec un enfant à venir ? Ne pas avoir d’enfants pour rompre avec la pression sociale conservatrice ou, à l’inverse, assumer son désir de maternité contre la stigmatisation de ce désir aujourd’hui ?
Malgré les antagonismes qui surgissent, les femmes que nous rencontrons dans Volcan ne cessent de dialoguer car, indépendamment de leur âge ou de leur origine sociale, elles forment dans le film une invisible communauté, certes endeuillée, mais toujours émerveillée du monde.
JEREMY HAMERS, ULiège, in, LesGrignoux.be
Site internet:
https://www.stefanneprijot.com/film/volcan/
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Avec la réalisatrice 😃
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin)
Ce film en noir et blanc s’attache à rendre avec beaucoup de pudeur et d’honnêteté le déroulé d’une journée d’une famille vivant dans un village reculé d’Ethiopie. Dans cette société rurale et particulièrement patriarcale, Assayuh élève seule ses quatre enfants. La période des moissons est l’occasion de découvrir leurs activités quotidiennes, qui renvoient à des gestes ancestraux. Un seul jour nous propose une vision intimiste et authentique de cette communauté.
FRÉDÉRIC FURNELLE
Ingénieur du son et photographe. Il travaille depuis plus de 20 ans dans le milieu du son et a à son actif entre autre plusieurs réalisations de bande son de long- et court-métrages, documentaires, séries télé, installations vidéo,… C’est son deuxième film.
Son premier film, « Marcher pour Genna » a été primé plusieurs fois et a été sélectionné à des festivals dans le monde entier.
Site internet :
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
En présence du réalisateur
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin)
Les pierres sont à la fois l’un des éléments de construction les plus fondamentaux et les plus négligés de notre monde. Lorsqu’une narratrice de documentaires sur la nature à la retraite se penche sur son calcul rénal elle décide de raconter une dernière histoire : celle des pierres oubliées de notre monde.
Apple Cider Vinegar est un film-essai hypnotique posant des questions écologiques urgentes, emmenant le spectateur à la rencontre de travailleurs palestiniens dans les carrières, d’un géologue britannique passionné, et de personnes vivant sur les champs de lave de Fogo.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin)
Joseph ne peut plus vivre chez lui. Pendant des années, il a parcouru la ville avec son chariot pour amasser des kilos de papiers disparates et collections d’objets en tout genre, saturant son appartement d’un chaos labyrinthique. On dit de lui qu’il a le “syndrome de Diogène”. Il est doté d’une culture vertigineuse et d’un sens de l’humour affuté. Je l’aide à désengorger son intérieur. Une amitié se tisse.
Production : Matière Première (Julien Contreau)
Coproduction : GSARA, Luna Blue Film, Shelter Prod, CBA
Avec le soutien du Centre du cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Un film développé dans le cadre du SIC.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin)
Pour découvrir tous les films du mois, téléchargez le programme complet en pdf, par ici : Programme novembre 2024
Attention pour la dernière semaine mois, merci de regarder les mises à jour sur le site de l’asbl Cinémarche
D’après le livre «La Plus Précieuse Des Marchandises» de Jean-Claude Grumberg. Un conte humaniste et d’importance mondiale.
Au niveau des inspirations graphiques, le réalisateur a découvert les estampes japonaises grâce à une exposition et s’est nourri du travail de l’illustrateur Henri Rivière, l’une des figures majeures du japonisme en France, pour faire son film.
Michel Hazanavicius n’a pas voulu se focaliser sur la mort ou la guerre, mais a souhaité davantage rendre hommage aux Justes. Selon le réalisateur, “La Plus Précieuse des Marchandises” est un film sur la vie.
C’est le compositeur Alexandre Desplat, lauréat de deux Oscars (La Forme de l’eau, The Grand Budapest Hotel) et 3 César ( De battre mon coeur s’est arrêté, De Rouille et d’Os, The Ghost Writer) qui signe la musique du film.
Projection précédée d’une présentation du film et du livre, suivie d’un échange d’impressions et petites prolongations autour du rapport entre livre et film
Par l’asbl Cinémarche et la BILOM
D’après une histoire vraie.
Confrontée à une terrible inondation qui oblige les habitants de la forêt à trouver refuge sur le toit de sa tanière, Lola la Lapine a tôt fait d’identifier la cause du sinistre : le projet mégalomane de Castor, qui l’a conduit à construire un gigantesque barrage pour contenir les eaux du fleuve et immerger dans le lac ainsi formé un immense palais sous-marin rempli d’attractions de foire et de machines à fabriquer toutes sortes de bonnes choses à manger. Son rêve : qu’on admire son œuvre ! Et il est prêt pour cela à en faire profiter tout qui passerait par-là, à commencer par ses voisins de la forêt. Mais une fois les premiers enthousiasmes passés, Bernard le Renard, Lola et leurs amis prennent conscience que ce qu’ils veulent avant tout, c’est retrouver leurs maisons et leur vie simple, faite d’amitié et d’entraide. Pour cela, une seule solution s’impose : détruire le barrage…
Ce film d’animation coloré et dynamique explore avec beaucoup de justesse et à hauteur d’enfants le thème de la destruction de l’environnement et ses conséquences sur l’habitat et la vie de ses occupants. in, Les Grignoux.be
Un film joyeux, de chouettes musiques et chansons entraînantes, beaucoup d’action et d’humour pour ce 2ème opus de la cinéaste et illustratrice néerlandaise, après “Chonchon, le plus mignon des cochons” (2022), qui n’empêche pas d’apprendre sur des sujets forts utiles et contribue à développer la conscience de ce qui nous entoure et son importance.
Le 16/04/25 à 14h : dans le cadre du ciné-club mensuel des enfants (Les “CinéAnimés”) séance ludique et participative avec présentation du film, animation et activité pratique en salle après la projection
Une nouvelle séance “Ciné-cabaret” nous attend bientôt pour passer ensemble ce moment symbolique du 1er novembre, avec Les Ateliers Gerny à Humain.
Rendez-vous vendredi 1/11 rue du Gerny, 26 à 6900 Humain dès 18h si vous souhaitez manger avant (croque-morts) et à 18h30 pour la séance de courts métrages en tous genres.
Durée du programme de courts métrages : 88 minutes
Entracte prévue (environ 20 minutes)
Ambiance relax, bar, musique et rencontre
Pour toute question ou réservation :
ou
info@cinemarche.be
Téléchargez le programme du mois d’octobre, par ici !
Vous y trouverez tous les films programmés par l’asbl Cinémarche en détails et leurs horaires jusqu’au 5/11 inclus.
Les années 80, dans le nord de la France. Jackie et Clotaire grandissent entre les bancs du lycée et les docks du port. Elle étudie, il traine. Et puis leurs destins se croisent et c’est l’amour fou. La vie s’efforcera de les séparer mais rien n’y fait, ces deux-là sont comme les deux ventricules du même cœur…
L’Amour Ouf est le second film réalisé en solo par Gilles Lellouche après «Le Grand Bain» en 2018. Il adapte ici le roman «L’Amour Ouf» de l’auteur irlandais Neville Thompson, publié en 2000 et joue avec le mélange des genres, entre polar violent inspiré par Scorcese et drame romantique.
Le cinéaste explique : “On y retrouve les thèmes de la culpabilité et du meurtre, mais sur un autre ton, dans une atmosphère à la Simenon, que j’ai toujours beaucoup aimé.”
“Il y a une volonté de simplicité et de douceur dans la mise en scène, traversée d’une tension et d’un suspense sur les véritables enjeux des personnages, qui sont confrontés à des cas de conscience complexes, au-delà du bien et du mal.”
Alors qu’Emma, 16 ans, est admise dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital, ses parents attendent anxieusement des nouvelles du médecin. Étrangement, Emma est pleinement consciente du monde qui l’entoure mais incapable de communiquer avec lui. Pour comprendre ce qui se passe, Emma doit enquêter sur son passé et démêler le mystère entourant sa soudaine hospitalisation. Petit à petit, elle va être confrontée à la dure réalité de ce qui lui est arrivé.
Inspiré du livre “Tout ira bien” d’Elena Tenace, le nouveau film de la cinéaste belge Solange Cicurel (“Faut pas lui dire”, “Adorables”,…) est autant bouleversant et haletant qu’il est utile et nécessaire, comme outil pour parler du harcèlement scolaire et sur les réseaux sociaux.
À Bornéo, à la lisière de la grande forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outang trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï son jeune cousin vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe vont alors braver tous les obstacles pour lutter contre la destruction de la forêt ancestrale plus que jamais menacée. Mais pour Kéria, ce combat sera aussi l’occasion de découvrir la vérité sur ses origines.
Par ce nouveau film, Claude Barras permet d’aborder un sujet d’actualité et d’urgence environnementale à hauteur d’enfant : la déforestation à grande échelle. C’est un film important de part son utilité sociale et son engagement politique. Il fait aussi le rapprochement avec le vécu de ses grands-parents, qui vivaient en lien étroit avec la nature dans les Alpes et ont été rattrapés par la modernité en moins de deux générations.
Avec les personnages attachants et même super mignons comme le jeune singe Oshi, ainsi que la technique du stop motion, le cinéaste parvient à s’adresser aux plus jeunes spectateurs avec des sujets cruciaux, d’autant plus pour les nouvelles générations, mais il séduit également et totalement les adultes par ses références et inspirations, son propos juste, nécessaire, sans détours et poignant. Et quand la musique de Balavoine couronne le tout… Ce film est un bijou absolu et vital !
Autres dates (sans animation): 19/10, 20/10, 21/10, 22/10, 24/10, 26/10, 28/10, 1/11 et 3/11
Voici le programme des séances du ciné-club “Midis-docus” de septembre à janvier 2025: par ici !
Avec de tous nouveaux films documentaires de création principalement produits en Fédération Wallonie-Bruxelles, aux thématiques variées et avec une rencontre ou partage d’impressions après la projection.
Chaque mois au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance.
Tarif 5 euros par séance ou carte d’abonnement 20 euros pour 5 séances
À 52 ans, Nicole vit dans un petit appartement avec son fils de 19 ans, Serge, qui ne la supporte plus. Endettée et sans emploi, elle se voit retirer chéquier, carte bleue, et ses rides se creusent sans qu’elle ne puisse rien y faire. Et si, à l’approche de Noël, la vie se décidait enfin à lui sourire ?
Un film très personnel, d’un jeune cinéaste né en banlieue parisienne. Morgan Simon est
diplômé du département scénario de La Fémis. Ses courts métrages se distinguent en Festival et font l’objet d’une rétrospective à la Cinémathèque française en 2022.
Son premier long-métrage, COMPTE TES BLESSURES, est soutenu par l’Atelier de la Cinéfondation à Cannes et récompensé dans de nombreux festivals internationaux dont San Sebastián. Salué par la critique à sa sortie en 2017, le film est nommé au Prix Louis-Delluc du meilleur premier film. UNE VIE RÊVÉE est son deuxième long-métrage et a été récompensé du Prix de la Fondation Barrière 2024.
L’exploration des relations parents-enfants, d’un contexte social spécifique, un choix d’acteurs très judicieux, un aspect “conte” et une place importante accordée à la musique notamment, sont des ingrédients qui confèrent au film un style à part entière.
Côté mise en scène, Simon Moutaïrou ne voulait pas se contenter d’être vraisemblable, le metteur en scène souhaitait “tout enflammer” : l’histoire, les enjeux, les séquences. Il précise : “Non par simple désir d’intensité, mais parce qu’avec le chef opérateur Antoine Sanier nous voulions charger mystiquement les plans, nous cherchions à créer une réalité hallucinée. J’aime quand un film a cette texture de réalisme magique. Quand il assume de filmer des mythes et des légendes.” (…)
“Les épreuves successives qu’affronte Massamba sont autant d’étapes d’un parcours de renaissance. Je voulais faire un film de fierté retrouvée. Iconiser mes acteurs noirs : leur visage, leur corps, leur voix. En faire des héros de cinéma, c’était pour moi un geste politique. Ainsi la figure de « l’esclave », symbole de souffrance, est remplacée par celle du « marron », fier et brave.”
Propos recueillis sur Allociné.be
Deux amis de toujours vivent sur une petite ile de Bretagne et découvrent que l’un des habitants a gagné le gros lot à la loterie nationale. Les deux vieilles canailles se mettent alors à la recherche du mystérieux gagnant afin de s’assurer ses faveurs avant que la nouvelle ne se répande. Mais lorsqu’ils découvrent que ce dernier est mort, ticket gagnant en main, ils décident d’organiser avec la complicité de tout le village une grande arnaque au loto pour prendre sa place.
La famille Dotcom vit dans une préhistoire figée dans le temps. Leur routine de l’Âge de pierre est perturbée lorsqu’ils font un voyage dans le futur et reviennent accidentellement avec une clé coudée façon Ikéa. Cet objet apparemment banal déclenche une série d’événements qui poussent leur civilisation préhistorique à évoluer de manière accélérée, mettant en péril leur monde.
Silex and the City est le long métrage basé sur la série animée hilarante d’Arte, elle-même adaptée de la B.D. de Jul (le dessinateur). L’œuvre critique notre monde moderne par un prisme préhistorique et avec un esprit bien décalé.
Le mensonge et la culpabilité sont au cœur de la relation de Patrick avec sa mère Randa. Par le biais de messages audio et appels vidéo collectés à travers les années, il dresse un portrait de la vie de sa mère au Liban et de la sienne en Belgique.
Tour à tour émouvant, provocateur et hilarant, Mea Culpa interroge les liens entre identités nationales et sexuelles d’un jeune émigré palestinien.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
En présence de La Maison Arc-en-Ciel de la Province de Luxembourg
Page Facebook de la Maison Arc-en-Ciel
Tarif: 5 euros ou abonnement 20 euros pour 5 séances
Sur le Monte Faito, dans le centre de réinsertion Il Camino, des personnes détenues en sursis et des toxicomanes vivent exilés en pleine nature. Sur les hauteurs de Naples et de ses quartiers périphériques, en face du Vésuve, ces résidents luttent pour se reconstruire, se transformer avant de redescendre vers leur ville et faire face aux épreuves qui les attendent.
Entendre la parole de personnes détenues et dépendantes. Mieux comprendre leur parcours de vie. Découvrir que des alternatives carcérales sont possibles et fonctionnent. Un documentaire qui redonne espoir et humanité.
Une approche qui méritait bien d’être mise en lumière pour que le modèle inspire, s’exporte et tende à aider d’autres personnes détenues à se libérer.
in, LesGrignoux.be
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 20 euros pour 5 séances
Avec la participation et en présence d’Action Vivre Ensemble et du SMAJ.
Dans le cadre du Mois du Doc
Inspiré de faits réels, Titina raconte l’histoire passionnante d’un voyage d’exploration presque oublié : la conquête du pôle Nord en dirigeable en 1926.
Umberto Nobile, un ingénieur aéronautique italien, mène une vie tranquille avec sa chienne bien-aimée Titina. C’est un type intelligent et cool qui aime le jazz et le confort. Son rêve était d’être pilote. Mais il est trop petit et a fini par devenir un brillant ingénieur spécialisé dans les dirigeables. Un jour, le célébrissime explorateur norvégien Roald Amundsen le contacte et lui commande un dirigeable pour conquérir le pôle Nord, où personne n’est encore jamais allé. Nobile saisit l’occasion d’entrer dans l’histoire. Il emmène Titina avec lui et l’improbable trio part en expédition.
Animation et activité pratico-ludique post-projectionDans le cadre de “CinéMômes”, en collaboration avec La Quadrature du Cercle
Avec le soutien de la Quadrature du Cercle
Un Ciné-cabaret à hauteur d’enfant en mode estival à souhait, c’est possible ? Mais oui absolument !!! Aux Ateliers Gerny, ce mercredi 21/08 à partir de 18h, rien ne sera impossible.
Venez découvrir la variété et l’inventivité de productions de courts métrages d’animation belges aux styles très différents, petites histoires insolites et recherches graphiques extraordinaires au rendez-vous !
Voici l’affiche avec toutes les infos à télécharger : par ici
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Le programme en détail:
“A Géométrie variable” Marie Brune De Chassey
Des enfants et des animaux se déforment, se transforment et se lient pour illustrer le sentiment que l’on peut avoir de son corps et de l’espace qu’il occupe, sous le regard des autres ou à ses propres yeux.
“Ça urge” Johann Etrillard
Un Papa pressé et son fils pas encore bien réveillé prennent la route de bon matin. Ils font malheureusement une rencontre qui risque fort de leur causer un peu de retard…
“Cleo’s Boogie” Atelier Collectif Camera etc.
Deux vieux amis, vivant avec leur chatte dans un appartement défraichi, revivent l’atmosphère percussive et endiablée du Boogie-Woogie de leur jeunesse.
“Click” Marine Jacob
Dans un zoo, un personnage tente de photographier un petit papillon et oublie les autres animaux présents autour de lui.
“Conte Sauvage” Aline Quertain
Au milieu d’une forêt boréale, un félin solitaire rencontre un petit oiseau. Ces deux êtres que la nature oppose se surprennent et s’attirent. Une relation d’amitié teintée de méfiance naît entre eux.
“Grouillons-nous” Margot Reumont
A l’heure de pointe, une foule de fruits se presse dans le métro au rythme effréné de la musique. Le métro s’arrête brusquement et les fruits, renonçant petit à petit à leur empressement, s’endorment et rêves d’un monde où ils poussent sur des arbres. Mais le métro redémarre brusquement et les ramène à la dure réalité : le terminus.
“Muscle Masqué dans: Ferraille Pagaille” Nicolas Gemoets
Muscle Masqué, le super héros le plus propre du monde, se lance dans une bataille haletante contre un robot géant qui a décidé de réduire la ville en décombres. Cependant, son obsession pour l’ordre pourrait bien le conduire à sa perte.
“Roues libres” Jacinthe Folon
Citadins, Citadines, Voici une information de la plus haute importance : les vélos sont de retour dans nos villes!
“Jules et Juliette” Chantal Peten
C’est une belle journée d’été, Jules & Juliette vont à la plage. Ils portent sur leur tête le canot pneumatique avec lequel ils comptent naviguer. C’est déjà toute une affaire ! Évidemment, Jules est maladroit et ne manque pas de faire l’idiot. La plage est déserte. Une journée radieuse s’annonce pour les deux amis, pleine de rires et de connivence.
“Pour une poignée de girolles” Julien Grande
Alors que toute la famille s’attelle à la préparation du repas, le grand-père tente désespérément de trouver quelques champignons.
“Rêver Grand” Clara Mei Lin Liu
Des esprits se promènent dans une ville endormie, traversent plaines et vallées avant le lever du jour. Ces créatures magiques sont les totems des femmes qui rêvent et construisent leur destinée.
“Robo” Léo Becker
L’étrange rencontre entre une tour résidentielle et un robot géant dans le canal de Bruxelles.
C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Chiara. Elle est actrice, elle est la fille de Marcello Mastroianni et Catherine Deneuve et le temps d’un été, chahutée dans sa propre vie, elle se raconte qu’elle devrait plutôt vivre la vie de son père. Elle s’habille désormais comme lui, parle comme lui, respire comme lui et elle le fait avec une telle force qu’autour d’elle, les autres finissent par y croire et se mettent à l’appeler “Marcello”.
Sur l’île de Kalamaki en Grèce, Yannis, un jeune enfant autiste, rythme ses journées en mesurant l’ordre du monde : les bateaux qui accostent, les prises des pêcheurs, le va-et-vient des clients du café.L’arrivée inattendue de son grand-père, Alexandre Varda, homme d’affaires de renom qu’il n’a jamais rencontré, va perturber l’équilibre fragile de son quotidien. Malgré leurs différences apparentes, une relation profonde et bouleversante se tisse entre ce grand-père distant et ce petit-fils aux talents singuliers.
Toutes les dates : 14/08, 15h45, 15/08-20h, 16/08-18h, 18/08-15h45, 19/08-17h45, 20/08-20h, 22/08-17h45, 23/08-20h, 25/08-18h, 26/08-20h, 28/08-15h45, 30/08-20h15, 31/08-15h45, 1/09-20h15
“Michel Franco accompagne l’éveil de cet amour inattendu avec une grande délicatesse. Il capte les frémissements du visage, l’éclosion des sentiments. Cela donne un beau film d’amour à hauteur d’homme et de femme comme on n’en avait pas vu depuis longtemps.”
Le Point“Film certes sombre par moments, Memory multiplie les séquences lumineuses et offre un final absolument incroyable, en contant l’histoire de ces deux laissés-pour-compte en apparence en opposition, l’un tâchant de retrouver sa mémoire, l’autre faisant tout pour oublier son passé… (…) Un grand film.”
Le ParisienPang est un jeune panda qui grandit dans un village idyllique au cœur de la Chine. Mais lorsque sa meilleure amie, Jielong la dragonne, est enlevée pour être offerte en présent à un jeune roi lion capricieux, Pang n’hésite pas une seconde : il embarque pour une aventure qui va le mener jusqu’en Afrique ! Aidé par un malicieux singe, Pang va rencontrer de nouveaux amis et découvrir les splendeurs d’un continent totalement inconnu des pandas.
Une production européenne grand public qui aborde plusieurs thèmes importants comme l’amitié, distrayant et très bien adapté aux plus petits.
Le film, courageux, va au cœur de l’horreur. Uniquement par la parole des survivantes. Les crimes rituels commis contre les enfants ne sont pas des épiphénomènes mais bien un mode de vie, impuni, qui dit la profondeur du mal sociétal. La force du film est de ne jamais chercher le pathos, grâce aux victimes qui, avant de parler ont longuement travaillé sur leur douleur. En résulte un film clinique, extrêmement bien documenté, précis sur les faits et les conséquences des faits. Pour public averti uniquement. Il était temps ! (inspiré par les critiques de) Charly Ferruda, Léo M. in Allociné
Séance rencontre et débat post-projection
En présence d’invités
Tarif habituel de la salle
Pas de réservations
Le mensonge et la culpabilité sont au cœur de la relation de Patrick avec sa mère Randa. Par le biais de messages audio et appels vidéo collectés à travers les années, il dresse un portrait de la vie de sa mère au Liban et de la sienne en Belgique. Tour à tour émouvant, provocateur et hilarant, Mea Culpa interroge les liens entre identités nationales et sexuelles d’un jeune émigré palestinien.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 40 euros pour les 10 séances “Midis-docus” (de septembre à juin)
Dans un monde où l’envie de devenir parent se heurte aux défis liés aux couples de même sexe, le réalisateur explore le lien de parentalité, tout en entreprenant une odyssée personnelle pour réparer ses liens avec son propre père. En plongeant dans l’essence du désir parental, le film pose des questions fondamentales : Qu’est-ce qui alimente notre quête de la parentalité ? Quelle est la force des liens biologiques dans l’attachement ? Dans un mélange singulier de narrations, le film retrace non seulement le trajet d’une exploration de ces questions, mais dépeint également une émouvante réconciliation. Des profondeurs de l’impossibilité naît alors un champ inattendu de possibles.
CQNL-BA from Need Productions on Vimeo.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 20 euros pour 5 séances
Le film ‘Echo(e)s’ rend visible ces expériences souvent minimisées et banalisées qui se vivent lors d’un suivi gynécologique ou obstétrical. Il se construit sur le récit de huit personnes, en paroles et en mouvements, sur terre et dans l’eau, pour (re)questionner les pratiques de soin par le soin.
Après avoir travaillé en tant qu’assistante de production dans le milieu du stand-up/festival et du cinéma, après avoir fait partie de l’équipe du film « Kursk » (réalisé par Thomas Vinterberg), Chloé De Bon se consacre à la réalisation de son premier documentaire et crée en parallèle l’association FEMMESProd qui se dédie à la santé sexuelle et mentale des femmes et leurs complices à travers des espaces/outils.
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros ou abonnement 20 euros pour 5 séances
Réservation souhaitée pour les groupes
En collaboration avec ScreenBox
Marion ou la métamorphose – Bande Annonce from Dancing Dog Productions on Vimeo.
Séance conviviale et participative au Tiroir des Saveurs
Possibilité de se restaurer pendant la séance
Rencontre post-projection
Tarif : 5 euros par séance ou abonnement 20 euros pour 5 séances
En collaboration avec Screenbox
Émily, jeune femme fantasque qui peine à devenir adulte, s’est détachée de sa famille dysfonctionnelle depuis longtemps. Lorsqu’elle apprend la tentative de suicide de sa mère, Émily décide de la rejoindre avec ses sœurs, en Italie… mais découvre que tout ceci n’était qu’une mise en scène, destinée à les rassembler dans une belle villa face à la mer. Furieuse, Emily s’enfuit dans Gênes où elle rencontre l’étrange Gabin, qui va l’aider à affronter les secrets de cette famille pas comme les autres.
Un film solaire et une belle rencontre d’acteurs pour cette comédie subtile et sensible, qui aborde les relations filiales compliquées sur fond de décors italiens somptueux.
Eva, gardienne de prison exemplaire, fait face à un véritable dilemme lorsqu’un jeune homme de son passé est transféré dans l’établissement pénitentiaire où elle travaille. Sans dévoiler son secret, Eva sollicite sa mutation dans l’unité du jeune homme, réputée comme la plus violente de la prison.
Toutes les dates :
10/07-17h45, 11/07-20h, 12/07-15h, 13/07-17h45, 14/07-20h, 15/07-15h, 16/07-20h, 17/07-16h, 18/07-18h, 19/07-20h, 21/07-20h, 22/07-18h, 23/07-16h
“Reines est un road-trip sous tension, féminin et féministe. Porté par trois actrices formidables – notamment Nisrin Erradi, à la présence inquiétante et électrique -, ponctué de quelques notes d’humour, ce film d’émancipation secoue par sa fougue. Jusqu’à un final plein de poésie.”
Le ParisienL’histoire vraie de deux petits garçons de 5 et 7 ans qui, abandonnés par leur mère en 1948, s’enfuient dans la forêt. Ils vont y survivre pendant sept années et tisser un lien qui les unira à jamais. Des décennies plus tard, les deux frères quittent tout pour se retrouver. Mais le passé et les secrets les rattrapent, même à l’autre bout du monde.
La dimension de l’histoire dans laquelle les deux frères tentent de rejouer une dernière fois la partition d’une vie à deux dans une nature sauvage, permet au réalisateur, grâce à une mise en scène plus sobre et surtout, grâce au duo Kassovitz/Attal, de trouver une belle justesse.
Dans le bush australien, années 1940, un jeune orphelin aborigène de neuf ans est déposé au milieu de la nuit dans un monastère éloigné dirigé par une religieuse renégate. Sa présence va perturber ce monde délicatement équilibré et bouleverser la petite communauté. Une histoire de lutte spirituelle, où le coût de la survie est élevé…
Le réalisateur australien, d’origine aborigène, puise dans sa propre enfance et nous livre un manifeste envoûtant, quasi voyage mystique.
Un nouveau film de l’absolument géniale Marjane Satrapi ? On fonce le voir, car si en plus elle se focalise sur des préceptes qui, avec une force de conviction burlesque, donnent juste envie de vivre à fond et au mieux la vie devant nous, c’est juste du bonheur assuré !
Pour échapper à la police, un fils et son père en cavale sont contraints de trouver refuge dans une colonie de vacances pour jeunes adultes en situation de handicap, se faisant passer pour un pensionnaire et son éducateur spécialisé. Le début des emmerdes et d’une formidable expérience humaine qui va les changer à jamais.
Succès phénoménal du moment en matière de comédie française, premier film réussi de l’humoriste, comédien et dramaturge Artus, qui passe pour la première fois à la réalisation et signe un long métrage à la bonne humeur débordante. Artus réussit à faire rire et à émouvoir en se moquant de nos propres ambivalences et sans jamais donner de leçons.
Réservations souhaitées
Lorsqu’un long métrage belge encore tourné en pellicule ne comporte à son générique aucun pouvoir subsidiant, cela titille la curiosité. C’est le cas de “Michel Vay”, troisième long métrage d’un duo de cinéastes bruxellois qui n’hésite pas à changer de style à chaque production.
Après Bruxelles, “Michel Vay” est en sortie itinérante grâce à Kinoféroce, une structure de diffusion qui soutient des films singuliers, atypiques, ne trouvant pas facilement le chemin des salles car ne répondant pas à leur modèle économique.
La séance avec “Michel Vay” aux Ateliers Gerny est aussi accompagnée d’un court métrage et d’un concert !
de Patricia Gélise & Nicolas Deschuyteneer, 2023, BE, DCP, vo fr st nl, 60’
Michel Vay part en cavale après avoir emporté le butin qu’il convoyait pour la société Apollo Security. Cueilli par une muse qui lui ouvre la portière de sa Mazda 818 coupé vert absinthe, à la lisière d’un champ de monoculture, à bout de souffle, trainant un sac plein de billets, le fugitif est bien forcé de changer de perspective quand des drones de la police lui demandent d’ouvrir son sac et que des champignons ont remplacé les billets de 500 euros. À partir de là, Michel Vay devient spectateur de sa propre vie, frappé par son destin comme si son acte de désobéissance ouvrait la voie à un autre monde plus authentique et plus sensible. Ici, ce n’est pas dans un parking crasseux que va se planquer le délinquant mais dans une forêt entre les mousses et les étangs, les routes abandonnées et les vaisseaux fantômes que nous offrent la campagne wallonne. Le monde enchanté de Michel Vay s’ouvre à nous, un monde où la muse, le cowboy solitaire, le pêcheur et l’hôtesse de l’air chantent leur banalité. Road-movie pur vintage, polar electropop, western ou poème surréaliste, cette fiction pourrait se situer dans le courant réaliste magique, à la façon d’André Delvaux, où d’Harry Kümel dans “Les Lèvres rouges”. Un film belge musical et débridé, qui au-delà des apparences nous parle subtilement de notre rapport au monde quand la mort nous guette.
→ Projection suivie d’une rencontre avec les cinéastes et avec les membres de Kinoféroce qui animeront la discussion avec l’asbl Cinémarche aux Ateliers Gerny et composeront un avant-programme en écho à “Michel Vay” : “DRAME 71” de Guillaume Lion (BE, 2022, VO FR ST ANG, 25’ ).
Le film “Drame 71” relate l’idylle entre un homme et une femme à Bruxelles (ou) Les destins d’un auteur-compositeur et une vendeuse de glaces s’entremêlent avec celui d’une future ligne de tram. Amusant et décalé, cette comédie musicale illustre la complexité des rencontres amoureuses.
Co-écrit et interprété par Lenny Guit.
Concert du groupe LEM post-projection pour prolonger l’ambiance avec la B.O revisitée du film, avec Nicolas Ekla (chant) et Wilf Plum (basse). LEM propose une synthèse entre musique électro, pop décalée et chants en français, avec des textes métaphoriques et revendicatifs.
Téléchargez l’affiche de l’événement en pdf: par ici
Réservations souhaitées: 0497156654 ou info@cinemarche.be
Rien n’avait préparé Eva à l’exigence d’un grand hôtel. En intégrant l’équipe des femmes de chambres, elle fait la connaissance de collègues aux fortes personnalités : Safietou, Aissata, Violette et Simone. Entre rires et coups durs, la jeune femme découvre une équipe soudée et solidaire face à l’adversité. Lorsqu’un mouvement social bouscule la vie du palace, chacune de ces « petites mains » se retrouve face à ses choix.
Un nouvel hommage vibrant aux travailleurs invisibles.
Séance conviviale et participative organisée en partenariat avec La Maison des Aînés de Marche
Manon, une adolescente introvertie de 16 ans, se voit obligée de cohabiter avec son insupportable grand-mère Yvonne, une ex- militante féministe qui ne peut plus vivre seule. La situation se corse quand Yvonne, confuse, commence à prendre Manon pour sa fille. Manon va entrer par jeu dans les délires d’Yvonne et rejoue le rôle de sa mère qu’elle n’a presque pas connue. C’est l’occasion pour elle de découvrir la véritable histoire des femmes de sa famille et d’apprendre, à son tour, à en à devenir une.
Elodie LÉLU
Née en Bretagne en 1982, après des études d’Histoire de l’Art, elle rejoint l’INSAS. Après un premier court métrage de fiction, Leçons de conduite, primé notamment à Valladolid et Vancouver, la réalisatrice signe en 2019 Lettre à Théo adressée au réalisateur grec Théo Angelopoulos qui lui a appris le cinéma. Après de nombreux documentaires, Retro Therapy est son premier long métrage de fiction.
Chihiro, une fillette de 10 ans, est en route vers sa nouvelle demeure en compagnie de ses parents. Au cours du voyage, la famille fait une halte dans un parc à thème qui leur paraît délabré. Lors de la visite, les parents s’arrêtent dans un des bâtiments pour déguster quelques mets très appétissants, apparus comme par enchantement. Hélas cette nourriture les transforme en porcs. Prise de panique, Chihiro s’enfuit et se retrouve seule dans cet univers fantasmagorique ; elle rencontre alors l’énigmatique Haku, son seul allié dans cette terrible épreuve…
Un poème en prose, une épopée foisonnante, un conte philosophique, un voyage initiatique aussi fascinant que l’enfance.
Le film est proposé en version originale sous-titrée en français
Deux petites filles, Mei et Satsuki, viennent s’installer avec leur père dans une grande maison à la campagne afin de se rapprocher de l’hôpital où séjourne leur mère. Elles vont découvrir l’existence de leurs nouveaux voisins, invisible aux yeux des autres humains, des créatures merveilleuses, mais très discrètes : Grand Totoro, Moyen Totoro (Chū-Totoro) et Petit Totoro (Chibi-Totoro). Avec son ventre rebondi, Totoro est un être rare et fascinant, un esprit de la forêt… Il se nourrit de glands et de noix. Il peut voler, se déplacer en « Chat-Bus ». Il dort le jour, mais les nuits de pleine lune, il aime jouer avec des ocarinas magiques…
Le film est proposé en version originale sous-titrée en français
Japon, XVe siècle. Jadis protégée par des animaux géants, la forêt se dépeuple à cause de l’homme. Blessé par un sanglier rendu fou par les démons, le jeune guerrier Ashitaka quitte les siens et part à la recherche du dieu-cerf qui seul pourra défaire le sortilège qui lui gangrène le bras. Au cours de son voyage, Ashitaka rencontre Lady Eboshi, à la tête d’une communauté de forgerons, qui doit se défendre contre ceux qui lui reprochent de détruire la forêt pour alimenter ses forges. Parmi ses pires ennemis se trouve San, une jeune fille sauvage élevée par des loups, aussi appelée “Princesse Mononoké”, la princesse des spectres…
Un chef-d’œuvre absolu du grand maître de l’anime japonaise, l’une des fables parmi les plus écologiques de son œuvre.
Le film est proposé en version originale sous-titrée en français
Après dix jours de compétition, les Jeux sont un fiasco pour la délégation française qui ne parvient pas à gagner de médaille d’or. Tous les espoirs de titre reposent désormais sur Paul, champion du monde de tir mais athlète immature et pas très malin. Alors que la compétition approche, il est contraint de partager sa chambre avec un nageur qui semble plus préoccupé par les tentations extra-sportives du village que par sa course.
Julien est professeur au collège. Jeune et volontaire, il essaie de créer du lien avec sa classe en prenant sous son aile quelques élèves, dont la timide Leslie. Ce traitement de faveur est mal perçu par certains camarades qui prêtent au professeur d’autres intentions. Julien est accusé de harcèlement. La rumeur se propage. Le professeur et son élève se retrouvent pris chacun dans un engrenage. Mais devant un collège qui risque de s’embraser, un seul mot d’ordre : pas de vagues…
Le film est inspiré d’un fait divers vécu par le réalisateur. La phrase “#Pasdevagues” est l’emblème d’un mouvement de contestation des professeurs et de libération de la parole. Il traduit un besoin de dénoncer la violence subie au quotidien. Avec une réalisation et une bande-son impressionnantes, il va vers l’espoir et souligne l’importance de la transmission entre professeurs et élèves.
Une histoire simple, de l’humour accessible, une ambiance colorée : autant d’ingrédients qui font de Non-Non dans l’espace le film parfait pour une première expérience cinéma avec les tout-petits !
Les petits habitants de Sous-Bois-Les-Bains ont décidé d’aller planter leur drapeau sur la Lune ! En apesanteur dans l’espace, Non-Non et ses copains ont à peine le temps d’admirer le paysage qu’une impressionnante pluie de météorites les fait dévier de leur trajectoire initiale…
Non-Non est un ornithorynque imaginé au départ par l’illustratrice Magali Le Huche pour une collection de livres pour tout-petits. Dans ce programme, ces attachants personnages sont sculptés à la main et évoluent dans des décors somptueux réalisés selon le même procédé !
En 1900, Lili d’Alengy, célèbre courtisane parisienne, a un secret honteux – sa fille Tina, née avec un handicap. Peu disposée à s’occuper d’une enfant qui menace sa carrière, elle décide de quitter Paris pour Rome. Elle y fait la connaissance de Maria Montessori, une femme médecin qui développe une méthode d’apprentissage révolutionnaire pour les enfants qu’on appelle alors « déficients ». Mais Maria cache elle aussi un secret : un enfant né hors mariage. Ensemble, les deux femmes vont s’entraider pour gagner leur place dans ce monde d’hommes et écrire l’Histoire.
Le film, superbe portrait de femmes, est axé sur l’histoire personnelle de Maria Montessori et sur l’acceptation de la différence. Il révèle avec beaucoup de délicatesse la beauté d’enfants qu’on ne voit quasi jamais, pour remonter aux origines de la méthode Montessori.
Pour tenter de sauver son fils Martin injustement condamné à mort en Indonésie, Carole se lance dans un combat inégal contre les exploitants d’huile de palme responsables de la déforestation et contre les puissants lobbies industriels.
Le réalisateur d’Au nom de la terre, drame paysan inspiré de son histoire personnelle, revient avec un film-dossier habité par le même engagement politique. Un thriller écologique captivant de bout en bout !
Bienvenue dans la Renaissance ! Une époque où artistes, savants, rois et reines inventent un monde nouveau. Parmi eux, un curieux personnage passe ses journées à dessiner d’étranges machines et à explorer les idées les plus folles. Observer la lune, voler comme un oiseau, découvrir les secrets de la médecine… il rêve de changer le monde. Embarquez pour un voyage avec le plus grand des génies, Léonard de Vinci !
Au cœur de l’Arctique, la péninsule de Yamal est le coffre fort gazier russe, la plus grande zone d’exploitation gazière au monde. 85% du gaz russe provient de Yamal. A Yamal, les NENETS cheminent en transhumance du Nord au Sud de la péninsule depuis plus de 200 générations. Pourront-ils ils survivre à cette convoitise et à cette surindustrialisation ? Western polaire et environnemental, ce film documentaire nous plonge dans l’émergence de la route maritime du Nord-est et la disparition de l’ultime route de transhumance sibérienne. Le succès de l’un peut signifier l’extinction de l’autre.
Soirée événement avec présentation du film et drink post-projection
Dernier Midis-docus de la saison avec une rencontre du réalisateur et un film super solaire!
Coincée entre les quatre murs d’un quartier défavorisé de Port- Louis sur l’île Maurice, Nolwenn, enfant introvertie, vit avec sa tablette pour seule fenêtre vers le monde. Cela ne l’empêche pas de rêver en musique. Un rêve qui pourrait bien devenir réalité lorsquelle est accueillie au sein de Mo’zar, une école de Jazz atypique créée par un musicien idéaliste.
José thérèse est revenu sur sa terre natale pour constater que la situation sanitaire et sociale s’aggrave. Il décide alors de créer un atelier de musique, “Mo’zar”, destiné entre autres à favoriser l’intégration par l’éducation et la pratique des arts.
Un film documentaire solaire et musical porté par une jeune protagoniste rayonnante, pour clôturer une saison en musique, en beauté et réchauffer les cœurs!
Séance conviviale et participative à la découverte de films documentaires variés, au Tiroir des Saveurs, avec possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros avec une boisson comprise
Mo’zar Teaser fr. from Sébastien Petretti on Vimeo.
Voici le programme complet du ciné-club mensuel “Midis-docus” de février à juin !
Avec des séances variées et riches en rencontre :
Programme à télécharger en pdf : par ici
Castiglione d’Otranto, dans le Sud de l’Italie. Un groupe de trentenaires n’accepte plus que la solution aux problèmes économiques, écologiques et politiques du territoire soit toujours partir. Ils proposent aux villageois qui possèdent des morceaux de terres en friche, souvent ressenties comme un fardeau, de les mettre en commun. Ils décident alors de rester, de lier leurs vies à la terre et d’investir sur une valeur : être ensemble. Castiglione devient le village de la restance. On y cultive les graines anciennes et la biodiversité locale, on décide ensemble, on développe une économie de proximité. En acceptant les ombres du passé, on redécouvre un autre potentiel du lieu.
Séance organisée par la MCFA
Dans le cadre du Festival A Travers Champs
Lieu de projection:
Maison de village de Grimbiémont
Rue de la Fosse 1
6900 – Grimbiémont
Mathieu habite Paris. C’est un acteur connu, proche de la cinquantaine. Alice, un peu plus de 40 ans, est professeure de piano et vit dans une petite cité balnéaire dans l’ouest de la France. Ils se sont aimés il y a une quinzaine d’années. Puis séparés. Depuis, le temps est passé, chacun a suivi sa route et les plaies se sont refermées peu à peu. Quand Mathieu vient diluer sa mélancolie dans les bains à remous d’une station thermale, il retrouve Alice par hasard.
De la délicatesse pure. L’occasion de prendre le temps, avec ces personnages éblouissants de sincérité. Un film surprenant, poétique, drôle et critique en même temps. Des scènes magiques, des dialogues savoureux et interprétations improbables. Une ode à la vie et à l’amour, au temps qui passe et à l‘authenticité, dont on ressort tout émerveillé.
Un film politique, tout en tension, au casting de choc et choix esthétiques judicieux, qui accentuent les sensations ressenties par le spectateur par rapport au lieu et à la l’histoire. Josiane Balasko incarne Marguerite Bottard (1822-1906), femme du peuple devenue à force d’abnégation l’infirmière en chef et « surveillante » du neurologue Charcot à la Salpêtrière à Paris.
Pierre, 33 ans, fleuriste à succès, voit sa vie basculer lorsque sa mère, Judith, fantasque et excessive, débarque dans sa vie après deux ans sans se voir. Pierre n’a qu’une idée, reprendre le cours normal de sa vie, mais rien ne se passe comme prévu. Leurs retrouvailles, aussi inattendues qu’explosives, vont transformer Pierre et Judith à jamais.
Pour son premier film, Julien Carpentier vise juste en réunissant Agnès Jaoui et William Lebghil dans une relation mère-fils aussi attachante que drôle. Prix du Public au Festival d’Angoulème et au Festival de Valenciennes.
D’après l’histoire authentique du vétéran britannique Bernard Jordan, qui s’est évadé de sa maison de retraite en juin 2014 afin de pouvoir rejoindre ses camarades de combat lors des cérémonies organisées pour célébrer le 70e anniversaire du Débarquement des forces alliées en Normandie. 48 heures de cavale qui coïncidaient par ailleurs avec ses 60 ans de mariage avec son épouse.
Lorsque son chalutier tombe en panne, Stan, vieux marin bourru, peine à trouver sa place sur la terre ferme. Françoise, sa femme, et ses deux fils gendarmes, ont l’habitude de son mauvais caractère et de ses petites embrouilles, mais ses ennuis prennent une autre ampleur quand il rentre à la maison avec Bahman, 10 ans, trouvé dans un carton volé…
Le film arrive à apporter profondeur et singularité malgré le sujet connu. Bonneton et Timsit forment un couple convaincant et un duo de comiques qui fonctionne à merveille, dans cet agréable décor marin.
De la Patagonie aux montagnes du Mexique, des communautés se soulèvent. Elles dénoncent la destruction de leurs territoires et de leurs vies. Puisant dans leurs héritages culturels, elles s’organisent pour créer des solutions inspirantes. Le film remarquablement documenté se fait l’écho et nous plonge au cœur de ces voix de résistance.
Au Tiroir des Saveurs – possibilité de se restaurer pendant la séance
Tarif: 5 euros avec 1 boisson comprise
Rencontre avec la réalisatrice ou le réalisateur
Séance organisée en partenariat avec le projet collectif “En quête d’Identité(S)” organisé par le CAL-Luxembourg
Téléchargez le programme en pdf
Téléchargez le programme (recto) en pdf
En présence de membres de l’asbl Identité Amérique Indienne
Minga, Voix de résistance: Trailer from Damien Charles on Vimeo.
« Il paraît que nous, les marcheurs, nous passons nos nuits en pointillé… »
« Les oiseaux de passage » est un film documentaire retraçant la marche de Brice depuis l’Ardenne belge vers Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne.
Trois mois et 2405 kilomètres de randonnées sur les célèbres chemins de pèlerinage, muni seulement de son sac à dos et de sa caméra légère. Brice part à la rencontre de toutes ces personnes qui parsèment son chemin : des villageois curieux, des marcheurs aguerris ou non, des hospitaliers (accueillants d’auberges pour pèlerins). Le temps d’un échange, ces personnes nous livrent leurs ressentis et ce que le chemin éveille en eux.
Pourquoi partir marcher ?
En quoi cette marche vers Compostelle est-elle si particulière ?
Juste le temps d’une discussion avant de reprendre la marche. On avance ainsi de récit en récit au rythme du Chemin, une longue marche contemplative à travers les paysages ardennais, à travers la France rurale, passant par des plaines désertiques d’Espagne et jusqu’à Fisterra, le « bout du monde » et son océan.
Jusqu’à la fin du Chemin, si tant est qu’il existe une fin au Chemin…
Dans le cadre du Festival A Travers Champs
Rencontre post-projection
En présence du réalisateur !
KINOKIDS : ANIMO + Atelier Créatif
“LUNA LLENA” – Isabel Garcia Moya
Pour cette première collaboration avec l’asbl Cinémarche, KinoKids propose un programme thématique autour des animauxDes films peu ordinaires, bigarrés, enchantés ! De Belgique et d’ailleurs ! à travers une sélection de 11 courts métrages issus de notre foisonnante collection : La Vidéothèque Nomade Des images et des sons à partager en famille, entre ami.e.s, dans une ambiance conviviale… Après la projection, retrouvons nous pour un atelier des plus créatif, à destination des kids mais aussi des adultes.. Nous réaliserons collectivement une grande fresque colorée peuplée d’animaux imaginaires à l’aide de gouache en stick. Bienvenu.es !PROGRAMME– DIX SECONDES POUR CONVAINCRE – Margot Reumont – BE– MENAGERIE – Jonathan Hodgson – UK– UN LYNX DANS LA VILLE – Nina Bisyarina – FR/CH– FLOREANA – Lou Morton – DK/USA– LE POISSON FIDELE – Atelier Collectif Zorobabel – BE – LE RENARD MINUSCULE – Aline Quertain & Sylwia Szkiladz – FR/BE– PAULETTE – Louise-Marie Colon – BE– KIKI LA PLUME – Nicolas Bianco-Levrin & Julie Rembauville – FR– NOCTURNE – Mathis Dubrul – BE– LUNA LLENA – Isabel Garcia Moya – BE– LOOPER – Eve Deroeck & Leoluna Robert Tourneur – BE Avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel et du RACC En partenariat avec l’asbl 68 Septante – La Vidéothèque Nomadewww.la-videotheque-nomade.net
Lucien, jeune garçon qui vit retiré avec sa mère Cécile et son frère aîné dans un village des Ardennes, porte un lourd secret, il fuit le contact autant que les questions. Il se rapproche pourtant de Freddy, le père de Lies, sa seule amie, et passe son temps dans la modeste scierie de celui-ci. Mais lorsque la grand-mère de Lucien décède et qu’une sortie pénitentiaire est accordée à son père pour assister aux funérailles, tout bascule. Voir son père éploré, menotté et protégé de la fureur populaire par un impressionnant déploiement policer bouleverse Lucien. Contre l’avis de son entourage, Lucien veut revoir son père. Au risque de tout perdre…
Sur un Speedway perdu à la frontière entre la Flandre et la France, Alizée est pilote, tout comme son amoureux, son père, sa mère et bientôt son petit-frère. Les dimanches, elle débranche son cerveau et appuie sur l’accélérateur dans un grand défouloir de vitesse et de destruction pour devenir héroïne d’un jour, d’une course, d’un crash. Mais le circuit qui rassemble la Communauté depuis 40 ans doit fermer, sous le coup de problèmes administratifs. Comment Alizée et la communauté vont vivre sans leur raison d’exister?
Le film est sélectionné pour le Magritte du Meilleur Documentaire.
Séance SUPER conviviale et participative avec RENCONTRE post-projection, en présence de l’équipe du film et de plusieurs pilotes
Au TIROIR DES SAVEURS,
74 Ch. de l’Ourthe à Marche
Possibilité de se restaurer pdt la séance
Tarif 5 euros avec 1 boisson comprise
Se crasher pour exister – Trailer from Toast Production on Vimeo.
Une nuit, une femme en danger appelle la police. Anna prend l’appel. Un homme est arrêté. Les semaines passent, la justice cherche des preuves, Aly, Anna et Dary font face aux échos de cette nuit qu’ils ne parviennent pas à quitter.
Son bouleversant court métrage «Une sœur» avait été nominé aux Oscars en 2020. C’est dire si son premier long métrage, inspiré par ce court, est attendu! Après sa première mondiale à la Mostra de Venise, le très attendu premier long métrage de Delphine Girard, QUITTER LA NUIT, a été projeté en ouverture du 38e Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF).
‘One Life’ raconte l’histoire vraie de Sir Nicholas Winton. Son action à la veille de la Seconde Guerre mondiale a permis de sauver plus de 600 enfants des mains des nazis. Pendant plusieurs années et avec plusieurs amis, il a oeuvré pour faire venir les enfants au Royaume-Uni pour qu’ils y soient en sécurité. Nombre d’entre eux y ont été adoptés par des familles britanniques. 50 ans plus tard, en 1998, Nicholas se reproche néanmoins de ne pas avoir fait assez pour sauver tous les enfants. Ce n’est que lorsque le programme TV “That’s Life!” de la BBC l’invite à venir en plateau qu’il semble enfin commencer à se distancer de ce sentiment de culpabilité et de la peine qu’il ressent depuis cinq décennies.
Adapté de l’ouvrage «If It’s Not Impossible… The Life of Sir Nicholas Winton» de Barbara Winton.
Amal, enseignante dans une école bruxelloise, encourage ses élèves à cultiver l’amour de la lecture et la liberté d’expression, quitte à se mettre en danger. Ses pratiques pédagogiques audacieuses vont changer la vie de ses élèves.
Le nouveau film de Jawad Rhalib est un plaidoyer vibrant pour la liberté d’enseigner, porté par une Lubna Azabal passionnément engagée. Avec “Amal” et après «Au temps où les arabes dansaient», le cinéaste belge-marocain poursuit une carrière marquée par son engagement, et son attention aux problématiques qui traversent les sociétés contemporaines.
Quand Alain doit jouer Brel, son destin se mélange à celui de l’artiste. Cette rencontre va le rapprocher de sa fille et bouleverser sa vie.
Loin de toute tentative de biopic, avec une mise en scène simple, délestée de tout artifice et après différents films qui l’évoquent moins directement, le cinéaste aborde cette fois le thème de la filiation de manière frontale. L’absence d’un père est-elle réparable? Avec d’autres thèmes tels que la célébrité, la solitude, le déni, la tricherie ou la lâcheté, «Sous le vent des marquises» explore finement ce sujet personnel grâce à des personnages magnifiquement interprétés.
Le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, et sa femme Hedwig s’efforcent de construire une vie de rêve pour leur famille dans une maison avec jardin à côté du camp.
Jonathan Glazer (‘Birth’, ‘Under the Skin’) a reçu le Grand Prix du Festival de Cannes 2023 pour cette coproduction Europe/Etats-Unis qui nous montre de manière singulière la banalité du mal à l’œuvre pendant l’Holocauste. in, CineArt .be
Grand Prix au Festival de Cannes, le nouveau film de Jonathan Glazer est une œuvre magistrale et importante. Glaciale, impactante, elle convoque toute la puissance du cinéma pour raconter l’Holocauste et la banalité du mal
Le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, et sa femme, Hedwig, s’efforcent de construire une vie de rêve pour leur famille dans une maison avec jardin à côté du camp…
C’est au bord d’une rivière que s’ouvre le film. Déjeuner sur l’herbe, insouciance printanière, la famille Höss profite d’un jour de congé. C’est par cette entrée-là, bercée par le doux son des grillons, du roucoulement de l’eau et des cris joyeux des enfants, que le film nous entraîne progressivement dans l’horreur la plus glaçante. Le tour de force de Jonathan Glazer (réalisateur du fascinant Under the Skin) est de basculer sa caméra, et donc notre regard, de l’autre côté des camps de concentration — littéralement de l’autre côté du mur qui jouxte celui d’Auschwitz-Birkenau —, dans la demeure et le quotidien de cette famille nazie, dont le père fut l’un des rouages essentiels de l’extermination des Juifs.
Évidemment, une dissonance s’immisce bientôt dans ce tableau a priori parfait, la petite musique stridente de l’ignominie se fait entendre, d’abord par à-coups, puis jusqu’à envahir la totalité de l’espace. Non seulement l’espace qui nous est donné à voir, mais aussi — et c’est là le coup de maître esthétique du film — celui de notre conscience, comme un malaise diffus qui alerte tous nos sens, réveille cette mémoire mortifère enfouie en nous et qui nous a tant inquiétés, celle du pire dont l’Homme est capable. Cette famille a priori ordinaire est un véritable condensé de monstruosités.
C’est toute la question de la banalité du mal — ce mal absolu dissimulé dans les détails du quotidien, dans les conversations usuelles — que le cinéaste met en scène. Son traitement passe en grande partie par le motif du hors champ (tout ce qu’on ne voit pas mais qu’on devine) ou par ce que l’on voit, mais qui dissimule autre chose. Comme ce nuage de fumée permanent à l’horizon suggérant des fours crématoires tournant à plein régime, ou ces tas d’accessoires dont Mme Höss (troublante Sandra Hüller, rôle principal de la Palme d’Or Anatomie d’une chute) fait le tri, choisissant nonchalamment ce qu’elle va garder pour elle ou non, et dont on pressent le sort de leurs anciens propriétaires.
En choisissant de raconter la Shoah du point de vue des bourreaux, Glazer pose un nouveau jalon dans la représentation cinématographique de celle-ci, dont la question tourmente les cinéastes depuis des décennies. Décider de ne rien montrer de l’horreur des camps, c’est activer l’imaginaire du spectateur.
À plusieurs reprises, le réalisateur insère dans son montage visuel et sonore des éléments hétérogènes venant ajouter un palier significatif supplémentaire à ce que nous sommes en train de regarder. Une expérimentation dans la forme qui n’enlève rien à la force de l’énonciation, mais qui, au contraire, nous rappelle que le cinéma est un organisateur de sens profond, impactant nos pensées jusqu’à l’os, usant de la suggestion et de la figure de style pour renouveler un discours qui n’a de cesse de nous hanter. Un discours au service de l’Histoire, d’un génocide humain qui doit, aujourd’hui plus que jamais, continuer à nous préoccuper.
ALICIA DEL PUPPO, les Grignoux Read more
Silencieuse depuis 25 ans, Astrid la femme d’un célèbre avocat voit son équilibre familial s’effondrer lorsque ses enfants se mettent en quête de justice.
Cinéaste de l’intime, Joachim Lafosse (A PERDRE LA RAISON, L’ECONOMIE DU COUPLE, LES INTRANQUILLES) continue de disséquer la sphère familiale et ses non-dits. Il est aidé en cela par Daniel Auteuil et Emmanuelle Devos, au sommet de leur art et par un épatant nouveau venu, Matthieu Galoux.
Tout en douceur et en couleur, ce charmant programme de trois films propose aux enfants à partir de 3–4 ans une méditation un peu philosophique sur l’exil, l’accueil de l’autre et la différence.
Les esthétiques différentes se répondent pour former un programme grâcieux et délicat.
Alfred doit fuir son pays et a besoin d’une nouvelle maison. Avec sa petite chaise pour toute armure et toute compagnie, il se heurte à l’indifférence. Jusqu’à ce qu’il rencontre Sonia…
Alphonse a l’âme d’un artiste et passe ses journées à regarder les nuages sans être compris, ni par ses amis ni par ses parents, mais sa méditation philosophique sublime le paysage et entraîne le spectateur dans une odyssée de couleurs.
Une famille de petits rongeurs voit son village balayé par une inondation et part à la recherche d’une autre terre d’accueil.
Faire front ensemble, découvrir l’inconnu, se projeter dans une nouvelle vie, voilà ce à quoi sont confrontés nos petits personnages.
in, Les grignoux.be
Meilleurs vœux à tous les cinéphiles !
Voici le programme complet du mois de janvier à télécharger en pdf:
PROGRAMME de JANVIER Cinémarche
Bonnes séances de cinéma en 2024 ! ✨
Mathieu doit tout à son ami Vincent: sa maison, son travail, et même de lui avoir sauvé la vie il y a dix ans. Ils forment, avec leurs compagnes, un quatuor inséparable, et vivent une vie sans nuage sur la côte d’Azur. Mais la loyauté de Mathieu est mise à l’épreuve lorsqu’il découvre que Vincent trompe sa femme. Quand la maîtresse de Vincent est retrouvée morte, la suspicion s’installe au cœur des deux couples, accompagnée de son cortège de lâchetés, de mensonges, et de culpabilité…
Après les remarqués Sans frapper et La place de l’homme, nous sommes très heureux de diffuser le dernier documentaire de Coline Grando… qui donne ici la parole aux travailleur·ses du nettoyage…
La réalisatrice Coline Grando a étudié cinq ans à Louvain-la-Neuve sans jamais avoir entendu parler du Balai Libéré. Elle ne s’est jamais non plus posé la question de savoir qui nettoyait les locaux de l’université et dans quelle condition. Lorsque qu’elle entend par hasard cette histoire elle est happée par son caractère exceptionnel…
Dans les années 1970, des aides ménagères licencient leur patron et travaillent en autogestion pendant 14 ans ! Coline Grando a alors entrepris des recherches sur cette aventure et est allée à la rencontre de ses protagonistes. Ne voulant pas d’un film uniquement tourné vers le passé elle est allée également rencontrer les personnes qui nettoient aujourd’hui l’université.
Le film met en scène la rencontre entre ces deux générations de travailleuses et travailleurs qui, malgré leurs deux expériences très différentes, partagent un territoire commun qui est cette ville, représentant 350 000 m2 à nettoyer. À travers leur partage d’expérience, le film parle plus largement de la dégradation des conditions de travail, de violence de classes, l’invisibilisation des employé·es du secteur du nettoyage. Il met en lumière un système d’appel d’offre de marché public qui contraint les différents acteurs à revoir le prix vers le bas et à augmenter mécaniquement la charge de travail pesant sur les travailleuses et travailleurs. Il parle de la destruction du lien et des difficiles conditions d’émancipation des travailleuses et travailleurs peu qualifiés.
Mais ce documentaire est aussi l’occasion de redonner du sens au collectif, d’aborder le rôle des syndicats, de réfléchir aux convergences de luttes et aux modèles d’autogestion.
GUILLAUME KERCKHOFS, les Grignoux
Séance SUPER conviviale et participative avec échange d’impressions post-projection
Au TIROIR DES SAVEURS,
74 Ch. de l’Ourthe à Marche
Possibilité de se restaurer pdt la séance
Tarif 5 euros avec 1 boisson comprise
Comme dans son « Your Name », Makoto Shinkai retrouve ses obsessions : des paysages superbement reconstitués, une société traumatisée par le séisme de 2011 et l’accident de Fukushima, le lien entre les émotions humaines et les aléas de la nature. La technique d’animation est ici à son meilleur.
in, L’ObsLe vertige émotionnel et visuel inouï que produisent ses films vient d’un art sans pareil de mise en scène du frottement entre les multivers.
in, Les InrockuptiblesMakoto Shinkai revient avec un “road trip” envoûtant qui traite, avec acuité et tendresse, au fil des rencontres de son héroïne, l’histoire contemporaine du Japon et la fantasy, le passage à l’âge adulte et le lâcher-prise.
Les Fiches du CinémaProjection suivie d’une animation en salle pour tous: une occasion de découverte pratique et ludique autour de l’image et du langage cinématographique
Film présenté en VO
DOG vit seul à Manhattan. Pour rompre sa solitude, il décide de construire un robot et d’en faire son meilleur ami. Par une nuit d’été, DOG, avec grande tristesse, est obligé d’abandonner ROBOT sur la plage. Se reverront-ils un jour?
ROBOT DREAMS est le premier film d’animation du réalisateur multirécompensé Pablo Berger (Blancanieves). Une histoire sur l’amitié, son importance et sa fragilité. in CinéArt.be
Un pur enchantement. in, Focus Vif
Séance participative et ludique avec activité pratique en salle après le film
Le réalisateur aborde également le changement climatique et nous prouve qu’il n’y a pas que chez nous que la terre ne tourne plus rond mais que toute la planète est concernée et que les bêtes doivent trouver des solutions pour survivre.
Animation et activité pratico-ludique post-projection
Dans cet exercice d’équilibriste, le jeune réalisateur parvient à nous faire rire avec des sujets graves, mais aussi, après avoir déployé un cynisme jubilatoire, à nous émouvoir avec un coup de théâtre final.
Franceinfo CultureUn papa ours et son ourson Teddy partent à la recherche de miel pour préparer un gâteau d’anniversaire. Ne trouvant rien aux alentours, Teddy convainc papa ours de partir à la recherche de l’Eldorado, un lieu magique qui abriterait une source inépuisable de miel.
Le titre original de ce film très mignon est «Hug Me – The movie»… Tout est dit ! Aux travers de l’aventure de ces personnages hyper attachants, une histoire drôle et un vocabulaire riche accessible aux tous petits, le film aborde des thèmes essentiels tels que l’amour et la nature. L’animation aux couleurs douces en 2D numérique effet «papier découpé» est aussi pleine de charme.
Un matin de printemps, Fadhela, aide-cuisinière , découvre dans sa boîte aux lettres le courrier suivant : « Vous avez été tiré au sort, pour répondre à cette question : comment voulons-nous que la 5G soit implantée en Région Bruxelles-Capitale ? ». Fadhela interpellée réfléchit, sourit et s’inscrit. VIVRE POUR DES IDEES, vers une nouvelle démocratie ? Le nouveau documentaire d’Eric D’Agostino et Jérôme Van Grunderbeeck s’immerge au sein d’un projet de société inédit : la première commission délibérative citoyenne de Belgique. Pour la première fois dans l’histoire politique moderne, des citoyens et parlementaires sont invités à travailler ensemble, autour de la même table, afin de rédiger des propositions destinées au gouvernement. Ces commissions délibératives vont-elles remettre le citoyen au centre des débats ? Vont-elles apporter un nouveau souffle à notre démocratie ? En suivant les citoyens au jour le jour, les réalisateurs pointent leur caméra sur ce laboratoire politique qui pourrait inspirer le reste de l’Europe.
VPDI – Teaser 20 Avril 2023.mp4 from Charles Kinoo on Vimeo.
Séance conviviale et participative avec partage d’impressions post-projection
Dans le cadre des Midis-docus, au Tiroir des Saveurs, 74 Chaussée de l’Ourthe, 6900 Marche-en-Famenne
Possibilité de se restaurer pendant la projection
Tarif: 5 euros boisson comprise
En Colombie, les « Blancs » pensent que l’Indien d’Amazonie ne ressent rien car dans sa langue, il n’y a pas de mots pour désigner les sentiments. Est-il possible que tout un peuple ne ressente rien et n’ait aucun mot pour parler d’amour ? Le réalisateur Sergio Guataquira Sarmiento, lui-même descendant d’une communauté autochtone colombienne presque disparue, part à la rencontre des Cacuas pour parler de leurs sentiments, de leurs amours, de leur solitude. Ce faisant, il renoue avec sa propre indianité.
Tout en humour et en tendresse, les Cacuas tentent de lui apprendre ce que c’est que d’être un autochtone.
Cette quête initiatique est une radiographie émotionnelle de tout un peuple.
PRIX
Prix du jury, prix du public et prix Fipresci Brussels International Film Festival (Belgique)
Prix du Meilleur documentaire aux Magritte du cinéma (Belgique)
Rencontre post-projection avec le réalisateur
Séance organisée en partenariat avec le projet collectif “En quête d’Identité(S)” organisé par le
En présence de membres de l’asbl Identité Amérique Indienne
Séance accessible avec “En Route Vers La Culture”, service de la Ville de Marche qui propose un trajet aller-retour gratuit lors de séances événements en soirée !
Contact pour réserver le trajet de bus:
084/32.73.86
Dans le cadre de La Tournée des Magritte en Collaboration avec La Quadrature du Cercle
https://www.latourneedesmagritteducinema.be/
La Tournée des Magritte du Cinéma 2024 from La Quadrature du Cercle on Vimeo.
En attendant le nouveau site internet du CineXtra Marche, voici l’horaire du moment dans l’ensemble des salles.
Le Cinépointcom Place de l’Etang à Marche, devient dès ce mercredi 22/11/23 CineXtra Marche, quelques changements en perspective, pour le meilleur du cinéma ! Affaire à suivre… On vous tient bien entendu informés dès la création du nouveau site internet. Mais n’attendez pas pour profitez dès maintenant de la baisse du prix d’entrée, des nouvelles installations gourmandes et du sourire encore plus radieux des gérants 😊
L’autrice et réalisatrice Laetitia Colombani porte à l’écran son bestseller éponyme : trois combats de femmes, trois histoires qui se tressent dans un film émouvant.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école. Italie. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsque celui-ci est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée. Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est malade. Trois vies, trois femmes, trois continents. Trois combats à mener. Si elles ne se connaissent pas, Smita, Giulia et Sarah sont liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier.
Laetitia Colombani aime son histoire, aime ses personnages qu’elle traite avec profondeur et délicatesse. Brillamment interprétées, ces femmes nous livrent un cocktail d’émotions qui ne laisse personne indifférent.
La vérité du sol nous invite à retisser du lien avec ce qui se cache sous nos pieds et dont nos vies dépendent. Quelles relations allons-nous entretenir avec nos terres à l’avenir ? Au-delà de l’invitation à ne plus être hors sol, mais à être avec le sol, ce film encourage à repenser notre rapport au monde, à la nature, aux autres… À défier l’inertie, à surmonter nos peurs et à comprendre ce qui nous relie.
Séance rencontre en présence du réalisateur et de Serge Peereboom
Débat après le film
Journée Mondiale des Sols
La Journée mondiale des sols a lieu chaque année le 5 décembre afin d’attirer l’attention sur l’importance d’un sol sain et de plaider en faveur d’une gestion durable des ressources en matière de sols.
Site internet de Permavenir: https://permavenir.be/
Séance accessible avec En route vers la Culture ! Un transport gratuit aller-retour pour venir de chez vous jusqu’au cinéma… Réservations: billetterie@mcfa.be
Toutes les infos par ici : En route vers la Culture – infos
Dans le cadre de CinéMômes en partenariat avec la QdC
CinéMômes 2023 from La Quadrature du Cercle on Vimeo.
Cette année, Noël devrait être parfait ! Sauf qu’avec Shaun et son troupeau d’amis rien ne se passe jamais comme prévu… Les joyeux préparatifs se transforment rapidement en une mission quasi impossible : entre les guirlandes tyroliennes, les paquets cadeaux surprises et les enfants pas vraiment sages, ça ne va pas être une mince affaire de réunir tout le monde autour du sapin. Prêts pour une course poursuite en traineau ? À vos marques, prêts, moutonnez !
JOYEUX NOËL, TIMMY – 2009 – 22 minutes – Création de la série : Jackie Cockle – Réalisation de l’épisode : Liz Whitaker et David Scanlon
C’est la veille de Noël à la garderie, Timmy et ses ami·es sont en joie! Il faut fabriquer des décorations, choisir un sa- pin et surtout écrire sa lettre au Père Noël : Timmy a dessiné le petit vélo de ses rêves… Mais, dehors, le jour tombe et c’est la tempête ; il neige des flocons aussi gros que des moutons. On dirait bien que les enfants vont passer la nuit ici…
SHAUN LE MOUTON, L’ÉCHAPPÉE DE NOËL – 2021 – 30 minutes – Personnages créés par Nick Park – D’après une histoire de Giles Pilbrow et Mark Burton – Réalisation de l’épisode Steve Cox
Les préparatifs de Noël battent leur plein à la ferme : l’excitation est à son comble ! Tandis que Shaun échafaude un plan pour recevoir les plus gros cadeaux possible, le petit Timmy est embarqué par erreur au marché de Noël. Voilà Shaun et son incroyable troupeau partis en mission sauvetage en ville ! Mais pour que cette opération secrète ne tourne pas à la catastrophe, les moutons devront rester discrets en toutes circonstances, ce qui s’annonce franchement impossible…
Une séance festive et familiale autour du tout nouveau film avec Shaun le mouton et suivie des traditionnelles petites dégustations gourmandes.
Dans le cadre de Noël au Théâtre avec la MCFA
Toutes les infos sur : www.mcfa.be
Deux films documentaires sont proposés dans le cadre du projet “En quête d’Identité(S)”, du 18 mars au 5 avril 2024 à Marche-en-Famenne, en collaboration avec le CAL.
Le mardi 26 mars :
Plus d’infos sur les séances des films documentaires par ici: triptyque pdf à télécharger
Autres évènements dans le cadre du projet “En quête d’Identité(S)”: triptyque pdf à télécharger ici
Amoureuse de peinture et de poésie, Mireille s’accommode de son travail de serveuse à la cafétéria des Beaux-Arts de Charleville tout en vivant de petits larcins et de trafic de cartouches de cigarettes. N’ayant pas les moyens d’entretenir la grande maison familiale des bords de Meuse dont elle hérite, Mireille décide de prendre trois locataires. Trois hommes qui vont bouleverser sa routine et la préparer, sans le savoir, au retour du quatrième : son grand amour de jeunesse, le poète.
TJ Ballantyne est le propriétaire du “Old Oak”, un pub qui est menacé de fermeture après l’arrivée de réfugiés syriens placés dans le village sans aucun préavis. Bientôt, TJ rencontre une jeune Syrienne, Yara, qui possède un appareil photo. Une amitié va naître entre eux…
Le nouveau film de Ken Loach a obtenu le Prix du Public au Festival de Gand. Un film juste, fervent et engagé au centre duquel on retrouve les thèmes qui lui sont chers: l’amitié et la solidarité.
Lumineux et touchant. Ken Loach prouve qu’il ne renoncera jamais à la lutte. Le Soir
Laura, Daniel, Sonia, Danny et Reza sont en situation de handicap intellectuel. Certains sont presqu’autonomes. D’autres ont besoin d’un plus grand accompagnement. Quelles sont leurs possibilités de choix de vie ? Comment trouver leur chez eux ?
La question du logement est cruciale pour les personnes en situation de handicap, par rapport aux réflexions plus vastes sur les choix de vie et l’autonomie. Avec l’asbl Inclusion, Jean-Michel Dehon (Addio addio amore) réalise un condensé de différents univers personnels pour aborder l’ampleur du sujet.
Film suivi d’une rencontre et d’un débat
En partenariat et à l’initiative des l’absl Andage et Inclusion
Allez les jeunes ! Voilà une expérience collective à faire sans modération dans le monde du cinéma avec le Festival A Travers Champs 🤩🌾🎬🥳
Toutes les infos à télécharger par ici: brochure Jury Jeunes ATC recto
Brochure Jury Jeunes ATC verso
Cinéphiles non-motorisés, une super opportunité s’offre à vous ! Que vous soyez trop jeune, trop âgé, plus assez mobile ou autre pour conduire, ou simplement sans moyen de transport à proximité, cela ne vous empêchera pas de profiter d’une bonne soirée cinéma !
Ce mois-ci, c’est «L’autre Laurens» le 24/10 et en novembre, «Hawar, nos enfants bannis» le 14/11 qui seront accessibles. Il suffira de réserver quelques jours avant à billetterie@mcfa.be
En route pour vous accueillir avec plaisir !
Septembre 2020. Après des mois de confinement, dans un monde bouleversé, les écoles et Maisons de Jeunes rouvrent provisoirement leurs portes. Les jeunes discutent et réfléchissent la situation, leur vie et leur place dans la société. Contre le silence et l’oubli, Entre-temps saisit sur le vif leurs paroles teintées d’humour, de détresse et de lucidité.
D’après une idée originale de Géraldine Brausch, Federico D’Ambrioso suit des jeunes qui ont entre 10 et 20 ans. Ils viennent de lieux et de milieux différents et ne se connaissent pas. Ils ont pourtant vécu en 2020 la même « crise », celle de la Covid-19, celle de la suspension du temps et des repères, celle du rétrécissement de l’espace, des relations et du monde.
Séance conviviale avec partage d’impressions post-projection et au tarif réduit : 5 euros (1 boisson comprise)
Possibilité de se restaurer pendant la projection
Rencontre avec le réalisateur Federico D’Ambrosio après le film
Nina aime écouter chaque soir les histoires que lui raconte son père. Ils imaginent un hérisson qui découvre le monde. Un soir, le père de Nina est préoccupé par des histoires plus sérieuses liées à son travail. Heureusement, il y a Mehdi, le meilleur ami de Nina. Et si le trésor caché dans la vieille usine pouvait résoudre tous leurs problèmes ? Commence alors une grande aventure où il faut échapper à la vieille voisine et à son chat Touffu, déjouer les pièges du gardien et embobiner son gros chien… Ils peuvent compter sur le petit hérisson pour mener l’enquête à leurs côtés!
Après «Phantom boy» ou «Une vie de chat», le duo Gagnol/Félicioli revient pour notre plus grand bonheur avec un film sublime, tant au niveau des images que de la narration. Ici, on prend les enfants au sérieux et on oublie pas de les faire rire et rêver pour autant.
Séance participative avec animation en salle après la projection, on va faire la fête à fond pour la dernière séance du ciné-club des enfants !
Bouger, rire et petits cadeaux surprises en perspective 😍
Queerying Nature est un film qui mêle les réflexions et émotions de deux artistes inspirés par la nature queer et la diversité des comportements animaliers. Le film s’interroge : le récit animalier est-il l’écho de notre société ?
En collaboration avec/et en présence de la Maison Arc-en-Ciel de la Province de Luxembourg
ATTENTION, il ne sera (exceptionnellement) pas possible de se restaurer pendant la séance ce mardi 31/10
QUEERYING NATURE – teaser from Les Films de la Passerelle on Vimeo.
Sur une lointaine planète vivaient Édouard et Jeannette, un Toubleu et une Tourouge. Par un beau matin, ces deux-là tombèrent amoureux. Malheureusement pour eux, les Tourouges et les Toubleus ne se mélangent pas, et bien plus encore : ils se détestent !
Par les créateurs du Gruffalo et de Superasticot, d’après le livre illustré de Julia Donaldson et Axel Scheffler.
Séance ludique avec animation et activité pratique en salle post-projection
Séance évènement avec présentation du film et rencontre avec l’équipe du film post-projection
Drink offert
En 2014, des milliers de femmes yazidies sont kidnappées par Daech et réduites à l’esclavage sexuel. A sa libération, Ana est obligée d’abandonner le bébé qu’elle a eu suite aux viols subis.
Considérés comme des “bâtards”, tous les enfants nés des viols par les djihadistes ont été rejetés par la communauté yazidie. Après quatre ans de séparation, “Ana” traverse le Kurdistan, en cachette, pour revoir sa fille Marya.
Résultat d’un travail de long terme mené par Pascale Bourgaux, grande reporter de guerre, “Hawar, nos enfants bannis” porte au jour l’un des combats les plus saisissants qui existent dans notre monde aujourd’hui. Le tournage ayant été une nouvelle occasion pour Ana et Marya de se retrouver, les émotions circulent avec une authenticité poignante que la mise en scène parvient à cristalliser. Le film rend un sensible hommage aux héroïnes de notre temps. Pascale Bourgaux est assistée du cinéaste Mohammad Shaikhow pour la réalisation, qui apporte une superbe dimension cinématographique à l’ensemble du film.
En présence de Pascale Bourgaux, rencontre post-projection
Dans le cadre du Mois du Doc
Du 1er au 30 novembre, le cinéma documentaire belge francophone est à l’honneur. Découvrez la richesse et la diversité de notre cinéma du réel au travers des projections, rencontres et événements aux quatre coins de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Film présenté sous-titré en français
Attention, pour des raisons indépendantes de notre volonté, le cinéma est malheureusement temporairement fermé cette semaine (jusqu’au lundi 4/09 inclus, sous réserve de changement).
Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons du nouveau.
Merci de votre compréhension.
Le ciné-club de films documentaires sur le temps de midi, c’est reparti! Les Midis-docus ou l’occasion de se rassasier en images et découvertes intenses, autour des dernières plus belles productions belges du moment.
Programme de septembre à janvier à télécharger: par ici!
Les séances de février à juin seront annoncées en janvier.
Bienvenue d’avance au Tiroir des Saveurs, pour savourer ce moment de partage à tout petit prix (5 euros boisson comprise).
Possibilité de se restaurer pendant le film.
Joseph apprend que son fils et le compagnon de celui-ci viennent de périr dans un accident. Ils attendaient un enfant via une mère porteuse en Belgique. Que va devenir leur futur bébé ? Joseph en est-il le grand-père légitime ? Porté par la promesse de cette naissance qui va prolonger l’existence de son fils, le sexagénaire part à la rencontre de la jeune flamande au caractère farouche et indomptable…
Un beau jour, le miroir dans la chambre de Kokoro se met à scintiller. À peine la jeune fille l’a-t-elle effleuré qu’elle se retrouve dans un formidable château digne d’un conte de fées. Là, une mystérieuse fillette affublée d’un masque de loup lui soumet un défi. Elle a un an pour l’accomplir et ainsi réaliser un souhait. Seulement Kokoro n’est pas seule : six autres adolescents ont le même objectif qu’elle.
Le réalisateur de «Miss Hokusai» ou «Colorful», à travers l’adaptation littéraire d’un roman à succès, aborde le thème du harcèlement avec son style fantastique et une certaine noirceur, sans jamais verser dans la fable moralisatrice.
Marc s’enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, sa créativité se manifeste par un million d’idées qui le plongent dans un drôle de chaos. Marc se lance alors dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes…
C’est la rentrée. Une nouvelle année scolaire au collège qui voit se retrouver Pierre, Meriem, Fouad, Sophie, Sandrine, Alix et Sofiane, un groupe d’enseignants engagés et soudés. Ils sont rejoints par Benjamin, jeune professeur remplaçant sans expérience et rapidement confronté aux affres du métier. A leur contact, il va découvrir combien la passion de l’enseignement demeure vivante au sein d’une institution pourtant fragilisée.
Pour son premier long métrage documentaire, Mathieu Volpe dresse le portrait contrasté d’un jeune Burkinabé vivant en Italie, coincé entre le poids des traditions, les attentes de sa famille et ses propres élans émancipateurs.
À l’aube de ses 25 ans, Sokuro, fils d’immigré burkinabé vivant en Italie, perpétue les traditions familiales en épousant Nassira, une jeune fille de son village natal. Pour lui, ce mariage est la première étape vers un retour futur et définitif au Burkina Faso, mais pour sa nouvelle épouse, le mariage est une porte d’entrée vers l’eldorado européen.
Avec Une Jeunesse italienne, Mathieu Volpe sonde l’intimité d’un jeune homme tentant de composer avec plusieurs injonctions contradictoires : gagner de l’argent, soutenir financièrement sa famille, épauler son épouse restée au Burkina tout en désirant profiter pleinement de sa vie, répondre à ses aspirations personnelles. À travers le portrait de Sokuro qu’il suit à la fois dans son quotidien à Gardone, une petite banlieue du nord de l’Italie, et lors de plusieurs séjours au Burkina, le réalisateur raconte l’histoire d’une génération d’enfants issus de l’immigration prise en étau entre une projection fantasmée de la vie en Europe (où l’on trouve facilement un travail et où l’on gagne beaucoup d’argent) et sa difficile réalité (car les emplois réservés aux travailleurs immigrés sont souvent les plus précaires). Entre la chronique intime et sociale, ce documentaire révèle aussi en filigrane la mélancolie d’une jeunesse désœuvrée, empêchée – jusque dans son imaginaire – de se représenter une joyeuse échappatoire. ALICIA DEL PUPPO, in Les Grignoux
UNE JEUNESSE ITALIENNE – Bande annonce (ST FR/NL) from supermouche productions on Vimeo.
La voici la voilà, la programmation du ciné-club mensuel des enfants, les “CinéAnimés”, est arrivée, avec tous les films de septembre à janvier.
Flyer CinéAnimés 23-24 à télécharger: par ici !
Comme de coutume, une découverte cinéma inédite et accompagnée d’une animation en salle (présentation du film et activités post-projections), le tout avec un encadrement complet et un prix très attractif (4 euros par enfant et 6 euros par adulte).
La suite du programme (de février à juin) sera annoncée en décembre.
Bienvenue d’avance à toutes et tous !
A la mort de son grand père, Alma, jeune pianiste de 20 ans revient dans la maison de son enfance, perdue sur une île déserte du Canada. Là, tout bascule quand un louveteau et un lionceau en détresse surgissent dans sa vie. Elle choisit de les garder pour les sauver et l’improbable se produit : ils grandissent ensemble et s’aiment comme des frères. Mais leur monde idéal s’écroule lorsque leur secret est découvert…
Tourné sans effets spéciaux, l’histoire d’amitié entre les deux animaux sauvages dans de superbes paysages naturels, permet aussi de sensibiliser à la défense des animaux.
Film suivi d’une courte animation ludique en salle, autour du loup… Et du lion!
Du courage. C’est ce qu’il faudra à nos deux héroïnes, pour briser les barrières et avancer dans cette fabuleuse aventure qu’est la vie !
Programme de 2 films d’animation de 26 minutes chacun: Moules- Frites de Nicolas Hu et Les Astres immobiles de Noémi Gruner et Séléna Picque.
Comment trouver sa place parmi les autres ?
Moules-Frites est le surnom humiliant dont est affublée Noée, 9 ans, par deux petits garçons de l’île bretonne de Benac’h où elle vient d’emménager avec sa maman, serveuse dans un restaurant du port. Par manque d’argent, Noée ne peut pas s’inscrire comme la majorité des enfants au club de voile…
Quant à Chenghua, 9 ans également, elle est sans cesse sollicitée par ses parents pour leur servir d’interprète. Dépendants d’elle, ils ne se rendent pas compte du poids qu’ils font peser sur ses épaules…
De manière sensible, ces deux films évoquent la difficulté d’intégration de ces petites filles, dont l’une doit dépasser la barrière sociale, l’autre la barrière culturelle. Deux jolis portraits d’héroïnes fortes et intrépides.
Sam, un ado mal dans sa peau aux idées noires se fait virer de son internat. De retour à son domicile, il constate que sa grand-mère Ruth (Charlotte Rampling) qu’il ne connaît pas s’est installée. D’abord furieux de sa présence, il ne va pas tarder à découvrir que c’est une femme drôle, impolie, intrépide et coquette. Ces deux-là vont se rapprocher…
À la mort d’un prêtre, la chancelière du diocèse découvre abasourdie qu’il s’agissait d’une femme ! Contre l’avis de son évêque qui souhaite étouffer l’affaire, elle mène l’enquête pour comprendre comment et avec quelles complicités une telle imposture a été possible…
D’après le roman Des femmes en noir d’Anne-Isabelle Lacassagne.
Giovanni, cinéaste italien renommé, s’apprête à tourner son nouveau film. Mais entre son couple en crise, son producteur français au bord de la faillite et sa fille qui le délaisse, tout semble jouer contre lui ! Toujours sur la corde raide, Giovanni va devoir repenser sa manière de faire s’il veut mener tout son petit monde vers un avenir radieux.
Entouré de ses acteurs fidèles et avec un humour qui, plus que jamais, sert d’antidote à la désespérance, Nanni Moretti signe un nouveau chapitre inspiré de son grand roman personnel et national.
in Les EchosAprès un “Tre piani” qui avait divisé ses aficionados, Moretti renoue avec un cinéma à la fois politique, mélancolique et drolatique, et signe un film enthousiasmant.
Séance conviviale avec présentation du film et drink pour inaugurer la nouvelle saison culturelle!
En collaboration avec l’IEPS de Marche
Rémy et Sandra n’arrivent pas à avoir d’enfant car ils sont atteints du “Syndrome des Amours Passées”. Pour guérir, il n’y a qu’une seule solution : il doivent recoucher une fois avec tou.te.s leurs ex.
“Ann Sirot et Raphaël Balboni forment un tandem d’auteurs-réalisateurs de fiction. Ils ont réalisé huit courts métrages et deux longs métrages. À travers ces projets, ils ont pu construire un univers décalé et étrange, un cinéma hybride et atypique, un onirisme délirant et joyeux. Avec les courts métrages Lucha Libre et Avec Thelma, ils mettent en place leur méthode de travail qui repose sur un jeu d’acteur très libre et spontané, un rythme soutenu en jump cut et une construction narrative organique où les accidents s’intègrent au récit.
Une vie démente, leur premier long métrage, est une comédie douce-amère où l’on suit un couple aux prises avec un parent atteint d’une maladie de type Alzheimer. Le film a été couronné de sept Magritte et récompensé dans de nombreux festivals.
Leur deuxième long métrage, Le Syndrome des Amours Passées, est une comédie romantique où les auteurs interrogent la manière dont on pense l’amour, le désir, l’expérience et le projet d’enfant.” in BRIFF.be
En présence de la réalisatrice, Ann Sirot
Séance gratuite dans le cadre de la Fête de la FWB
En partenariat avec La Quadrature du Cercle
Un extrait:
Un film engagé, présentation Semaine de la critique à Cannes:
Une nouvelle journée se lève sur la forêt et Pompon s’interroge… Que va-t-il bien pouvoir faire aujourd’hui ? Écrire un poème, fabriquer une constellation, partir à la recherche d’un petit frère ou bien sur les traces du mystérieux Zarbidule…? La truffe au vent et la tête pleine d’idées, Pompon est prêt à vivre des aventures pleines de joie et de poésie avec tous ses amis !
Pompon Ours, petites balades et grandes aventures est adapté des ouvrages Une chanson d’ours, Coquillages et Petit Ours, Poupoupidours, Pompon Ours dans les bois de Benjamin Chaud publiés par hélium.
Détails du programme :
Tout un poème
Pour la fête des Pères, Pompon décide d’inventer un poème pour son papa en s’inspirant des éléments de la nature qu’il croise sur son chemin. Mais M. Castorovitch décide d’y mettre son grain de sel, et il a une idée bien à lui de la poésie… C’est pourtant bien à Pompon de choisir ce qu’il veut dire à son papa !
Un trésor de maman
La légende dit qu’il y aurait un trésor caché au pied de chaque arc-en-ciel : qu’à cela ne tienne, Pompon se met en tête de partir à sa recherche, accompagné par sa maman. Les voilà tous deux partis pour une expédition, au cours de laquelle Pompon va découvrir que les vrais trésors ne sont pas forcément ceux que l’on croit…
Je veux un petit frère
Ourson unique, Pompon s’ennuie parfois un peu. Surtout quand ses parents sont occupés avec leurs affaires de grands et ne peuvent pas jouer avec lui. Si seulement il avait une petite sœur ou un petit frère… Après tout, il suffit peut-être d’aller en chercher un·e dans la forêt ! Et pourquoi un caneton ne pourrait-il pas devenir le petit frère d’un ourson ?
La constellation du Raton
Lors d’une veillée aux étoiles avec ses parents et Rita, Pompon découvre qu’il existe deux constellations pour les ours, mais aucune pour les ratons laveurs… Rita est toute triste, sa nuit à la belle étoile est gâchée. Pompon décide alors de fabriquer une constellation pour les ratons, afin de redonner le sourire à Rita !
La chasse au Zarbidule
Lorsque Pompon et Rita entendent parler de la légende du Zarbidule, l’esprit de la forêt, ils se mettent en tête de le rencontrer, tout excités à l’idée de savoir à quoi il ressemble. Mais si c’est une légende, vont-ils réussir à l’apercevoir ? En tout cas, il semble leur laisser des indices de sa présence…
Asteroid City est une ville minuscule, en plein désert, dans le sud-ouest des États-Unis. Nous sommes en 1955. Le site est surtout célèbre pour son gigantesque cratère de météorite et son observatoire astronomique à proximité. Ce week-end, les militaires et les astronomes accueillent cinq enfants surdoués, distingués pour leurs créations scientifiques, afin qu’ils présentent leurs inventions. À quelques kilomètres de là, par-delà les collines, on aperçoit des champignons atomiques provoqués par des essais nucléaires…
Après avoir raté le concours d’entrée en médecine, Léopold intègre par défaut l’école des sage-femmes en cachant la vérité à son entourage. Alors qu’il s’engage sans conviction dans ce milieu exclusivement féminin, sa rencontre avec Nathalie, sage-femme d’expérience au caractère passionné, va changer son regard sur cet univers fascinant et bouleverser ses certitudes.
Préparez-vous pour une aventure folle avec les célèbres Boonie Bears! Bramble, l’ours de la forêt, découvre un jour un étrange objet extraterrestre, qui fusionne son cerveau avec le noyau d’un vaisseau spatial. Cela provoque l’arrivée sur Terre d’un chat extraterrestre nommé Avi, qui est pourchassé depuis des années par un groupe de super-méchants car elle est la seule de son espèce. Ensemble, avec Bramble, Briar et Vick, ils unissent leurs forces pour protéger la Terre du même sort qui a frappé la planète d’Avi. Parviendront-ils à vaincre les super-méchants et à sauver la Terre..?!
Quand Blanche croise le chemin de Gregoire, elle pense rencontrer celui qu’elle cherche. Les liens qui les unissent se tissent rapidement et leur histoire se construit dans l’emportement. Le couple déménage, Blanche s’éloigne de sa famille, de sa sœur jumelle, s’ouvre à une nouvelle vie. Mais fil après fil, elle se retrouve sous l’emprise d’un homme possessif et dangereux.
Adaptation du roman éponyme de Eric Reinhardt publié aux éditions Gallimard en 2014, prix France Culture-Télérama.
Valérie Donzelli tire un thriller psychologique intense, récit d’une emprise mentale, dans lequel elle explore les mécanismes de l’emprise et l’ambivalence des sentiments qu’elle suscite.
Un film à la fois romanesque et d’une grande intégrité face au processus décrit par les victimes de maltraitances conjugales, dans lequel la réalisatrice observe et décortique la mécanique de ces violences, sans jamais donner de leçon ou aller dans le sens du courant. Elle n’oublie jamais non plus le cinéma, dans son film à la mise en scène précise et inventive, aux cadres impeccables, porté par le formidable duo d’acteurs, avec Virgine Efira qui oscille ici entre l’ombre et la lumière avec mille variations subtiles. Plus qu’une fiction bien écrite sur un fléau de notre temps, qui trop souvent conduit au féminicide. C’est une radiographie et un avertissement. Et un grand film de cinéma.
Séance ciné-débat et rencontre post-projection
En présence de Agathe Willaume et Emilie Doutrepont du Service Marchois d’aide aux justiciables et de Monsieur Jean-Louis Simoens, directeur de l’ASBL Le Pôle de ressources spécialisées en violences conjugales et intrafamiliales
En partenariat avec le Service de Prévention de la Ville de Marche
Dans le cadre de la Campagne du Ruban Blanc
Entrée gratuite – Pas de réservation
Les Ami·es de la Terre, en partenariat avec Cinémarche, vous invitent à l’avant-première du nouveau film documentaire de Rino Noviello, « Moins & Mieux. Vers une société post-croissance. », qui aborde avec lucidité, pertinence et engagement la dimension collective et politique d’une société décroissante.
Comment une appropriation des enjeux globaux liés au pic des ressources est-elle possible collectivement ? Comment organiser un basculement dans une autre ère énergétique et économique post-croissance tout en garantissant le bien-être de toutes et tous ? Rino Noviello est parti à la rencontre de citoyen·nes d’horizons divers, qui, chacun·e à leur manière et avec des sensibilités différentes, remettent en question le dogme de la croissance et explorent l’imaginaire et la construction d’un projet de société basé sur la simplicité, la solidarité, la soutenabilité et le bien-être.
La projection sera suivie d’un échange avec le réalisateur.
Programme de la soirée :
19h30 : accueil
20h : projection du film documentaire « Moins & Mieux »
21h : échanges et débat avec le réalisateur
Informations pratiques :
Quand ? mardi 6 juin
Où ? A la Maison de la culture (salle de spectacles), à Marche-en-Famenne (Chaussée de l’Ourthe, 74 – 6900 Marche-en-Famenne).
Parking pour se garer à proximité. Nous vous invitons à faire du co-voiturage via ce lien créé exclusivement pour l’événement.
Prix d’entrée : 6€
Inscription souhaitée via ce lien: site internet Les amis de la terre
Informations et renseignements :
pauline@amisdelaterre.be ou 081/39.06.39.
THE QUIET GIRL (AN CAILÍN CIÚIN) est le premier film intime et bouleversant du réalisateur irlandais Com Bairéad. Le film suit le parcours de Cáit, une jeune fille discrète qui peine a trouver sa place.
THE QUIET GIRL a reçu une nomination pour l’Oscar du Meilleur film étranger et a remporté de nombreux prix lors des ‘Irish Film and Television Awards’, parmi lesquels Meilleur Film et Meilleur Réalisateur. Le journal anglais The Guardian lui a attribué 5 étoiles: ‘ce conte bouleversant dans l’Irlande rurale est d’ores et déjà un classique’.
Superasticot, le plus ondulant et le plus tortillant de tous les superhéros ! Superasticot est superélancé, Superasticot est supermusclé ! Héros au grand cœur, il passe ses journées à sauver les animaux du jardin. Mais, quand le maléfique Saurien Magicien le capture, qui pourra lui venir en aide?
Les enfants connaissent bien à n’en pas douter le Gruffalo, la Sorcière (dans les airs), Monsieur Bout-de-Bois ou encore Zébulon le petit dragon. Ce sont tous des personnages de livres de Julia Donaldson transposés au cinéma par une même équipe dans des films parfaitement adaptés aux enfants dès 4 ans. Et cette année, notre petit héros du printemps est un asticot fortiche et déluré. Il s’entraîne avec son amie Papillon en faisant des pompes, des abdos, etc., pour entretenir sa forme et pouvoir, ensuite, défendre les insectes du jardin, ses amis. Cependant, il devient aussi prétentieux, et en oublie sa chère amie Papillon qui se sent laissée de côté.
« Forte d’une expérience de trois années à arpenter la prison de Liancourt, je ne pouvais pas quitter ce monde carcéral avant d’avoir fait la part belle aux détenus. Chargée de leurs récits, et comme une envie de pied de nez, j’ai voulu cette fois les filmer sortir. Les voir passer enfin cette grande et lourde porte de métal, le temps d’une permission de sortie.» Eve Duchemin
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EVE DUCHEMIN
Après des études à l’INSAS, Eve Duchemin se lance rapidement sur la voie du documentaire. En 2016, la réalisatrice reçoit le Magritte du meilleur documentaire 2017 pour en “En Bataille” (programmé en “Midis-docus” à Marche), portrait d’une directrice de prison. Elle collabore actuellement avec Marie Avril sur un projet théâtral avec des femmes sans abris à Bruxelles : La Cité des Dames.
Katia et Justine tombent amoureuses. Malgré la peur de l’engagement et le regard des autres, elles décident de faire un enfant, laissant le hasard décider de qui le portera. Mais alors que Katia tombe enceinte, Justine la quitte soudainement. 12 ans plus tard, Justine est retournée à une vie rangée et Katia, qui a gardé l’enfant, apprend qu’elle est condamnée. Contrainte de trouver en urgence un tuteur pour sa fille, elle se tourne vers sa seule option : son frère William, écrivain cynique et désabusé…
Après Edmond (2018), Alexis Michalik adapte pour la deuxième fois l’une de ses pièces au cinéma.
L’actrice Frances O’Connor fait des premiers pas remarqués derrière la caméra avec ce film en costumes tourné dans les paysages grandioses du Yorkshire. Un rôle en or pour Emma Mackey (Sex Eduction, Eiffel), récompensée par le prix Rising Star aux BAFTA.
– Le Figaro
Dans une ville portuaire, des êtres isolés, habitués à la violence, vont soudain voir leurs vies bouleversées par le théâtre, la poésie et l’art. Et leurs quotidiens, transformés par l’amour…
“Samuel Benchetrit filme des être cabossés qui décident de monter une comédie musicale. Par sa maîtrise de la direction d’acteurs et de la mise en scène, il nous offre une œuvre au ton absurde et tendre dans laquelle joue une joyeuse bande de comédiens de talent.”
L’HumanitéSéance conviviale avec présentation du film
En partenariat avec ASSILux
Infos et réservations: 061 23 11 72 assilux@mutsoc.be.
L’Avenir : “Un très grand film d’animation, à voir à tous les âges, et de préférence en famille.”
La Libre: “(…) Avec ses formidables figurines filmées en stop motion, Ughetto raconte tout: le beau et le reste, sans rien omettre… La guerre (car ce sont toujours les paysans qui la font : Libye, Première et Deuxième Guerres mondiales), la misère, le poids de l’Eglise, la grippe espagnole, les grands chantiers dans les Alpes, le travail des enfants, la montée du fascisme et l’exil en France. Le cinéaste retrace ainsi tout ce qui a rythmé la vie de bien des familles italiennes au siècle dernier. Un récit entrecoupé de saynètes pleines d’humour (glissades, maladresses, mobilisation militaire,…) et de dérision sur la vie familiale. Avec des pointes de douceur, de poésie et de tendresse qui forment un récit aux accents universels et dessine une animation adulte à la façon des célèbres Wallace & Gromit de Nick Park qui ont prouvé que les films d’animation n’étaient pas uniquement destinés aux enfants.
Pour porter son récit, Ughetto fait feu de tout bois et d’un maximum d’objets et de matières de réemploi. S’ajoutent à cela quelques photos d’époque, de la terre et des cailloux ramenés du pays.”
Un film qui sort des sentiers battus des “Midis-docus”!
Séance conviviale avec présentation du film et échange d’impressions post-projection. Possibilité de se restaurer pendant la séance. Tarif: 5 euros boisson comprise.
Un documentaire exceptionnel produit par Martin Scorsese, sur un lieu phare de la contre-culture newyorkaise : Le Chelsea Hotel. Dreaming Walls a été réalisé par deux jeunes cinéastes belges: Amélie Van Elmbt et Maya Duverdier.
Dans moins de deux ans, le mythique Chelsea Hotel, refuge d’artistes à New York depuis plus d’un siècle et emblème de la contre-culture des années 60, sera transformé en hôtel de luxe. Cinquante et un résidents désormais âgés y vivent encore, au beau milieu des travaux. Entre crainte et excitation, la chorégraphe octogénaire Merle Lister, le gourou Baba, la performeuse trans-genre Rose Wood et les autres se préparent au grand bouleversement. Alors que la machine capitaliste s’apprête à avaler le Chelsea, le film interroge ce qui semble la faire dérailler : des lois, des humains et leurs rêves.
“Une plongée atmosphérique, organique, captivante et touchante au coeur du mythique Chelsea Hotel.” – LeSoir ****
“Grâce à un magnifique travail sur l’image, le montage, et l’écoulement du présent, elles signent un film très singulier.” – L’Echo ****
“Une formidable réflexion politique sur l’art et la création.” – Moustique ***
“(…) cet émouvant documentaire aura archivé une partie de la mémoire du Chelsea Hotel.” – La Libre ***
Séance conviviale avec présentation du film, échange d’impressions post-projection et activation du feu intérieur!
Possibilité de se restaurer pendant la projection
Tarif spécial: 5 euros boisson comprise ou 5 volti ou 1 ticket article 27 + 1,25 euros
En lien avec le Particip’Art Festival
Umberto Nobile, ingénieur aéronautique italien et concepteur de dirigeables, mène une vie tranquille avec sa chienne bien-aimée Titina, qui l’a charmé au point qu’il l’a recueillie alors qu’elle vivait à la dure dans les rues de Rome. Un jour, le célébrissime explorateur norvégien Roald Amundsen le contacte et lui commande un dirigeable pour aller conquérir le pôle Nord. Nobile saisit l’occasion d’entrer dans l’histoire. Il emmène Titina avec lui, et l’improbable trio part en expédition vers le dernier endroit à découvrir sur la Terre. Leur quête est couronnée de succès mais, par la suite, les deux hommes commencent à se disputer la gloire… Avec Titina, on (re)-découvre une histoire vraie traitée avec poésie.
Dalva a 12 ans mais s’habille, se maquille et se vit comme une femme. Un soir, elle est brusquement retirée du domicile paternel. D’abord révoltée et dans l’incompréhension totale, elle va faire la connaissance de Jayden, un éducateur, et de Samia, une adolescente au fort caractère. Une nouvelle vie semble alors s’offrir à Dalva, celle d’une jeune fille de son âge.
“Dalva” est le premier long métrage de la Belge Emmanuelle Nicot. Sortie de l’Institut des arts de diffusion (IAD à Ottignies-Louvain-la-Neuve) en 2012, Emmanuelle Nicot s’est déjà fait remarquer dans le milieu du cinéma avec ses courts métrages “Rae” et “A l’arraché”, tous deux lauréats d’une quinzaine de prix en festivals. La jeune cinéaste travaille par ailleurs comme directrice de casting, spécialisée notamment dans le casting sauvage. “Dalva” a remporté le Prix du Jury (Pyramide d’Argent) de la compétition internationale ainsi que le Prix de la meilleure actrice pour Zelda Samson au 44ème Le Cairo International Film Festival. Et le Prix Fipresci au dernier Festival de Cannes.
Sur le papier, Unicorn Wars est vendu comme un Apocalypse Now qui aurait rencontré Bambi. Et, dans les faits, l’accroche n’a pas tort. Alberto Vázquez (Psiconautas), figure clé du cinéma d’animation européen pour adultes, passe films de guerre, contes pour enfants et mythes fondateurs à la moulinette de son imagination délurée.
L’histoire nous emmène dans le camp militaire d’une bande d’oursons au look de Bisounours qui se préparent à partir faire la guerre aux licornes. Selon leur livre sacré, celui qui goûtera au sang du dernier de ces équidés se transformera en créature parfaite. C’est donc armés jusqu’aux dents, après un intensif (et peu concluant) entrainement, que les nounours se lancent dans la bataille, au coeur d’une forêt enchanteresse peuplée d’animaux mignons.
Reste que, si l’on a déjà vu un film d’Alberto Vázquez, on sait que la « mignonnerie », l’humour décalé et la légèreté, ce n’est pas sa tasse de thé. Le réalisateur de Psiconautas et Decorado aime quand ça fait mal, quand ça dérange et quand ça déprime. Et Unicorn Wars n’y échappe pas. Là où l’on s’attendait à un Tonnerres sous les tropiques version animation, le cinéaste plonge avec une noirceur folle dans une histoire de colère, de folie destructrice et de ressentiment entre deux frangins dont la relation tient plus de Rémus et Romulus, d’Abel et Caïn et des frères Karamazov que de Bambi et Pan-Pan. Dans une magnifique 2D aux couleurs chatoyantes, Alberto Vázquez peint un paradis perdu où l’hubris est le ver du fruit interdit et déploie un conte terrifiant sur la nature profonde cruelle des êtres, en particulier au masculin, et leur aptitude à s’inventer des histoires pour mieux dominer l’autre. Sous couvert de son animation enfantine, le cinéaste se permet les pires horreurs, tel un récit biblique moderne interdit aux plus jeunes. D’ailleurs, Unicorn Wars ne recule jamais devant l’ampleur mythologique qu’il gagne au fur et à mesure, pour parvenir à un final aussi puissant que surprenant. in, Les Grignoux
Avec la participation de la MJ de Marche
Séance festive!
Rencontre post-projection avec Dick Tomasovic, professeur en Théories et pratiques du cinéma, des arts audiovisuels et des arts du spectacle à l’Université de Liège, où il préside actuellement le Département Médias, Culture et Communication.
Cocktail explosif offert
Dans les années 30 à Paris, Madeleine Verdier, jeune et jolie actrice sans le sou et sans talent, est accusée du meurtre d’un célèbre producteur. Aidée de sa meilleure amie Pauline, jeune avocate au chômage, elle est acquittée pour légitime défense. Commence alors une nouvelle vie, faite de gloire et de succès, jusqu’à ce que la vérité éclate au grand jour…
LE JOURNAL DU DIMANCHE Stéphane Joby*****
Du grand cinéma populaire, divertissant et intelligent.
LE SOIR Fabienne Bradfer****
A la fois féroce et burlesque, François Ozon est au meilleur de sa forme et signe un divertissement intelligent, savoureux, à la fois rétro et hypermoderne. Un bonheur de cinéma.
FOCUS VIF Jean-François Pluijgers****
Une comédie aussi loufoque qu’irrésistible. Un réalisateur au sommet de son art.
ELLE Françoise Delbecq****
Un délicieux et tonique feel good movie. Vintage mais frais !
L’HUMANITE Sophie Joubert****
Brillamment écrit et réalisé, franchement drôle.
LES INROCKUPTIBLES Marilou Dupenchel****
Le divertissement généreux qu’il nous offre est plus subversif que sa bonne tenue et sa séduction affichée ne le laissent augurer.
PREMIERE Thierry Chèze****
Le résultat, vif, coloré permet à Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewciz de confirmer qu’elles sont deux des plus passionnantes et douées comédiennes de leur génération.
LA LIBRE Karin Tshidimba***
Avec MON CRIME, François Ozon renoue avec ses comédie HUIT FEMMES et POTICHE. Il engage deux jeunes comédiennes françaises prometteuses : Nadia Tereszkiewicz, récemment césarisée, et Rebecca Marder. Un duo irrésistible qui vibre et se bat contre le patriarcat pour faire entendre les voix des femmes.
Marya Zarif, syrienne et originaire d’Alep, est d’abord poète et conteuse d’histoires. Elle nous propose un premier film d’animation émouvant, sous la forme d’une fable initiatique qui sème des graines d’espoir dans un monde en ruine
Dounia, c’est l’histoire d’une petite fille pleine de joie et d’imagination, de ses grands-parents, et de milliers de migrants. Lorsque la guerre éclate, elle quitte Alep avec ses grands-parents, avec quelques graines de nigelle au creux de la main. Transportés de camions en bateaux, stationnés en gare ou sur le trottoir, ils partent en quête d’une terre d’accueil. Heureusement, Dounia n’est pas seule : la princesse d’Alep l’accompagne dans ce voyage vers un nouveau monde…
Dounia et la princesse d’Alep nous emporte d’abord dans l’univers d’une petite fille de 6 ans. Elle nous fait découvrir son quotidien dans une ville qui sent bon les épices, les confitures de sa grand-mère et les arbres en fleurs. Le film débute dans la joie d’un regard d’enfant, loin des préoccupations des adultes. Un regard qu’on ne quitte plus, et qui nous fait vivre un cocktail d’émotions au fur et à mesure que la petite traverse les différentes épreuves qui attendent les migrants. La guerre qui détruit sa maison, la fatigue, le froid, la faim du chemin…
L’image colorée et épurée, assortie à une musique orientale joyeuse omniprésente, sert divinement bien la narration. Une alchimie qui fait de Dounia et la princesse d’Alep un film généreux et poétique, qui permettra à un jeune public (mais pas que) de découvrir la réalité des migrants avec douceur et empathie.
GUILLAUME KERCKHOFS, in les Grignoux
Séance avec présentation du film et animation en salle post-projection le 22/03
Prolongements de la découverte des particularités de la Syrie et de la culture orientale, activité créative et petites surprises…
En partenariat avec le Crilux
Séances des 25/03 et 26/03 sans animation
A l’aube de la Première Guerre mondiale, dans un village de Picardie, quatre amis inséparables, Lucas, Luigi, Lucien et Ludwig, forment la bande des Lulus. Ces orphelins sont toujours prêts à unir leurs forces pour affronter la bande rivale d’Octave ou pour échapper à la surveillance de l’Abbé Turpin… Lorsque l’orphelinat de l’Abbaye de Valencourt est évacué en urgence, les Lulus manquent à l’appel. Oubliés derrière la ligne de front ennemie, les voilà livrés à eux-mêmes en plein conflit. Bientôt rejoints par Luce, une jeune fille séparée de ses parents, ils décident coûte que coûte de rejoindre la Suisse, le “pays jamais en guerre”… les voilà projetés avec toute l’innocence et la naïveté de leur âge dans une aventure à laquelle rien ni personne ne les a préparés !
Adapté de la bande dessinée jeunesse de REGIS HAUTIERE et HARDOC
Séance participative et conviviale avec présentation du film et vote du public pour le choix du film suivant
En partenariat avec la Maison des Aînés de Marche
Thelma est prête à tout pour aider son fils Louis à sortir du coma dans lequel il est plongé depuis un accident de skate board.
Elle se lance dans un pari fou: réaliser à sa place les “10 choses à faire avant la fin du monde” qu’il avait inscrites dans son journal intime. Elle est convaincue que Louis entendra le récit de ses aventures et reviendra à la vie. En accomplissant à quarante ans les rêves d’un ado, Thelma va vivre un voyage incroyable qui l’emmènera bien plus loin que ce qu’elle imaginait…
Adapté du roman de Julien Sandrel
Séance conviviale avec présentation du film
Lieu : MCFA (salle de spectacle de la Maison de la culture Famenne-Ardenne)
Film EN AUDIODESCRIPTION et sous-titré (accessible aux personnes malvoyantes et malentendantes)
Accès PMR
Tarif : 2 euros
En partenariat avec ASSILux
Infos et réservations: 061 23 11 72
L’histoire bouleversante de Charlie, un homme marqué par les épreuves et fragilisé par l’isolement. Puisant en lui la force de la résilience, il tentera de renouer contact avec sa fille, car il n’est jamais trop tard pour dire à ceux qu’on aime qu’on les aime.
Le nouveau film de Darren Aronofsky, un réalisateur à la filmographie tout aussi impressionnante que variée (BLACK SWAN, REQUIEM FOR A DREAM, THE WRESTLER) marque le grand retour au cinéma de l’acteur Brendan Fraser (LA MOMIE, CRASH). Adapté de la pièce de théâtre de Samuel D. Hunter, le film dresse le portrait bouleversant d’un homme qui veut se racheter auprès de sa fille, incarnée par la star montante de ‘Stranger Things’ Sadie Sink.
Au coeur du cinéma avec Cinenews.be
A l’occasion des Magritte du Cinéma 2023, La Quadrature du Cercle organise la Tournée des Magritte entre le 4 mars (jour de la remise des prix) et la fin du mois d’avril dans les Centre culturels et cinémas de proximités à Bruxelles et en Wallonie.
Cette tournée présente dans les différents lieux un des films lauréats de l’édition 2023.
Le film programmé à Marche sera annoncé après le 6/3!
Pour ses 9 ans, Babs reçoit un petit cochon en cadeau de la part de son grand-père américain. Ses parents ne sont pas du tout heureux de cette situation ! Babs ne pourra garder le cochon que s’il va au dressage. Mais grand-père a secrètement d’autres plans pour le cochon. Il participe au concours de saucisses de l’Association de la Viande de porc fraîche…
“Ce geste créateur, délicat et nuancé, fait de ce premier film une jolie réussite et rappelle qu’un acte politique réside également dans sa capacité à remettre de la douceur dans une situation minée par la violence des rapports sociaux.”Culturopoing.com
, in“Cette peinture sensuelle sous le ciel de Tunisie vaut pour un portrait du pays et d’une société où les filles les plus émancipées se mêlent aux plus conservatrices et où le patriarcat a fabriqué autant d’interdits que de transgressions.” Sud Ouest
, in“Agile, la caméra qui serre et suit de près les visages, figure bien le huis clos de ce microcosme d’arbres robustes et de fruits délicats autant que symboliques.”Positif
En partenariat avec l’asbl Andage
Le réalisateur Noé Reutenauer suit son ami Kirill qui cherche le grand amour. Mais sa trisomie rend cette quête particulièrement délicate. Au fil de leurs discussions, Noé accompagne Kirill dans cette recherche d’amour idéal. Grâce à leur belle complicité et à l’humour de Kirill, cela donne un film extrêmement réussi, tendre et drôle à la fois.
Un anime poétique, plein de mystères et de rebondissements abordant les impacts d’une catastrophe naturelle sur trois femmes d’âges différents, dans un style fantastique à la Miyazaki…
Synopsis:
Deux jeunes filles se retrouvent séparées de leurs familles à la suite d’un terrible cataclysme. Perdues et sans toit, elles rencontrent alors une vieille dame qui les recueillent dans sa maison surplombant le bord de mer. Cette occasion de repartir à zéro est un grand soulagement, jusqu’au jour où d’étranges phénomènes commencent à apparaître. Car ce « refuge » est magique. La demeure convoque de nombreux esprits japonais, dans le combat contre une tristesse généralisée dont se nourrirait une créature maléfique. Les fans de Miyazaki retrouveront l’univers du Voyage de Chihiro.
The House of the Lost on the Cape est un anime aux personnages attachants et à l’esthétique travaillée. Le scénario permet aux petit·es comme aux grand·es de suivre les aventures, et quête personnelle, de ces deux jeunes filles qui, par la force des choses, vont devoir lutter contre leurs « démons ». Il offre aussi une vision positive sur la reconstruction possible après une catastrophe.
Séance participative et ludique, avec animation en salle
En collaboration avec le Festival Anima, la MCFA et Point Culture
https://animafestival.be/fr/accueil/edition-2023
Après avoir agressé violemment sa mère, Margaret est arrêtée par la police et doit se soumettre à une mesure stricte d’éloignement en attendant son jugement. Elle n’a plus le droit, pour une durée de trois mois, d’entrer en contact avec sa mère, ni de s’approcher à moins de 100 mètres de la maison familiale. Mais cette distance qui la sépare de son foyer ne fait qu’exacerber son désir de se rapprocher des siens. Chaque jour la voit revenir sur cette frontière aussi invisible qu’infranchissable.
“Ce film, on aime en parler comme d’un western au féminin. Avec cette idée de retourner les codes du masculin et du féminin, mais aussi de nous approprier la question de la frontière, qui est fondamentale dans les westerns.”
Stéphanie Blanchoud pour Focus Vif
Pierre Salvadori nous avait déjà gratifiés en 2018 d’une comédie jubilatoire (En liberté !) saluée par la critique. Il nous revient avec une nouvelle comédie tout aussi savoureuse qui explore avec un humour explosif les incohérences de l’adolescence naissante.
La petite bande, c’est Cat, Fouad, Antoine et Sami, quatre collégiens de 12 ans. Par fierté et provocation, ils s’embarquent dans un projet fou : faire sauter l’usine qui pollue leur rivière depuis des années. Mais dans le groupe fraîchement formé les désaccords sont fréquents et les votes à égalité paralysent constamment l’action. Pour se départager, ils décident alors de faire rentrer dans leur petite bande, Aimé, un gamin rejeté et solitaire. Aussi excités qu’affolés par l’ampleur de leur mission, les cinq complices vont apprendre à vivre et à se battre ensemble dans cette aventure drôle et incertaine qui va totalement les dépasser.
La Petite Bande nous entraîne dans ses péripéties, de plus en plus dingues, allant crescendo dans la folie juvénile, jusqu’à terminer en feu d’artifice. Pierre Salvadori s’amuse à explorer cette période fugace de la préadolescence. Cette période des possibles où on appréhende le monde des adultes avec la naïveté des codes d’enfants : l’amour, l’amitié, le besoin d’appartenance, de reconnaissance… Le film s’appuie sur le choc de ces deux mondes pour enchaîner les situations de plus en plus extrêmes et cocasses qui délecteront les enfants comme les adultes. Cette petite bande, au casting attachant, va vous en faire voir de toutes les couleurs !
GUILLAUME KERCKHOFS, in les Grignoux
Rome dans les années 1970. Dans la vague des changements sociaux et culturels, Clara et Felice Borghetti ne s’aiment plus mais sont incapables de se quitter. Désemparée, Clara trouve refuge dans la relation complice qu’elle entretient avec ses trois enfants, en particulier avec l’aînée née dans un corps qui ne lui correspond pas. Faisant fi des jugements, Clara va insuffler de la fantaisie et leur transmettre le goût de la liberté, au détriment de l’équilibre familial…
“Le réalisateur italien Emanuele Crialese (Respiro) met en scène ses souvenirs de jeunesse avec la distance idéale et la juste émotion. Et Penélope Cruz en état de grâce.”
Le Figaro“Pour raconter cette bulle affective qui est à la fois intimiste et immense, le film aussi se coupe en deux. Il développe des scènes spectaculaires, parfois même grandioses, comme celle où les enfants se perdent dans le sous-sol d’une villa, symbole d’une recherche de l’identité souterraine…”
in, TéléramaVoici le programme complet de cette 2ème partie de saison pour les Midis-docus! Vous trouverez les films programmés de février à juin via le lien suivant: https://cinemarche.marche.be-A5-Midis-DocumentairesFEV-juin23.pdf
Dans le cadre des “Midis-docus” à 12H15 au Tiroir des Saveurs
En partenariat avec ASSILux
Le réalisateur Noé Reutenauer suit son ami Kirill qui cherche le grand amour. Mais sa trisomie rend cette quête particulièrement délicate. Au fil de leurs discussions, Noé accompagne Kirill dans cette recherche d’amour idéal. Grâce à leur belle complicité et à l’humour de Kirill, cela donne un film extrêmement réussi, tendre et drôle à la fois.
Un programme de cinq courts métrages sur le pouvoir des émotions et de l’imagination.
Vague à l’âme
Cloé Coutel – France, Belgique – 2021 – 7 min – Animation 2D
Sur la plage, une enfant solitaire découvre le littoral, au rythme de la vie dans les dunes.
Grosse colère
Célia Tisserant & Arnaud Demuynck – France, Belgique – 2022 – 8 min – Animation 2D
Robert est bien boudeur au retour de sa journée… et finit par être envoyé dans sa chambre. La Grosse Colère monte, monte, monte… et sort !
Les Biscuits de Mamie
Frits Standaert – Belgique, France – 2022 – 13 min – Animation 2D
Basile vient de perdre sa grand-mère. Le petit garçon regrette les moments passés ensemble, à déguster ses fameux biscuits. C’est alors qu’un soir, il découvre sa mamie… sous son lit !
Quand j’avais peur du noir
Célia Tisserant & Arnaud Demuynck – France, Belgique – 2022 – 8 min – Animation 2D
Oh non, c’est déjà l’heure d’aller se coucher ! Et Robert n’en a pas du tout envie, car il y a des monstres sous son lit. Vraiment ?
La Trop Petite Cabane
Hugo Frassetto – France, Belgique – 2021 – 6 min – Animation 2D
À la ferme, un grand-père a construit une cabane pour son petit-fils. L’enfant la trouve bien trop petite. Papy a alors une idée pour lui prouver que cette maisonnette n’est décidément pas trop petite !
Séance avec activité ludique post-projection
Petits jeux autour des émotions et autres découvertes autour des personnages des films 🦀, création d’un petit “compagnon des émotions”
Un court métrage qui raconte l’Ardenne belge à travers le ressenti d’un agent immobilier citadin, d’un garde chasse et… d’une maison isolée au cœur d’une forêt majestueuse.
“Comme une empreinte” est le premier film de Pierre et David Callant, fondateurs de Silencio Prod*, sibretois d’origine et vivant dans la région de Bastogne .
Un court-métrage au scénario porteur d’un message fort et d’actualité, même si l’histoire est celle d’une quête intime et personnelle. Les superbes images mettent l’Ardenne et son territoire forestier à l’honneur.
*Avec Silencio Prod, les cinéastes offrent des solutions audiovisuelles à tous les acteurs culturels, économiques et institutionnels de la région via la création de films vidéos sur mesure.
Rencontre post-projection avec l’équipe du film
Un meunier fait travailler un chameau pour moudre le grain. Mais un jour, le chameau tombe malade et le meunier le remplace par un engin à moteur. Cette solution semble parfaite mais derrière la pudeur apparente des personnages, chacun se rend compte de l’attachement qu’il a pour l’autre.
Programme de 3 courts métrages :
– Le Robot et le fermier (Restauré)
– Les Oiseaux blancs (Restauré)
– Le Chameau et le meunier (2022 – 15 minutes)
Trois récits poétiques, tendres, drôles voire poignants autour de la différence : avec un robot, un clan et… une moto ! Une interrogation lumineuse et subtile sur l’importance et les risques de l’échange culturel et le remplacement du vivant par la machine.
Les Fiches du CinémaÉloge de l’amitié et de la nature, Le Chameau et le meunier est la promesse d’un superbe moment de poésie adapté à toute la famille.
Culturopoing.comFilm suivi d’une animation ludique en salle:
Les bruitages avec Guigui!
Des milliers d’hommes s’engouffrent chaque jour dans les entrailles du Cerro Rico, l’une des plus anciennes mines d’argent de Bolivie que les premiers esclaves indiens et africains appelaient “La Mangeuse d’hommes”. En s’enfonçant dans les mines du diable, ces hommes abandonnent quotidiennement le décor majestueux des Andes pour le confinement et l’obscurité de la mine où tout leur rappelle constamment la présence de la mort.
Au coeur du cinéma avec Cinenews.be
Séance conviviale avec partage d’impressions post-projection et possibilité de se restaurer pendant le film
Quatre amies lassées des manifestations réfléchissent à une autre façon d’ébranler la société capitaliste. Poussées par la fiction, elles décident de faire exploser un centre commercial bruxellois.
Comment penser l’attentat? Quels rôles doivent-elles jouer pour s’imaginer agir? Leur amitié est-elle conciliable avec cet acte radical?
Rencontre post-projection entre nous!
ON SOURIRA DE NOUS (We will be smiled at) Teaser (2022) from Noëlle Bastin & Baptiste Bogaert on Vimeo.
Le biopic retrace la vie de la célébrissime Whitney Houston, chanteuse iconique interprétée par Naomi Ackie. De la jeune choriste du New Jersey à l’une des artistes les plus renommées et récompensées de tous les temps, le public se retrouve transporté dans une aventure à travers la vie et la carrière tourmentées de Whitney Houston.
Pietro est un garçon de la ville, Bruno est le dernier enfant à vivre dans un village oublié du Val d’Aoste. Ils se lient d’amitié dans ce coin caché des Alpes qui leur tient lieu de royaume. La vie les éloigne sans pouvoir les séparer complètement. Alors que Bruno reste fidèle à sa montagne, Pietro parcourt le monde. Cette traversée leur fera connaître l’amour et la perte, leurs origines et leurs destinées, mais surtout une amitié à la vie à la mort.
D’après le roman “Le otto montagne” de Paolo Cognetti
Au coeur du cinéma avec Cinenews.be
Ernest et Célestine retournent au pays d’Ernest, la Charabie, pour faire réparer son précieux violon cassé. Ils découvrent alors que la musique est bannie dans tout le pays depuis plusieurs années. Pour nos deux héros, il est impensable de vivre sans musique ! Accompagnés de complices, dont un mystérieux justicier masqué, Ernest et Célestine vont tenter de réparer cette injustice afin de ramener la joie au pays des ours.
En collaboration avec la MCFA, dans le cadre de Noël au Théâtre
Lien vers la billetterie: https://culturama.click
“Folon” est un portrait inattendu, intime et singulier, de Jean- Michel Folon (1934-2005).
Artiste tantôt adulé, tantôt controversé, Folon est encore reconnu de nos jours comme l’un des artistes belges les plus influents de la seconde moitié du 20e siècle. Pour ce premier film documentaire réalisé sur Folon, c’est lui-même qui « se raconte », par le biais d’archives inédites.
Poète débonnaire, artiste parfois incompris, mais aussi terriblement ambitieux et visionnaire, Folon nous dévoile sa vision de l’art et du monde, les tragédies de sa vie et sa soif insatiable de rencontres et d’expériences. S’entremêlent ainsi des images librement inspirées du travail de Folon, des œuvres (peintures, affiches, photographies, dessins, sculptures,…), des archives inédites, mais aussi des entretiens de proches, d’amis, d’artistes et d’experts. Le tout créant un récit documentaire qui nous plonge dans les pensées labyrinthiques de Jean-Michel Folon, pensées qui imprègnent jusqu’à la structure même du film.
Folon, une personnalité complexe, davantage tiraillé qu’il n’en a l’air aux premiers abords. Personnage à la fois énigmatique, et à la fois si accessible, proche, franc, qui nous rappelle que le plus important pour lui était de raconter des histoires.
“Derrière son titre qui inspire un réveil joyeux face à un superbe lever de soleil, Un beau matin distille mélancolie et lumière pour nous faire aimer la vie au-delà de la peur de la perdre.”
Franceinfo Culture“Un beau matin évolue donc en permanence entre l’angoisse de la fin de la vie et la possibilité joyeuse d’un nouvel amour au chemin cependant tortueux. Sa délicatesse d’écriture y fait une fois encore merveille dans un récit souvent poignant mais non dépourvu d’humour.”
PremièreUn superbe point de vue pour ce sujet beaucoup abordé dernièrement, qui permet de donner le plus fort et ultime des hommages aux victimes, à travers le positionnement édifiant et crucial de cet homme.
Adaptation de Couleurs de l’incendie de Pierre Lemaitre, suite de la saga initiée par Au revoir là-haut.
Février 1927. Après le décès de Marcel Péricourt, sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l’empire financier dont elle est l’héritière. Mais elle a un fils, Paul, qui d’un geste inattendu et tragique va la placer sur le chemin de la ruine et du déclassement. Face à l’adversité des hommes, à la corruption de son milieu et à l’ambition de son entourage, Madeleine devra mettre tout en œuvre pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d’autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l’incendie qui va ravager l’Europe.
En haut des plus hautes montagnes vit une plante qui se nourrit de la plus parfaite lumière du soleil, c’est la fleur de l’Himalaya… Yuku part à sa recherche pour offrir sa lumière éternelle à sa grand-mère qui devra bientôt partir dans les méandres de la terre. Yuku devra traverser le domaine des rats d’égouts, la prairie aux corbeaux, la forêt enchantée et le petit pont de la peur, gardé par le loup! Mais sur son parcours, grâce à sa musique et ses chansons, Yuku va se faire beaucoup d’amis. Ils sont bien précieux pour réussir cette aventure de la vie.
Premier long métrage du papa de la Chouette du cinéma, Yuku et la fleur de l’Himalaya nous plonge dans un univers graphique lumineux et magnifique, où l’on suit le parcours initiatique d’une petite souris raconté avec beaucoup de délicatesse et de sérénité.
Avec les voix de Arno, Agnès Jaoui et Alice on the roof notamment!
En partenariat avec l’ASPH et Eqla – Dans le cadre des séances en audiodescription – évènement en présence de Saint-Nicolas!
Film suivi d’une animation – goûter dans le noir
Infos et réservation: 061/23.11.37 – asph@mslux.be
En partenariat avec La Quadrature du Cercle et CinéMômes
Festival CinéMômes 2022 from La Quadrature du Cercle on Vimeo.
Partie en Mongolie chez des éleveurs de rennes pour enregistrer des chants traditionnels, Corine pensait pouvoir surmonter la mort de Paul, son grand amour. Mais sa rencontre avec la chamane Oyun bouleverse son voyage, elle lui annonce qu’elle a reçu un don rare et doit être formée aux traditions chamaniques. De retour en France, elle ne peut refuser ce qui s’impose désormais à elle : elle doit repartir pour commencer son initiation… et découvrir un monde plus grand.
En partenariat avec l’ASPH
Virginie Thévenot, une prof de maths un peu spéciale, profite d’une grève générale dans un collège pour tenter une expérience hors du commun avec un petit groupe d’élèves. Elle prend un pari : leur laisser faire ce qu’ils veulent…Une étincelle qui va enflammer les esprits des ados, provoquer une petite révolution au sein du collège et bouleverser leur vie à tous.
3 contes, 3 époques, 3 univers : une épopée de l’Egypte antique, une légende médiévale de l’Auvergne, une fantaisie du XVIIIe siècle dans des costumes ottomans et des palais turcs, pour être emporté par des rêves contrastés, peuplés de dieux splendides, de tyrans révoltants, de justiciers réjouissants, d’amoureux astucieux, de princes et de princesses n’en faisant qu’à leur tête- dans une explosion de couleurs.
Sébastien, 10 ans, passe ses vacances à contrecoeur à la montagne chez sa grand-mère et sa tante. Il doit donner un coup de main à la bergerie, rien de bien excitant pour un garçon des villes comme lui… mais c’est sans compter sur sa rencontre avec Belle, une chienne immense et maltraitée par son maître. Prêt à tout pour éviter les injustices et protéger sa nouvelle amie, Sébastien va vivre l’été le plus fou de sa vie.
– Les Inrockuptibles
Franck, ferrailleur, et Mériem ont cinq enfants, un sixième en route, et de sérieux problèmes d’argent. Julien et Anna sont avocats et n’arrivent pas à avoir d’enfant. C’est l’histoire d’un impensable arrangement.
Un sujet ardu et courageux traité avec intelligence et finesse dans ce premier film au scénario étonnamment maîtrisé et sans pathos. Une belle réussite.
– Paris Match
Notre Nature, Le Film est un documentaire ambitieux sur la nature qui nous entoure. De merveilleuses histoires d’animaux connus et inconnus qui suscitent l’émerveillement et encouragent l’amour et le respect de notre nature. C’est l’histoire des vainqueurs, des opportunistes, des mangeurs, des combattants, des malins, des chefs. Mais aussi celle des perdants, les espèces que l’on ne rencontrera peut-être plus dans quelques années… La loi du plus fort, dans sa forme la plus brutale et la plus fascinante, dans un pays qui à première vue ne semble pas laisser de place pour cette nature sauvage.
Le documentaire La Vie d’une Petite Culotte et de Celles qui la Fabriquent raconte la vie de celles qui travaillent dans l’ombre des hangars des industries du textile.
Le processus de fabrication d’une petite culotte relie Yulduz, une agricultrice dans les champs de coton ouzbeks privée de liberté d’expression ; Janaki, une jeune fileuse sumangali qui a dû quitter les bancs de l’école pour l’usine ; Mythili, une teinturière en Inde qui rêve de devenir maman ; Risma, une militante pour les droits des ouvrières en Indonésie et ma mère, Pascale, qui tient un petit magasin de vêtement en Belgique mais qui, depuis la délocalisation des usines il y a 30 ans, ne propose aujourd’hui plus de vêtements 100% belges.
A chaque étape de sa fabrication, de pays en pays, l’histoire de cette petite culotte nous emmène dans l’intimité de la vie de ces cinq femmes, maillons d’une chaîne de production mondiale bien opaque. Le film questionne la valeur que l’on donne aux vêtements mais surtout aux vies de celles qui les fabriquent.
Film suivi d’une rencontre animée par Denis Clérin de AchACT
En collaboration avec la Cellule Santé de la Ville de Marche
Verre de l’amitié offert
Réservations souhaitées: sante@marche.be – 084/32.69.94
Téléchargez l’affiche de l’évènement en pdf: ici
Lien vers le site du film: http://thestoryofapanty.com/fr/
La Vie d’une Petite Culotte – Teaser (2018) from Yann Verbeke on Vimeo.
AUSTRAL BANDE ANNONCE – de Benjamin Colaux Stenola Productions 2022 from Stenola on Vimeo.
En haut des plus hautes montagnes de la terre vit une plante qui se nourrit de la plus parfaite lumière du soleil. Elle s’appelle… la fleur de l’Himalaya. Yuku quitte sa famille pour partir à la recherche de cette fleur à la lumière éternelle. Elle veut l’offrir à sa grand-mère qui a annoncé qu’elle devra bientôt partir avec la petite taupe aveugle dans les méandres de la terre. Mais pour la trouver, il y a un long voyage à parcourir, semé d’obstacles. Il faut traverser le terrible domaine des rats d’égouts sous le château, la prairie aux corbeaux, cruels et voraces, la forêt enchantée où l’on se perd. Et, surtout, le petit pont de la peur, qui est gardé par le loup ! Mais sur son parcours, grâce à sa musique et à ses chansons, Yuku va se faire beaucoup d’amis. Ils sont le bien le plus précieux pour réussir l’aventure de la vie.
Film suivi d’une animation ultra-ludique en salle, pour s’exprimer sur ce qu’on a vu, partager nos impressions, puis bricoler un chouette souvenir tous ensemble!
(Animation post-projection gratuite)
Et surprise spécialement pour cette séance du 19/10:
En collaboration avec Le Parc Distribution et Les Grignoux
Avec le soutien de la MCFA
Au cœur des Alpes, dans le secret de la nuit glaciale, des femmes et des hommes vont au secours des migrants qui traversent la frontière italo-française. Solidaires, ils s’organisent dans l’illégalité pour échapper aux contrôles de police et à la répression qui sévit sur ces chemins de montagne et portent secours à ceux qui tentent d’entrer en France au péril de leur vie.
En présence du réalisateur (sous réserve)
En présence de membres du CAL – Luxembourg et du Crilux
Tarif: 5 euros boisson comprise
Possibilité de se restaurer pendant la séance au Tiroir des Saveurs
Dans le cadre du Mois du Doc
Le Mois du Doc vise à promouvoir le cinéma documentaire produit en Belgique francophone à travers la projection de films dans divers lieux du secteur non marchand. Au programme, des documentaires à découvrir ou redécouvrir, des programmations thématiques, combinant projections de films, rencontres, expositions et débats. Si les documentaires doivent impérativement être des films belges de la FWB, la programmation est quant à elle laissée à la liberté des programmateurs participants. Pour plus d’infos: le site du Mois du Doc
L’hiver de 1960 à 1961 fut le théâtre de la plus longue grève générale qu’ait connue la Belgique depuis la Seconde Guerre mondiale : jusqu’à deux mois d’immobilisation totale du pays contre une loi d’austérité.
Sur les innombrables archives, une profusion de personnages de tous bords nous racontent les initiatives qu’ils menèrent alors.
Mais, surprise : à la place d’anciens grévistes aux tempes grises, ce sont des jeunes qui nous racontent ces éclats de lutte, comme s’ils y étaient, comme s’ils y avaient été.
Rencontre après le film avec le réalisateur, Benjamin Hennot
Tarif: 5 euros boisson comprise
Possibilité de se restaurer pendant la séance au Tiroir des Saveurs
BA DETRUIRE RAJEUNIT VOFR – un film de Benjamin Hennot produit par YC Aligator Film from yc aligator film on Vimeo.
Le site du film: https://www.detruirerajeunit.com/
Le spectacle Hors Sol du TTJ (Théâtre des Travaux et des Jours), une autre lutte citoyenne, à voir également! Le spectacle sera encore présenté – restez informés!
Site du TTJ:
« On ne résout pas un problème en utilisant
les modes de pensée qui l’ont engendré »
Albert Einstein
La série Des Arbres qui marchent prend la forme d’une mosaïque de paroles diverses se répondant en intelligence collective sur fond de crise écologique. Ces voix se font écho autour de la question des ressources de la psychologie et de la spiritualité, dans le cadre du changement de regard qui s’avère nécessaire pour éviter/atténuer/traverser les effondrements/basculements en cours et à venir. Dans des termes simples et concrets et sur un ton familier, convivial et dynamique, les intervenants évoquent et illustrent les concepts, assez récents, d’écopsychologie* et d’écospiritualité** .
* L’écopsychologie étudie les relations de notre psychisme avec le reste du vivant.
** L’écospiritualité réexplore la dimension du sacré dans nos rapports avec la nature.
2 séances sinon rien en septembre (participation uniquement à l’une des 2 possible aussi… ;o))
LA série unique en son genre de Pierre-Paul Renders sera présentée en 2 temps:
* 2 épisodes dimanche 18/09 à 17h (Grande salle de spectacle, MCFA) EN PRÉSENCE de Pierre-Paul Renders, réalisateur
* 2 épisodes mardi 20/09 à 12h15 (Tiroir des Saveurs)
EN PRÉSENCE de Vincent Wathelet, écopsychologue
Visitez le site internet:
Dans les années 60, en Belgique, Michel et son frère Charly vivent une enfance heureuse dans leur famille juive. Leur père, taiseux et discret, ne livre rien de son passé. Les deux frères l’imaginent en grand aventurier, pirate ou chercheur de trésors… Mais que cache-t-il ?
D’après le roman graphique « Deuxième Génération, ce que je n’ai pas dit à mon père » de Michel Kichka.
À la fois drôle et touchant, ce film d’animation parsemé de véritables archives audiovisuelles, permet d’aborder la Shoah à hauteur d’enfant. Présenté au dernier Festival de Cannes, il a particulièrement conquis le jeune public.
Film suivi d’une animation en salle, pour s’exprimer sur ce qu’on a vu, partager nos impressions, puis bricoler un chouette souvenir tous ensemble!
« Perds-toi dans la forêt, elle te dira l’enfant que tu es et l’adulte que tu seras.»
Nikolaï, 16 ans, vit entre le foyer et des familles d’accueil. Solitaire et hanté par les origines de son abandon, il rêve de fonder une famille. Quand Camille, 15 ans, intrigante et effrontée, débarque dans son foyer, Nikolaï la convainc de partir vivre avec lui dans la forêt.
« Le Coeur Noir des Forêts » est une quête parentale, un passage. Les prémisses d’une histoire d’amour recomposée. Un appel, du reflet de notre obscurité à l’espoir d’une vie nouvelle.
Serge Mirzabekiantz est né à Bruxelles en 1975. En 1993, il entre à l’UCL où il entreprend des études en sciences pharmaceutiques. Diplômé, il reçoit le prix du Chef d’entreprise de l’École de Pharmacie. Mais l’envie d’écrire des histoires et de les filmer le pousse à entrer à l’IAD pour effectuer une licence en Arts du spectacle et techniques de diffusion et de communication option cinéma. Il en sort avec distinction en y réalisant son film de fin d’études : « Loin des yeux ». Après deux courts-métrages remarqués (« One » et « La Faveur des Moineaux »), il passe par l’Atelier Grand Nord et tourne ce premier long-métrage. Actuellement, il travaille sur le scénario d’un nouveau long-métrage.
Rencontre post-projection avec le réalisateur et l’actrice principale
Évènement organisé dans le cadre de la Fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles – GRATUIT
Avec le soutien de la Quadrature du Cercle
Au coeur du cinéma avec Cinenews.be
Avec ce cinquième long métrage, Rebecca Zlotowski signe à la fois un très beau portrait de femme et une histoire d’amour où la bienveillance l’emporte sur la rivalité, où la masculinité accepte sa part féminine et où les archétypes se déconstruisent par un pas de côté.
L’Humanité
À la PJ chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan c’est le meurtre de Clara. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.
D’APRÈS L’OUVRAGE “18.3 – UNE ANNÉE À LA PJ” DE PAULINE
GUÉNA
“Servi par Bastien Bouillon, enfin au premier plan, mais aussi par de magnifiques figures féminines (dont la juge, interprétée par Anouk Grinberg dans l’un de ses plus beaux rôles), le récit coule, noir et pénétrant. Suffocant mais salutaire.”
“Sous ses allures de film noir, de polar, La Nuit du 12 se révèle donc aussi un brillant plaidoyer pour la sauvegarde d’un service public en péril. Le tout servi par un casting remarquable qui participe grandement à cette quête d’authenticité érigée ici en priorité.” Première
“Ce portrait en creux de flics un peu perdus […] explore la virilité et la fragilité masculine avec un sens inné du récit, mêlant les genres dans une narration au cordeau, pour un film sec et d’une maitrise de tous les instants.” Paris Match
“Dominik Moll s’empare d’une enquête irrésolue sur un féminicide et réussit un polar mélancolique et ultra habité.” Les Inrockuptibles
Divorcé du genre bourru, Jacques tient seul une petite cave à vins, au bord de la faillite. Hortense, engagée dans l’associatif et déterminée à ne pas finir vieille fille, entre un jour dans sa boutique et décide de s’inscrire à un atelier dégustation…
Après six ans d’absence, Park Chan-wook (Mademoiselle, Old Boy) démontre une fois encore sa capacité à se réinventer et signe un “polar amoureux d’une rare beauté, qui joue habilement des temporalités, de la géographie, du montage, pour filmer cette rencontre inattendue et la lente montée du désir” (La Libre Belgique ) entre un policier et la principale suspecte de son enquête. Récompensé à Cannes pour sa mise en scène “d’une incroyable créativité” (Paris Match ), le nouveau film du grand maître du cinéma sud-coréen est à découvrir dès aujourd’hui en salles !
Un thriller virtuose égarant ses protagonistes dans leur obsession amoureuse. Aussi jouissif qu’intensément troublant !
Focus Vif
Naviguant entre polar et romance, Park Chan-wook mélange les genres avec efficacité. Un film fascinant, sans doute un des meilleurs de l’année.
L’Avenir
Le réalisateur sud-coréen touche des sommets de son art.
Le Soir MAD
Park Chan-wook se révèle un narrateur visuel exceptionnel.
Moustique
Pour venir en aide à des migrants qu’il cachait à Paris, Pierrot les conduit dans le Sud- Ouest chez Antoine qui lui-même accueille déjà Mimile, en pleine reconquête amoureuse de Berthe. S’attendant à trouver à la campagne calme et volupté, les six réfugiés gouteront surtout à la légendaire hospitalité d’un village français. L’occasion rêvée de secouer les peurs et les préjugés pour Sophie et nos trois Vieux Fourneaux, promus consultants inattendus d’une campagne électorale que Larquebuse, le maire de Montcoeur n’est pas prêt d’oublier.
L’histoire du mariage tumultueux entre l’actrice Patricia Neal et le célèbre écrivain Roald Dahl.
Toutes les infos et horaires sont précisés pour chaque film dans les rubriques “A l’affiche” – “Séances multiples”.
Leo Castaneda est espagnol, il vit a` Bruxelles, où il conduit les me´tros de la ligne 6. Un soir, il croise le regard d’un jeune homme au bord du quai. Des yeux fiévreux de détresse, un visage familier… Leo reconnait son fils Hugo, lorsque celui-ci disparait tragiquement sur les rails ! Leo qui ne l’avait pas revu depuis plus de deux ans, va découvrir qu’Hugo était implique´ dans un braquage sanglant. Il va devoir affronter de violents criminels pour tenter de comprendre les raisons de la mort de son fils.
Az travaille chez un ostréiculteur à Sète. Les huîtres il connaît ça par cœur, il les ouvre par centaines. Dans l’une d’elle, Az décide de cacher une bague, pour demander sa petite amie Jess en mariage. Elle ne dit pas oui. Heureusement, sa bande d’amis est prête à tout pour l’aider à sortir la tête de l’eau.
Icare est le jeune apprenti de son père, l’illustre inventeur Dédale, dans son atelier de sculpture à Cnossos. Sa vie est bouleversée par la découverte d’un mystérieux garçon à tête de taureau qui vit caché dans le Palais Royal. Une amitié secrète unit les deux adolescents jusqu’à ce que le roi Minos enferme le “Monstre” dans le labyrinthe, construit par Dédale. D’un même coup, Icare perd son seul ami et la confiance qu’il avait en son père.
Quand le prince Thésée débarque en Crète pour tuer le Minotaure, Icare est prêt à tout pour sauver son ami d’enfance. Hélas, la machine infernale est mise en route et la désillusion du jeune rêveur culmine dans un choix tragique entre les ténèbres et la lumière.
ICARE – Bande-annonce sortie luxembourgeoise from IRIS GROUP on Vimeo.
Sous la forme d’un journal intime, Nanni Moretti décrit trois moments particuliers de sa vie: une déambulation en vespa dans les rues désertes de Rome en été, sur les traces des fantômes de Pasolini; une visite chez un ami installé loin de tout sur une île de la Méditerranée, rattrapé malgré lui par le monde moderne; et un parcours médical chaotique pour soulager un mal mystérieux qu’aucun médecin ne semble pouvoir soigner. A travers ces trois chapitres, Moretti pose un regard critique et amusé sur lui-même et le monde qui l’entoure.
Le Chemin du Bonheur – Bande-annonce from IRIS GROUP on Vimeo.
Il était une fois l’histoire d’un chêne, vieux de 210 ans, devenu un pilier en son royaume. Ce film d’aventure spectaculaire rassemble un casting hors du commun : écureuils, balanins, geais, fourmis, mulots…. Tout ce petit monde vibrant, vrombissant et merveilleux scelle sa destinée autour de cet arbre majestueux qui les accueille, les nourrit, les protège de ses racines jusqu’à sa cime. Une ode poétique à la vie où la nature est seule à s’exprimer.
Film suivi d’une animation ultra-ludique en salle, pour s’exprimer sur ce qu’on a vu, partager nos impressions, puis bricoler un chouette souvenir tous ensemble!
(Animation post-projection gratuite)
Et une surprise enchanteresse pour l’occasion: Julien Belien, conteuse, nous fera le plaisir de sa présence avec un conte sur la nature et le rapport de l’homme aux animaux.
Spectacle conté seule en scène “Écoute les voix voix de la nature”
Mis en scène par Hélène De Wilde, interprété par Julie Belien
Un lutin à l’écoute de la nature nous conte une histoire, nous fait part de ses secrets, de ses perceptions sur la nature et les hommes. Tout est sacré, les arbres parlent, ils sont témoins de tas d’histoires,…
Grâce à la fantaisie, l’émerveillement et l’imaginaire, la conteuse emmène les enfants à la découverte de la beauté et du lien particulier qui unit tout un chacun à la nature. Elle utilise l’expression corporelle pour incarner les animaux de la forêt, le théâtre d’ombres et des bruitages sonores réalisés à partir d’éléments naturels (pomme de pin, noix).
Le texte est composé d’un conte, écrit par Vincent Cuvellier, “Le roi des mouettes, la reine des mouettes” et est accompagné de trois textes poétiques, réécrits et inspirés par “Arbres” Collectif, Laurent Convaisier, “Paroles d’arbres”, Bolly Cécile, “Le philosophe qui n’était pas sage”, Gounelle Laurent, “La maison où rêvent les arbres”, Comes, “Les philos-fables pour la terre”, Michel Piquemal. Sans apporter de réponse toute faite, le spectacle questionne sur la place que prend l’homme par rapport à la nature.
Accessible à partir de 5 ans
Durée 30 minutes
Vania, Denski et Saniok sont amis depuis toujours. Ils vivent dans la banlieue nord de Kiev. À trente ans passés, les galères, les arrestations et les magouilles n’ont pas terni leur sourire et leur envie de vivre sans concession. L’avenir est trouble, chacun s’invente un monde à sa mesure et y trouve une forme de liberté dans l’instant présent.
Séance suivie d’un échange d’impressions – en présence de Jérôme le Maire, réalisateur belge et membre de Kinoféroce
En collaboration avec le Kinoféroce*! https://www.facebook.com/kinoferoce
Possibilité de se restaurer pendant la projection
Tarif: 5 euros (boisson comprise)
En partenariat avec Le Tiroir des Saveurs
*KINOFEROCE est un programme de diffusion de films singuliers, atypiques, qui ne trouvent pas forcément leurs écrans et leurs publics dans le contexte actuel. Une programmation de films de fiction et de documentaires, en prises de vues réelles et en animation, aux dispositifs multiples et surprenants. C’est aussi une programmation faite par la Corne, un comité de cinéphiles et des cinéastes, pour ensemble partager et échanger autour du cinéma d’autrice et d’auteur.
Il fait nuit dehors – Trailer (VF) from Dérives asbl on Vimeo.
Adaptation du roman éponyme de Graham Swift.
1924, Beechwood en Angleterre. Jane Fairchild est la bonne d’une famille d’aristocrates, les Niven. A l’occasion de la fête des mères, ses patrons lui accordent une journée de repos. Seulement, orpheline, Jane profite de l’occasion pour retrouver son amant, Paul. Ce dernier est le fils des voisins des Niven et il est fiancé à Emma Hobnay. Les Niven qui ont perdu leur fils lors de la Première Guerre mondiale se réjouissent du futur mariage de Paul comme si celui-ci était leur propre enfant…
Marcel, le maire, décide d’interdire les histoires d’amour : ça n’engendre que des problèmes et ça rend tout le monde malheureux ! Interdire les histoires d’amour ? Jean-Michel n’est pas trop pour et sa petite amie Gisèle encore moins… Hélas, la répression commence. Nos héros décident alors d’entrer en résistance pour que l’amour soit à nouveau autorisé dans le village.
D’après les albums de la collection Jean-Michel le Caribou, de Magali Le Huche, publiés par les éditions Actes Sud Junior. Pour la première fois sur grand écran avec une histoire inédite.
Un jeune instituteur du Bhoutan est envoyé dans la partie la plus reculée du pays. Loin de la ville, le quotidien est rude, mais la force spirituelle des habitants du village transformera son destin. Nommé pour l’Oscar du Meilleur Film International.
“Une généreuse aventure humaine” – Focus Vif
“Voici un film tout simple dans sa forme mais grand dans ce qu’il dit quand on va à la rencontre de l’autre” – Le Soir
Ce que souhaite Jonna par dessus-tout, c’est de trouver une famille adoptive… elle accepterait n’importe quel parent qui puisse lui donner de l’amour. La surprise est de taille lorsqu’une femelle gorille se présente un jour à l’orphelinat pour être sa nouvelle maman !
Film suivi d’une animation ludique en salle
Du plus loin qu’elles s’en souviennent, Marion, Claire et Louise ont toujours vécu au rythme des joies et de la douleur d’Alice, leur mère. Aujourd’hui, elles n’ont plus que leur amour à opposer à cette spirale destructrice dans laquelle Alice sombre chaque jour davantage. Un amour infini, aussi violent qu’indicible.
Cinq hommes de tous les âges et de tous les milieux, cinq hommes qui se sentent incompris et qui sont au bord de la crise de nerfs. Cinq hommes que leurs proches décident d’envoyer en retraite spirituelle… coachée par une femme !
En 1961, Kempton Bunton, un chauffeur de taxi sexagénaire, vole à la National Gallery de Londres le portrait du Duc de Wellington peint par Goya. Il envoie alors des notes de rançon, menaçant de ne rendre le tableau qu’à condition que le gouvernement rende l’accès à la télévision gratuit pour les personnes âgées. Cette histoire vraie raconte comment un inoffensif retraité s’est vu recherché par toutes les polices de Grande Bretagne, accomplissant le premier (et unique) vol dans l’histoire du musée.
Qui est Karim D. ? Ce jeune écrivain engagé au succès annoncé ou son alias, Arthur Rambo, qui poste des messages haineux que l’on exhume un jour des réseaux sociaux…
Nous sommes en 1943. Les Alliés sont déterminés à briser l’emprise d’Hitler sur l’Europe occupée et à planifier un assaut total contre la Sicile, mais ils sont confrontés à un défi impossible: comment protéger une force militaire d’invasion massive d’un potentiel massacre. Il appartient à deux remarquables officiers du renseignement, Ewen Montagu et Charles Cholmondeley, d’imaginer la stratégie de désinformation la plus inspirée et inattendue de la Seconde Guerre mondiale, centrée sur le plus improbable des agents secrets : un homme mort.
Jonna a 8 ans. Depuis qu’elle est toute petite, elle vit à l’orphelinat du Soleil, où elle se sent comme chez elle maintenant. Lors de la journée portes ouvertes de l’orphelinat, un événement extraordinaire se produit : Jonna est adoptée par… une femelle gorille !
Gorilla l’emmène chez elle : elle habite un lieu magique, une recyclerie, où elle entrepose et répare toutes sortes d’objets pour les vendre sur une brocante qu’elle organise elle-même. Jonna, après un temps d’adaptation, est conquise par cette nouvelle vie et par cette nouvelle maman, aussi douce et bienveillante qu’originale et passionnée de littérature. Malheureusement, le maire de la ville, Tord, se met en tête de racheter le terrain de Gorilla pour y construire un parc aquatique. Dans l’adversité, les liens de Jonna et Gorilla vont d’autant plus se resserrer.
Ma mère est un gorille (et alors ?) est un bijou d’animation adapté d’un roman jeunesse éponyme suédois sorti en 2005. Linda Hambäck, la réalisatrice du film, a réussi à créer un univers unique mettant en valeur les liens très forts que l’on peut tisser avec des personnes qui ne sont pas à l’origine de sa propre famille.
LES GRIGNOUX
Paris, années 80. Elisabeth vient d’être quittée par son mari et doit assurer le quotidien de ses deux adolescents, Matthias et Judith. Elle trouve un emploi dans une émission de radio de nuit, où elle fait la connaissance de Talulah, jeune fille désœuvrée qu’elle prend sous son aile. Talulah découvre la chaleur d’un foyer et Matthias la possibilité d’un premier amour, tandis qu’Elisabeth invente son chemin, pour la première fois peut-être. Tous s’aiment, se débattent… leur vie recommencée ?
D’après une fabuleuse histoire vraie.
David, jeune paysan du Cantal, vient d’avoir une idée : pour sauver son exploitation de la faillite, il va monter un cabaret à la ferme. Le spectacle sera sur scène et dans l’assiette, avec les bons produits du coin. Il en est sûr, ça ne peut que marcher ! Ses proches, sa mère et surtout son grand-père, sont plus sceptiques.
Un équipe de cinéma sillonne les côtes anglaises pour tenter de percer le mystère entourant un disque paru 30 ans plus tôt, « Spirit of Eden », et le passage de la lumière à l’ombre de ses auteurs Talk Talk. De rencontres incertaines en captation sonores inattendues, leur voyage va se transformer en quête du silence. Avec le punk comme philosophie, considérant que la musique est accessible à tous et l’esprit se situe au-dessus de la technique.
Rencontre post-projection avec Valéria Musio, chargée de diffusion de films
In a Silent Way (de Gwenaël Breës) – Trailer VOSTFR from Dérives asbl on Vimeo.
– Première
– Soir MAD
Au cœur des hauts plateaux tibétains, le photographe Vincent Munier entraîne l’écrivain Sylvain Tesson dans sa quête de la panthère des neiges. Il l’initie à l’art délicat de l’affût, à la lecture des traces et à la patience nécessaire pour entrevoir les bêtes. En parcourant les sommets habités par des présences invisibles, les deux hommes tissent un dialogue sur notre place parmi les êtres vivants et célèbrent la beauté du monde. D’après le best-seller de Sylvain Tesson et avec la musique originale de Warren Ellis et Nick Cave.
Une adaptation du roman homonyme de Philip Roth.
Luc est un chanteur lyrique renommé. En pleine crise personnelle, il accepte d’animer un atelier de chant dans un centre de détention pour femmes. Il se trouve vite confronté aux tempéraments difficiles des détenues. Entre bonne conscience et quête personnelle, Luc va alors tenter d’offrir à ces femmes un semblant de liberté.
Comme Django, premier et précédent film d’Etienne Comar, A l’ombre des filles parle de musique. Le metteur en scène confie : «Que ce soit dans le choix du tempo, les contrastes, les voix, les niveaux d’émotion ou d’intensité, l’ouverture ou la coda d’un film… La retranscription d’une émotion à travers l’abstraction musicale, je l’associe aisément à l’écriture cinématographique.»
A la veille d’un vote pour entériner la construction d’un parc de loisirs à la place d’une forêt primaire, un maire de droite décomplexée essaye de corrompre son confrère écologiste. Mais ils se font piéger par un groupe de jeunes activistes féministes qui réussit à les coller ensemble. Une folle nuit commence alors pour les deux hommes, unis contre leur gré.
Benoît Delépine et Gustave Kervern, qui parodiaient déjà l’actualité française dans les émissions du Groland, signent une comédie politique satirique, à l’humour franc et caustique qui dénonce le cirque politique français ainsi que les dérives et abus des partis traditionnels.
Brindille, Casquette et La Flèche vivent comme ils peuvent, au jour le jour, dans le bois de Vincennes. Mais leur situation précaire devrait changer du tout au tout le jour où ils gagnent au Loto. Encore faut-il pouvoir encaisser l’argent, car sans domicile, pas de carte d’identité à jour et sans compte bancaire, pas de paiement !
“Vivre, ce n’est pas attendre que passent les orages, c’est apprendre à danser sous la pluie”. Dans cette comédie touchante et maîtrisée, Nadège Loiseau raconte le parcours de trois marginaux aux philosophies de vie et aux résiliences différentes.
Un cabinet de consultation, dans un hôpital public, en Belgique. Un médecin y reçoit des patients : des hommes et des femmes, souvent accompagnés d’un proche. La plupart sont gravement malades, et ils le savent. Envoyés par leur médecin traitant ou spécialiste, ils sont venus parler de leur fin de vie pour être éclairés par un second avis médical. Dans le huis clos du cabinet de cette consultation singulière, ils construisent en quelque sorte avec le Docteur Damas leur propre scénario de fin de vie. Une leçon de vie, et d’humanisme…
Après “Au Bonheur des dames”, documentaire sur le quotidien d’aide-ménagères en région liégeoise, Agnès Lejeune et Gaëlle Hardy abordent la question de l’euthanasie par le prisme de l’intime et capturent des instants d’une intensité bouleversante.
La projection sera accompagnée d’un débat et d’une rencontre avec les réalisatrices
En partenariat avec Humain Philosophe et le CAL Luxembourg
Le site internet du film : http://lesmotsdelafin.com/
Depuis toute petite, Cathy rêve de diriger son propre restaurant. Mais à quarante ans, rien ne s’est passé comme prévu et elle se retrouve contrainte d’accepter un poste de cantinière dans un foyer pour jeunes migrants. Son rêve semble encore s’éloigner… ou pas ?
François Cluzet et Audrey Lamy, actrice fétiche du réalisateur que l’on retrouvait déjà dans “Les Invisibles”, partagent l’affiche de “La Brigade”, la nouvelle comédie sociale, tendre et légère, de Louis-Julien Petit. Il est directeur d’un foyer pour jeunes migrants ; elle est cheffe, ambitieuse et a du franc-parler. Deux personnages bien différents qui formeront très vite un duo porté par un objectif commun : offrir un avenir prometteur aux jeunes du foyer à travers l’apprentissage de la cuisine. Un rôle sur mesure pour Audrey Lamy qui a reçu le prix de la Meilleure Interprétation Féminine au Festival international du film de comédie de l’Alpe d’Huez.
Le cinéaste dénonce la réalité d’une situation, démontre l’absurdité de certaines politiques migratoires, tout en délivrant un message de tolérance et d’ouverture, sans jamais verser dans la niaiserie ni la leçon de morale. Un film à la fois divertissant et intelligent, qui fait du bien !
Soir Mag
Le réalisateur réussit une comédie sociale chorale pétillante et attachante.
Voici
Le film est riche d’un propos sensible sur les réfugiés et illustre encore une fois la palette comique et dramatique de l’étonnante Audrey Lamy.
Paris-Match
Un vrai bon moment de cinéma feel-good, populaire sans être vulgaire, et que Toledano et Nakache ne renieraient pas.
Première
Entre rires et émotions, avec des dialogues et une mise en scène efficaces, la comédie sociale de Louis-Julien Petit fait mouche.
Soir MAD
La Brigade regorge de l’énergie de ces jeunes interprètes non-professionnels.
RTBF
Une aventure humaine drôle, juste et émouvante, où la solidarité et le sens des autres se racontent à travers l’art culinaire. Intelligent, nécessaire, divertissant, drôle et pétillant.
Les Grignoux
Phil s’est exilé dans une petite communauté presbytérienne sur l’île de Lewis, au nord de l’Ecosse. Une nuit, il est victime d’une attaque qui lui provoque une perte de mémoire. De retour sur l’île, il retrouve Millie, une femme de la communauté qui s’occupe de lui. Alors qu’il cherche à retrouver ses souvenirs, elle prétend qu’ils s’aimaient en secret avant son accident…
Brahim est un jeune homme secrètement gay. Il est aussi la joie de vivre de sa mère, qui espère qu’un jour il trouvera l’amour de sa vie, deviendra père de famille et les rendra tous fiers. Lors de la fête d’anniversaire de sa mère, les tensions autour de sa personnalité et des sous-entendus concernant sa sexualité lui sont insupportables. Il décide de s’en aller et de laisser derrière lui l’oppression qu’il subit de la part de certains de ses proches. Cette nuit-là, une rencontre terrible va à jamais sceller son destin.
Inspiré de l’assassinat d’ihsane Jarfi en avril 2012, ce jeune liégeois victime d’un crime homophobe et raciste, le premier crime qualifié comme tel en Belgique, « Animals » est un film d’une tension très souvent insoutenable mais d’une force remarquable et d’une importance incontournable.
Avec “Animals”, Nabil Ben Yadir se base sur des faits réels pour construire un récit brut et bouleversant, une réflexion sans concession sur la violence et la capacité de l’homme à commettre l’indicible.
– Moustique
En partenariat avec le Centre d’Action Laïque et la Maison Arc-en-ciel de la Province de Luxembourg
En présence de Monsieur Hassan Jarfi, père de Ihsane Jarfi et auteur du livre:
Rencontre post-projection
A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l’on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme. Et si George Mallory et Andrew Irvine étaient les premiers hommes à avoir atteint le sommet de l’Everest, le 8 juin 1924 ? Seul le petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l’accompagner jusqu’au voyage ultime vers le sommet des dieux. Une adaptation du manga de Jirō Taniguchi.
France, professeure de sport le jour, ouvrière la nuit, milite activement contre l’usage des pesticides. Patrick, obscur et solitaire avocat parisien, est spécialiste en droit environnemental. Mathias, lobbyiste brillant et homme pressé, défend les intérêts d’un géant de l’agrochimie. Suite à l’acte radical d’une anonyme, ces trois destins, qui n’auraient jamais dû se croiser, vont se bousculer, s’entrechoquer et s’embraser.
Lorsque son bras droit et seul compagnon doit s’absenter pendant plusieurs semaines, Georges, star de cinéma vieillissante, se voit attribuer une remplaçante, Aïssa. Entre l’acteur désabusé et la jeune agente de sécurité, un lien unique va se nouer.
Un hymne à la liberté, à l’être humain, à la nature.
Passionné de nature, de voyage et de rencontre, c’est en 2015 que Julien embarque en direction de l’Amérique du Sud pour une aventure qui bouleversera sa vie. Préoccupé par les enjeux environnementaux, il commence par filmer les conséquences du changement climatique. Au fil des kilomètres, les rencontres remettent en question ses croyances sur le monde. Son aventure prend alors un nouveau sens: celui des “voix des Amériques” qui le guident. Quatre ans plus tard, après avoir parcouru 46 500 kilomètres sur l’ensemble du continent américain, il désire retransmettre ces voix, celles de la terre et de ses êtres vivants. Des voix qui lui ont ouvert l’esprit sur le sens de la vie et sur les solutions pour notre avenir en tant qu’humanité.
Discussion-débat après le film avec Julien Defourny et présentation de son livre.
Manifester, coller des messages revendicateurs dans les rues, organiser des rides à vélo dans la ville, décoloniser les mentalités à travers l’art et la culture… Seules ou en collectifs, ces femmes* militantes combattent à leur manière les inégalités de genre, le sexisme et le racisme dans l’espace urbain. Elles dénoncent le patriarcat ambiant et proposent des solutions pour un
autre vivre ensemble, égalitaire, pour un territoire où nulle n’est invisibilisée ou dénigrée. Une quatrième vague féministe s’empare de Bruxelles pour que plus jamais une sœur ne soit seule dans l’espace public.
* le terme “femmes” désigne toute personne qui s’identifie comme une femme ou se reconnaît dans cette identité “bats” pour une ville plus égalitaire, où nulle n’est invisibilisée ou dénigrée.
En partenariat avec le Centre Action Laïque – Luxembourg
Rencontre post-projection avec la réalisatrice
Atelier découverte ludique autour du droit des femmes en matinée, sur inscription (uniquement pour l’atelier): CAL-Lux Tél. : +32.61.22.50.60
E-mail : courrier@cal-luxembourg.be
Les Nouvelles Guérillères – trailer from Elisa Vdk on Vimeo.
Adaptation du roman de Gaël Faye, PRIX GONCOURT DES LYCÉENS / PRIX DU ROMAN FNAC / PRIX DU PREMIER ROMAN.
Dans les années 1990, un petit garçon vit au Burundi avec son père, un entrepreneur français, sa mère rwandaise et sa petite sœur. Il passe son temps à faire les quatre cents coups avec ses copains de classe jusqu’à ce que la guerre civile éclate, mettant une fin à l’innocence de son enfance.
Dans le cadre du Festival du Roman à L’Ecran
En partenariat avec la Bibliothèque de Marche-en-Famenne
Lors d’une soirée spéciale “ambiance gala”, le cinéma belge sera mit à l’honneur, une fois n’est pas coutume, avec la programmation de l’un des films primés lors de la Cérémonie des Magritte 2022.
Avec La Quadrature du Cercle, réseau de programmateurs cinéma dans le secteur non-marchand, la Tournée des Magritte est une façon de (re)découvrir les films majoritaires belges lauréats.
Cette année, le mardi 8/03 à 20h, nous espérons vous présenter les courts métrages primés, sous réserve de la présence d’invités, à suivre pour les confirmations très bientôt…
Sprötch
de Xavier Seron
Fiction, 19 minutes
Flo doit partir à Marrakech pour le travail. C’est donc Tom qui s’occupe de Sam, leur fils de 5 ans. Flo lui a laissé une liste de tâches à accomplir durant son absence. Malgré ça, Tom a oublié le cours de guitare de Sam. Depuis son ryad, Flo l’appelle pour lui reprocher. Tom déteste être pris en faute. Il embarque Sam. La voiture sort du garage à toute vitesse. SPROTCH. Tom vient d’écraser quelque chose.
Mother’s
de Hippolyte Leibovici
Documentaire, 22 minutes
Portrait d’une famille de Drag Queens bruxelloises sur quatre générations lors d’une soirée en loges.
On est pas près d’être des super-héros
de Lia Bertels
Animation, 13 minutes
Ça prend du temps de grandir. Et parfois même on se demande si cela en vaut vraiment la peine. Alors les enfants avancent doucement, à leur rythme, le temps d’apprivoiser le monde qui les attend. Voici le témoignage de ces enfants entre deux mondes, à qui la parole a été donnée librement.
Carine Tardieu, la réalisatrice d’Ôtez-moi d’un doute, reprend le scénario posthume de Sólveig Anspach, décédée en 2015, que celle-ci avait écrit pour rendre hommage à sa mère. Une romance à contre-courant des idées reçues, pleine de tendresse, et dont le murmure bruisse longuement en nous après le générique de fin…
Shauna (Fanny Ardant), 71 ans, libre et indépendante, a mis sa vie amoureuse de côté. Elle est cependant troublée par la présence de Pierre (Melvil Poupaud), cet homme de 45 ans qu’elle avait à peine croisé des années plus tôt. Et contre toute attente, Pierre ne voit pas en elle « une femme d’un certain âge », mais une femme, désirable, qu’il n’a pas peur d’aimer. À ceci près que Pierre est marié et père de famille…
Cette histoire d’adultère dont le synopsis ne laisse présager aucune sortie de route est pourtant incroyablement contestataire dans le fait même qu’elle inverse le schéma habituel d’un homme trompant sa compagne avec une femme plus jeune (un film sur ce sujet n’aurait d’ailleurs intéressé personne). Dans une société où les femmes âgées sont invisibilisées, il faut une certaine fougue et du courage pour écrire, filmer et incarner ces personnages qui sortent de l’ordinaire, mais qui, on l’espère, participeront à redessiner les contours de nos futurs fantasmes en les rendant plus inclusifs.
Outre l’aspect politique du film qui n’est en soi jamais revendiqué, mais qui se révèle en creux du récit, c’est d’abord à une sensible histoire d’amour que nous invite Carine Tardieu. Shauna est une ancienne architecte reconnue qui a toujours mis sa carrière au premier plan et qui pense ne plus avoir grand-chose à attendre de la vie, aucune surprise, aucune pulsion qui pourrait faire renaître du désir dans son corps et l’émouvoir au plus profond de son être. De son côté, Pierre est un père de famille heureux, formant avec sa femme Jeanne (Cécile de France) un couple solide, assez en tout cas pour que chacun se sente protégé des écarts de conduite qui surgissent parfois dans les relations de longue durée.
La beauté du film réside dans cette manière fine et délicate de décrire l’éclat existentiel qu’une telle rencontre peut faire naître, et les déflagrations que celle-ci va inévitablement susciter dans l’entourage des protagonistes. Les personnages secondaires sont d’une force inouïe, le scénario prend le temps de les faire exister, leur donnant une épaisseur à part entière. À commencer par Jeanne, cette épouse démunie qui observe désespérément son mari s’éloigner de ce qu’il a construit jusque-là avec elle, mais qui a assez d’empathie pour essayer de le comprendre. Ou Cecilia (Florence Loiret-Caille), la fille de Shauna, quadra célibataire qui devine les turbulences émotionnelles que traverse sa mère alors même que celle-ci a honte de les lui révéler.
Les Jeunes Amants est une belle réussite, un film à la fois grave et léger qui épouse les tremblements de la vie et nous laisse dans une douce mélancolie.
ALICIA DEL PUPPO, les Grignoux
Jan est un artiste provocateur qui a connu divers degrés de réussite avec ses œuvres d’art, les femmes et ses nombreuses tentatives de changer le monde.
Marie, sa fille unique, lui reproche d’avoir été durant son enfance un père absent, toujours embarqué dans de folles aventures.
Aujourd’hui, au bord d’un précipice, ils ont beaucoup à se dire…
Dans cette veine autobiographique et pleine de belgitude qui lui est si chère, Jan Bucquoy, le plus surréaliste de nos cinéastes, après “Camping cosmos”, signe sans doute son film le plus sensible et abouti, en forme de lettre ouverte à sa fille. Un mélange coloré d’humour absurde et désenchanté qui touche en plein cœur. Avec Wim Willaert, Alex Vizorek et la révélation Alice Dutoit, alias Alice on the Roof !
Un célèbre homme politique est accusé d’avoir tué son épouse retrouvée morte, une nuit, dans leur chambre d’hôtel. Est-il coupable ou innocent ? Personne ne le sait. Et peut-être lui non plus.
S’inspirant librement d’un fait divers qui a secoué la Belgique il y a quelques années, Stephan Streker livre un thriller haletant qui nous plonge dans les tréfonds de l’âme humaine, avec un exceptionnel Jérémie Renier.
Dans la vie réelle, Suzu est une adolescente complexée, coincée dans sa petite ville de montagne avec son père. Mais dans le monde virtuel de U, Suzu devient Belle, une icône musicale suivie par plus de 5 milliards de followers. Une double vie difficile pour la timide Suzu, qui va prendre une envolée inattendue lorsque Belle rencontre la Bête, une créature aussi fascinante qu’effrayante. S’engage alors un chassé-croisé virtuel entre Belle et la Bête, au
terme duquel Suzu va découvrir qui elle est.
“Le film ne se contente pas juste d’être totalement beau et absolument divertissant, mais de nous montrer la possibilité d’un tout nouvel univers.”
in Première“Mélodrame virtuose, et œuvre inspirée sur la place des mondes virtuels dans nos vies, Belle est un bijou de sensibilité, où Mamoru Hosoda transforme nos petits cœurs cyniques en pâté, le tout avec une facilité déconcertante. Le film immanquable de cette fin d’année !”
in Ecran Large“Avec cette romance flamboyante et contemporaine sur la quête d’identité, le cinéaste (Miraï, Les Enfants Loups…) porte un regard bienveillant, positif, féministe et plein d’espoir sur la jeunesse.” La rédaction in Voici
L’évènement est finalement maintenu ce dimanche 20/02 à 17h! Problème technique résolu in extremis grâce à l’intervention express de notre gérant au cinéma! 👍
L’Appel à la Danse est un documentaire de création qui propose des portraits intimes d’individus qui nous livrent leur raison de danser. A travers une succession d’histoires, ce film a pour objectif de capturer la beauté des moments dansés au cœur de l’action. Révéler cet instant précieux où le basculement de la conscience laisse place à l’instinct, à l’identité, aux revendications, aux traditions, à l’évasion… Le corps et l’esprit t s’exprime seul, en groupe, au centre culturel de Dakar, dans un battle de Krump, sur le bord de l’océan, lors des séances de lutte, au cœur d’une cérémonie initiatique dans un village, etc…
L’Appel à la Danse au Sénégal est réalisé en 2018 par le collectif français ScreenSkin, composé de Diane Fardoun, Hugo Bembi, Pierre Durosoy et Julien Villa. Premier volet d’une série de films documentaires sur la danse dans le monde d’aujourd’hui, L’Appel à la Danse illustre le syncrétisme entre danses traditionnelles et danses urbaines dans les nouvelles créations sénégalaises, tout en faisant le récit d’un voyage au cœur du quotidien d’une jeunesse passionnée.
Compléments d’information à lire: https://cinewax.org/blogs/media/l-appel-a-la-danse-au-senegal-la-ou-modernite-et-tradition-s-entrecroisent
Dans le cadre du Festival Place à la danse – En partenariat avec la MCFA, le Centre Culturel de Rochefort, de Hotton, le CIDJ et le CJC
Toutes les infos sur la page Facebook du Festival: https://www.facebook.com/Place-%C3%A0-la-danse-106827515022791
L’Appel à la Danse – Sénégal (teaser) from Screen Skin on Vimeo.
Les trois A : L’AMOUR, L’AMITIÉ et L’ARGENT sont les trois principales préoccupations de l’humanité. Pour en parler le plus simplement possible, Gérard, Ary et Philippe ont fait connaissance il y a 20 ans, à leur sortie de prison, et se sont tout de suite posé la vraie question : Et si l’honnêteté était la meilleure des combines ? Aujourd’hui, ils sont inséparables et scrupuleusement vertueux… Mais Gérard apprend qu’il souffre d’un mal incurable. Le sachant condamné, Ary et Philippe veulent lui offrir sa dernière histoire d’amour… car Gérard a toujours répété que l’amour c’était mieux que la vie.
Un programme de six histoires avec des loups pas comme les autres. Un loup tout rond qui n’a pas de dents. Un loup tout drôle qui n’est pas méchant. Un loup tout gris qui vit sa vie en rêvant. Des histoires de loups différents qui vont ravir les enfants !
Le loup boule – De Marion Jamault – 3 min 46 / 2016 / Belgique – Papier découpé animé
Le loup boule vivait le ventre rond mais tout à fait vide. Un jour, par hasard, il se découvre un talent caché pour enfin se remplir la panse.
Je suis un loup – De Michaël Journolleau – 5 min / 2020 / France – Ordinateur 2D
Un loup, déçu que toutes les histoires que l’on raconte sur lui le fassent passer pour un méchant, décide d’imaginer sa propre histoire, mais les choses vont déraper…
Un songe en hiver – De Natalia Malykina – 6 min / 2016 / Norvège – Ordinateur 2D
Hiver « Marchant sous la neige, Wolfy, le ventre creux, découvre un objet des plus mystérieux… »
Le navire de glace au printemps – De Natalia Malykina – 6 min 30 / 2017 / Norvège – Ordinateur 2D
Printemps « Dessus la mer de glace aux multiples dangers, capitaine Wolfy et le lièvre embarqués… »
Fête d’une nuit d’été – De Natalia Malykina – 6 min 33 / 2019 / Norvège – Ordinateur 2D
Été « Wolfy par les étoiles et la lune éclairé, rêve d’un beau gâteau pour fêter ses années… »
Vol d’Automne – De Natalia Malykina – 6 min / 2020 / Norvège – Ordinateur 2D
Automne « Les oiseaux vers le sud viennent de s’envoler, comment fera Wolfy pour les accompagner ? »
“On plonge dans un thriller somptueux, sinueux et vénéneux à souhait, avec ses bonimenteurs interlopes, ses fausses magiciennes et sa blonde fatale, incarnée par une Cate Blanchett spectaculaire.”
in Télé 7 JoursAntoine semble n’écouter rien ni personne : ses élèves (qui lui réclament plus d’attention), ses collègues (qui n’aiment pas son manque de concentration), ses amours (qui lui reprochent son manque d’empathie)… Et pour cause : Antoine est encore jeune mais a perdu beaucoup d’audition. Sa nouvelle voisine Claire, venue s’installer temporairement chez sa sœur avec sa fille après la perte de son mari, rêve de calme et tranquillité. Pas d’un voisin aussi bruyant qu’Antoine, avec sa musique à fond et son réveil qui sonne sans fin. Et pourtant, Claire et Antoine sont faits pour s’entendre !